BMW RS54 : Une Histoire.
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BMW RS54 : Une Histoire.
BMW RS54
UNE HISTOIRE
Chapitre Premier
UNE HISTOIRE
Chapitre Premier
La BMW RS54 est certainement la moto BMW de course la plus admirée des amateurs des machines sportives de la firme munichoise ; tant par sa rareté, son aura, que par la noblesse des solutions techniques retenues, la qualité des matériaux utilisés et la rigoureuse précision des usinages tous ces éléments réunis pour offrir à des pilotes privés les atouts nécessaires à la quête de la victoire dans la catégorie reine.
Revenons en arrière dans la chronologie. L’Allemagne, bannie par la FIM à la fin de la seconde guerre mondiale des compétitions internationales, ne sera admise à concourir pour le championnat du monde qu’en 1951. Pendant cette mise aux bans des compétitions, les RS255 « Kompressor » sortent des abris et participent aux courses nationales, toujours équipées du compresseur elles évoluent peu -compresseur de la 600 et fourche à axe déporté pour laisser de la place au compresseur plus long-et restent quasi identiques aux modèles d'avant guerre.
Revenons en arrière dans la chronologie. L’Allemagne, bannie par la FIM à la fin de la seconde guerre mondiale des compétitions internationales, ne sera admise à concourir pour le championnat du monde qu’en 1951. Pendant cette mise aux bans des compétitions, les RS255 « Kompressor » sortent des abris et participent aux courses nationales, toujours équipées du compresseur elles évoluent peu -compresseur de la 600 et fourche à axe déporté pour laisser de la place au compresseur plus long-et restent quasi identiques aux modèles d'avant guerre.
1947 G. Meier aux manettes
A partir du moment ou l'Allemagne est admise à participer aux compétitions internationales et au Championnat du Monde Moto, l'usine, pour ses pilotes d’usine, utilisa des motos amputées de leur dispositif de suralimentation, améliorées du point de vue partie cycle comme du moteur, mais la base même restait la motorisation d’avant guerre.
Ce moteur atmosphérique porte la référence M253a.
En 1952 un nouveau moteur apparaît référencé M253b, les culasses sont moins volumineuses et les couvres culasses sont fixés au moyens de deux vis. La partie cycle est dans les grandes lignes celle de la RS255 Kompressor et dérivées de l'après guerre.
-1952 Hans Baltisberger-
Le moteur sera ensuite placé dans une partie cycle à suspension oscillante au cours de cette année.
-1952 la suspension arrière est confiée à deux amortisseurs-
Enfin, fin 1952, début 1953, une fourche type earles équipera la moto solo.
-Au second plan la machine de Hans Meier N°3 au premier plan le side de Noll N°43-
En mars 1952 la presse spécialisée fait état de demandes des pilotes sportifs auprès de l’usine d’une machine de course de la classe des machines d’avant guerre, légères, puissantes et robustes, d’un coût d’entretien raisonnable, capables de battre les monocylindres anglais et d’inquiéter les 4 cylindres italiens. La réponse de l’usine est pleine de sous entendus ; « le service compétition est occupé à la préparation des machines de course pour la saison à venir, dès que les techniciens seront rendus disponibles, l’usine se penchera sérieusement sur une machine compétition client ».
Le fruit des cogitations de l’usine ne tarda pas à être présenté et au mois de mai 1953 la presse publiait le dessin de la future BMW d’usine. Moto Revue dans son numéro du 23 mai 1953 publie le dessin de l'usine et indique que la première sortie de la machine se fera au TT.
Le fruit des cogitations de l’usine ne tarda pas à être présenté et au mois de mai 1953 la presse publiait le dessin de la future BMW d’usine. Moto Revue dans son numéro du 23 mai 1953 publie le dessin de l'usine et indique que la première sortie de la machine se fera au TT.
La première chose sautant aux yeux du lecteur est la fourche Earles à l’avant, la nouvelle partie cycle et le nouveau moteur plus compacte aux caches culbuteurs plus petits fixés par 4 écrous.
La presse décrit longuement la nouveauté, toutes les pièces constitutives sont nouvelles ; le moteur, la partie cycle, tout est repensé, redessiné, la RS253 est la nouvelle arme de l’usine pour batailler dans la catégorie reine en grand prix. La première confrontation de cette nouveauté avec les autres protagonistes a lieu sur le tracé d’Hockenheim, épreuve ne comptant pas pour le championnat du monde. La BMW fait bonne figure face aux MV-Agusta et autres Moto-Guzzi, elle surclasse même cette dernière en accélération, pourtant l’italienne est mue par un 4 cylindres à injection, mais la Moto-Guzzi possède une boite 5 et dans les longues lignes droites, elle dépose la BMW. Au classement final la Guzzi de Lorenzetti termine première devant les 3 BMW de Meier, Mette et Baltisberger. Cette première épreuve rassure les fans de la firme allemande : cette machine est bien née.
malgré une mise au point méthodique et d’innombrables essais la moto souffrait de lacunes au niveau de la partie cycle et plus particulièrement de la fourche avant. Malgré un repérage en mars du circuit de l’île de Man au guidon d’une R68, et de la présence de deux motos aux entraînements –dont une à injection- Zeller ne pouvait régler correctement la moto. Plus encore ; l’usine disposait de trois cadres aux cotes différentes selon la taille des pilotes mais aussi selon leurs désirs, selon le tracé du circuit. Pas de point au TT.
Au second Grand-Prix, le TT hollandais, la Machine de Zeller est dotée de l'injection et l’amortissement de la fourche avant est renforcé par l'adjonction de deux éléments de suspension hydraulique, il termine 7e et bien que classé, il ne marque aucun point. (De 1950 à 1968, seuls les six premiers marquent des points)
En cours de saison la machine de Zeller recevra une injection directe dans la culasse en remplacement de l’injection indirecte dans le cornet de la tubulure d’admission en amont de la guillotine contrôlant les gaz. Rien n'y fera, BMW ne figure pas sur les tablettes officielles, ne marque aucun point, mais cette année de rodage restera un banc d'essais grandeur nature pour l'usine.
malgré une mise au point méthodique et d’innombrables essais la moto souffrait de lacunes au niveau de la partie cycle et plus particulièrement de la fourche avant. Malgré un repérage en mars du circuit de l’île de Man au guidon d’une R68, et de la présence de deux motos aux entraînements –dont une à injection- Zeller ne pouvait régler correctement la moto. Plus encore ; l’usine disposait de trois cadres aux cotes différentes selon la taille des pilotes mais aussi selon leurs désirs, selon le tracé du circuit. Pas de point au TT.
Au second Grand-Prix, le TT hollandais, la Machine de Zeller est dotée de l'injection et l’amortissement de la fourche avant est renforcé par l'adjonction de deux éléments de suspension hydraulique, il termine 7e et bien que classé, il ne marque aucun point. (De 1950 à 1968, seuls les six premiers marquent des points)
En cours de saison la machine de Zeller recevra une injection directe dans la culasse en remplacement de l’injection indirecte dans le cornet de la tubulure d’admission en amont de la guillotine contrôlant les gaz. Rien n'y fera, BMW ne figure pas sur les tablettes officielles, ne marque aucun point, mais cette année de rodage restera un banc d'essais grandeur nature pour l'usine.
-La fourche avec les amortisseurs supplémentaires-
-Le système d'injection directe-
-injection indirecte-
Fin de la première partie....
Dernière édition par ffrd le Mar 20 Oct 2020 - 7:58, édité 3 fois (Raison : correction effectuée 20-10/2020)
ffrd
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Vive le confinement !!!
Vive François !!!
t'es sur pour l'injection directe essence ? c'est pas une injection mecanique à la 300sl ?
Vive François !!!
t'es sur pour l'injection directe essence ? c'est pas une injection mecanique à la 300sl ?
popov1100
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Merci François.
Très intéressant.
Je ne comprends pas ce système d 'injection dite directe.
Tu as des détails ?
Très intéressant.
Je ne comprends pas ce système d 'injection dite directe.
Tu as des détails ?
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
il semble y avoir un tube haute pression qui arrive sur une pipe d'admission. Donc direct dans le conduit d'admission
____________________
“Due to budget constraints, the light at the end of the tunnel has been temporarily shut off. Please find your way in the dark.”
Mick13
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Directe, dans la pipe d 'admission, c'est de l 'injection indirecte alors.Mick13 a écrit:il semble y avoir un tube haute pression qui arrive sur une pipe d'admission. Donc direct dans le conduit d'admission
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
haute pression en injection essence c'est 100 à 200 bars
si c'est 3 bar c'est une injection indirecte
l'ijection directe se fait dans la chambre de combustion
c'est la mode aujourd'hui en automobile
j'ai un Touran FSI de 2003, une des premiere injection directe de serie, c'est pas fameux....
si c'est 3 bar c'est une injection indirecte
l'ijection directe se fait dans la chambre de combustion
c'est la mode aujourd'hui en automobile
j'ai un Touran FSI de 2003, une des premiere injection directe de serie, c'est pas fameux....
popov1100
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
nortonton a écrit:Directe, dans la pipe d 'admission, c'est de l 'injection indirecte alors.Mick13 a écrit:il semble y avoir un tube haute pression qui arrive sur une pipe d'admission. Donc direct dans le conduit d'admission
Ok, bien vu
Je pense que seul François saura nous dire la réponse
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“Due to budget constraints, the light at the end of the tunnel has been temporarily shut off. Please find your way in the dark.”
Mick13
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Chapitre 2
Moto Revue dans son édition du 26 Juin 1953 détaille cette RS253 -moteur M253c-. Il nous est précisé dans l'article que que les efforts de l'usine portent sur trois poins ;
- accroissement de la puissance.
- Amélioration de la tenue de route.
- Diminution du poids.
-coupe du moteur-
L'accroissement de la puissance du moteur est le fruit d'expérience, d'ingéniosité, du dessin des pièces mécaniques, en optimisant l'allègement et l'utilisation de matériaux nobles. L'usine reste fidèle à l'architecture immuable de ses moteurs pour grosses motos, un bicylindre à plat face à la route, vilebrequin longitudinal boite de vitesses séparée, transmission finale par arbre et renvoi conique. Ces caractéristiques partagent l'architecture de la moto que tout BM'wiste utilise au quotidien (du moins pour les 500 et plus). Nous apprenons que l'usine à travaillé tout l'hiver précédent pour développer une nouvelle architecture moteur plus compacte tout en optimisant les flux gazeux dans les culasses.
-coupe de la culasse gauche, notez les conduits adm/ech bien dirigés-
Mais aussi en augmentant la qualité des matériaux des pièces mobiles, par des alliages de haute qualité tant par leur poids que leur légèreté mais surtout en utilisant des technologies utilisées sur les réacteurs destinés aux avions a réaction Me262 de la seconde guerre mondiale.
Le carter moteur utilise une cage en acier « habillée » d'électron -un mélange de magnésium et d'aluminium- particulièrement léger. L'armature d'acier supporte les paliers du vilebrequin mais aussi les trains de pignons de distribution et de la pompe à huile. L'alliage léger, forme une enveloppe étanche mais n'entre pas dans la résistance mécanique du moteur. La complexité d'une telle réalisation ne sera pas reprise sur la RS54, machine destinée aux amateurs et dont le coût devait rester raisonnable. Cette caractéristique très rare et particulière sera reprise sur les machines des records d'usine de 1955 équipées de bas moteurs modèle M253c référencés alors M253WR et non pas du bloc moteur « client ».
Le carter moteur utilise une cage en acier « habillée » d'électron -un mélange de magnésium et d'aluminium- particulièrement léger. L'armature d'acier supporte les paliers du vilebrequin mais aussi les trains de pignons de distribution et de la pompe à huile. L'alliage léger, forme une enveloppe étanche mais n'entre pas dans la résistance mécanique du moteur. La complexité d'une telle réalisation ne sera pas reprise sur la RS54, machine destinée aux amateurs et dont le coût devait rester raisonnable. Cette caractéristique très rare et particulière sera reprise sur les machines des records d'usine de 1955 équipées de bas moteurs modèle M253c référencés alors M253WR et non pas du bloc moteur « client ».
Commande de la distribution par engrenages partant du vilebrequin et montant en partie haute pour y actionner le renvoi d'angle (grand pignon) et de départ et la magnéto d'allumage (petit pignon derrière) et au dessus et tout en haut le pignon de la magnéto.
-au centre le pignon de distribution-
Les arbre de commande des arbres à cames « descendent du haut moteur vers les culasses plus petites du fait de l'abandon des ressorts de soupape en épingles par des ressorts hélicoïdaux. Les arbres à cames sont commandés par cascade de pignons, des culbuteurs équipés de patins poussent les soupapes.
Les arbre de commande des arbres à cames « descendent du haut moteur vers les culasses plus petites du fait de l'abandon des ressorts de soupape en épingles par des ressorts hélicoïdaux. Les arbres à cames sont commandés par cascade de pignons, des culbuteurs équipés de patins poussent les soupapes.
-la descente des pignons d'arbre a cames et les culbuteurs à patin-
Cette construction plus fine et moins massive permet à l'air de refroidissement de mieux coller aux chambres de combustion pour une meilleur évacuation des calories tout en affinant l'aérodynamisme général de la moto.
Le carter inférieur, en électron, formant réservoir d'huile est plus vaste, il augmente à la fois la quantité d'huile embarquée mais aussi la surface d'échange augmentée par de lus nombreuses et plus grandes ailettes de refroidissement.
Le travail des motoristes est à la fois d'obtenir un couple important et une puissance à un régime « raisonnable » ; la puissance du moteur est annoncée pour 45Cv à 8000tr/mn.
Pour répondre à la question posée plus en avant, l'injection se fait directement dans la culasse par l'injecteur situé sur ce dessin juste devant les cames.
le moteur à injection directe vu de face, les tuyaux d'alimentation sont biens visibles.
Éclaté du moteur M253WR de 1955 -j’anticipe un peu-
avec le détail de la pompe à injection (sur le carter frontal :
Voila pour ce Vendredi de printemps.Demain c'est WE = repos dominical oblige j'aurais plus de temps pour continuer.
Dernière édition par ffrd le Mar 20 Oct 2020 - 7:51, édité 2 fois (Raison : correction effectuée 20-10/2020)
ffrd
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
merci, tu sais avec le confinement on a tout le temps!
en tout cas un sacré moteur
en tout cas un sacré moteur
jp69
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Bonjour popovpopov1100 a écrit:magnifique quelle technologie incroyable
merci du partage
Ne pas oublier l'histoire et le passé.
BMW en 1953 construit un moteur de course de moto assez sophistiqué par rapport à un flat culbuté.
10 années avant l'usine concevait et utilisait un moteur d'avion de 14 cylindres de plus de 1700CV avec des variantes de 2000CV mais avec du red-bul* dans l'essence.
le 801.
42 litres de cylindrée ça fait du 48 ch/l "vol gas"
Ce moteur équipait des avions de chasse
Cet engin se composait de 16500 pièces !
Ensuite il y a eu le moteur prototype 802 soit 9 cylindres en étoile multiplié par 2 soit 18 cylindres, je ne sais pas quel oiseau volait avec ce bouilleur.
Il se trouve que le petit moustachu avait des projets de voyage et d'aller bombarder New-York en partant de Berlin et en y retournant bien sûr une fois la livraison effectuée sans faire escale -drôle d'idée-.
Je ne sais plus qui concevait la machine volante, mais BMW était de la partie pour le moteur.
Le cahier des charges était clair : 4000CV par moteur.
BMW à placé deux moteurs de 802 en tandem et deux hélices un moteur par hélice.
le moteur arrière indépendant -ou presque- du premier, actionne son hélice au travers du moteur avant par 5 ou 6 arbres de transmission
le 803.
Ce proto tournait au banc de puissance
Alors dans les mémoires et les bureaux d'étude, il y avait de la ressource quand aux ateliers d'usinage, de fonderie et de montage là aussi le tour de main et l'ingéniosité ne fait pas défaut.
C'est peut-être pour ça que le moteur Rennsport des motos BMW s'appelle chez nos cousins germains le roi des moteurs ?
* injection d'oxyde nitrique
Annexes :
moteur 801 :
Sur ce site, tu as une animation 3D qui te détaille sous toutes les coutures les entrailles du moulbif.
C'est pas mal surtout si tu as tâté du Rotring dans ta jeunesse
https://sketchfab.com/3d-models/bmw801-dynamic-parts-7e496a9d219b41c481006335e297ec2c
en statique ça donne ça
J'avais trouvé sur la toile une animation -modélisation- du moteur 803, malheureusement après le crash de mon PC de l'an dernier, il à disparu des radars.
On arrive à la RS54 dans pas longtemps.
ffrd
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Super, très intéressant, merci beaucoup. Je crois me rappeler avoir vu des moteurs d'avion au musée BMW à Munich.
R27
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
merci pour ce partage c'est passionnant et très instructif . vivement la suite !!!
rémi 83
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Très intéressant, tout ça.
As-tu de la documentation sur le Kommandogerät (le dispositif électromécanique qui ajustait automatiquement les paramètres du 801) ?
As-tu de la documentation sur le Kommandogerät (le dispositif électromécanique qui ajustait automatiquement les paramètres du 801) ?
Skill
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Oui, c'est même un sujet beaucoup étudié du fait de sa modernité à l'époque.Skill a écrit:Très intéressant, tout ça.
As-tu de la documentation sur le Kommandogerät (le dispositif électromécanique qui ajustait automatiquement les paramètres du 801) ?
Cet après-midi je dois me rendre chez ma belle mère en panne de je sais quel installation d'eau.
Je vais devoir y aller à moto,
Quel fichu impondérable quand même.
ffrd
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
en plus y'a du soleilffrd a écrit:Oui, c'est même un sujet beaucoup étudié du fait de sa modernité à l'époque.Skill a écrit:Très intéressant, tout ça.
As-tu de la documentation sur le Kommandogerät (le dispositif électromécanique qui ajustait automatiquement les paramètres du 801) ?
Cet après-midi je dois me rendre chez ma belle mère en panne de je sais quel installation d'eau.
Je vais devoir y aller à moto,je ne peux vraiment pas laisser passer cette occasioncela va retarder ma réponse
Quel fichu impondérable quand même.
n'oublie pas ton attestation
popov1100
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
les moteurs d'avions de la seconde guerre sont vraiment des mecaniques formidables
popov1100
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
Pour illustrer ce passionnant sujet, quelques photos prises aux CML 2006 en trainant dans le parc entre deux démos.
Avec l'autorisation du propriétaire de l'attelage j'ai pu déclencher sans retenue.
Pas tous les jours qu'on peut voir un haut moteur de RS en maintenance.
Celui-ci me tendait les bras, impossible de résister.
jacques
Re: BMW RS54 : Une Histoire.
C'est le chasseur Allemand Focke Wulf FW190 qui bénéficiait de ce moteur BMW 801 D-2 en double étoile, décliné en de nombreuses versions, développant 2400 CV pour les plus puissantes ...
bravo pour ce bel article, on attend la suite
bravo pour ce bel article, on attend la suite
Marc67
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