African team et photo d'oiseaux, besoin d'aide

caramba a écrit:

beaujolais racer a écrit:
Oui, il commence par se couper une oreille.............

..............vu que je suis sourd comme un bock de bière...........

caramba a écrit:
Ah oui ?, l'oreille...

Ben comme les miennes elles ne servent plus que comme élément décoratif (vu que je suis sourd comme un bock de bière), ça serait bête de les couper.

caramba a écrit:En fouillant dans mes archives, j'ai retrouvé une peinture du peintre hollandais Bibus Van der Meerch qui représente la dure vie des Bushbike Hypster (Red Neck africain) au début du siècle dernier.



On peut ressentir dans les couleurs de l'oeuvre la tristesse ambiante de cette terrible période.

D'abord la couleur verdâtre du personnage principal qui indique une carence prononcée en vitamine. Le scorbut n'est pas loin, la gangrène gazeuse non plus.
Dans son pauvre enclos, il ne reste plus qu'un veau famélique, tout le troupeau a été décimé par la bruxellose avorteuse. L'absence de sa femme sur le tableau laisse supposer qu'elle aussi a disparu emportée par la terrible maladie.
Bientôt il devra manger ses chiens, qui insouciants, batifolent au milieu de la scène. En dernier recours il devra aussi manger sa fidèle Ducati, sa compagne de toujours.

On remarquera que cet homme dure et frustre ne laisse aucune place à l'insécurité. Ces mains sont équipées de gants homologués.

On distinguera aussi la machette coincée dans l'échappement de la puissante motocyclette et qui servait à couper les mains des petits mendiants aux feux rouges.
Il est difficile d'imaginer à notre époque, la barbarie de ces temps reculés.

Et malgré tout ses malheurs, notre personnage arrive encore à sourire.

Cette oeuvre de toute beauté et témoin d'une époque révolue est à vendre aux enchères à la mosquée de Tintinbougou. Les bénéfices iront à l'ONG Penthouse pour la campagne caritative "Une femme - un slip".

Francesco a écrit:

caramba a écrit:En fouillant dans mes archives, j'ai retrouvé une peinture du peintre hollandais Bibus Van der Meerch qui représente la dure vie des Bushbike Hypster (Red Neck africain) au début du siècle dernier.



On peut ressentir dans les couleurs de l'oeuvre la tristesse ambiante de cette terrible période.

D'abord la couleur verdâtre du personnage principal qui indique une carence prononcée en vitamine. Le scorbut n'est pas loin, la gangrène gazeuse non plus.
Dans son pauvre enclos, il ne reste plus qu'un veau famélique, tout le troupeau a été décimé par la bruxellose avorteuse. L'absence de sa femme sur le tableau laisse supposer qu'elle aussi a disparu emportée par la terrible maladie.
Bientôt il devra manger ses chiens, qui insouciants, batifolent au milieu de la scène. En dernier recours il devra aussi manger sa fidèle Ducati, sa compagne de toujours.

On remarquera que cet homme dure et frustre ne laisse aucune place à l'insécurité. Ces mains sont équipées de gants homologués.

On distinguera aussi la machette coincée dans l'échappement de la puissante motocyclette et qui servait à couper les mains des petits mendiants aux feux rouges.
Il est difficile d'imaginer à notre époque, la barbarie de ces temps reculés.

Et malgré tout ses malheurs, notre personnage arrive encore à sourire.

Cette oeuvre de toute beauté et témoin d'une époque révolue est à vendre aux enchères à la mosquée de Tintinbougou. Les bénéfices iront à l'ONG Penthouse pour la campagne caritative "Une femme - un slip".

En plus, le chemin de couleur est d'une discrétion fabuleuse. Du portail au tuyau d'arrosage, en passant par la chemise. 

Francesco a écrit:



En plus, le chemin de couleur est d'une discrétion fabuleuse. Du portail au tuyau d'arrosage, en passant par la chemise. 

Francesco a écrit:

caramba a écrit:En fouillant dans mes archives, j'ai retrouvé une peinture du peintre hollandais Bibus Van der Meerch qui représente la dure vie des Bushbike Hypster (Red Neck africain) au début du siècle dernier.



On peut ressentir dans les couleurs de l'oeuvre la tristesse ambiante de cette terrible période.

D'abord la couleur verdâtre du personnage principal qui indique une carence prononcée en vitamine. Le scorbut n'est pas loin, la gangrène gazeuse non plus.
Dans son pauvre enclos, il ne reste plus qu'un veau famélique, tout le troupeau a été décimé par la bruxellose avorteuse. L'absence de sa femme sur le tableau laisse supposer qu'elle aussi a disparu emportée par la terrible maladie.
Bientôt il devra manger ses chiens, qui insouciants, batifolent au milieu de la scène. En dernier recours il devra aussi manger sa fidèle Ducati, sa compagne de toujours.

On remarquera que cet homme dure et frustre ne laisse aucune place à l'insécurité. Ces mains sont équipées de gants homologués.

On distinguera aussi la machette coincée dans l'échappement de la puissante motocyclette et qui servait à couper les mains des petits mendiants aux feux rouges.
Il est difficile d'imaginer à notre époque, la barbarie de ces temps reculés.

Et malgré tout ses malheurs, notre personnage arrive encore à sourire.

Cette oeuvre de toute beauté et témoin d'une époque révolue est à vendre aux enchères à la mosquée de Tintinbougou. Les bénéfices iront à l'ONG Penthouse pour la campagne caritative "Une femme - un slip".

En plus, le chemin de couleur est d'une discrétion fabuleuse. Du portail au tuyau d'arrosage, en passant par la chemise. 

Francesco a écrit:Eh oui, même la jambe indique la direction à suivre. Les mots manquent pour décrire une oeuvre aussi génialissime.

Gastair a écrit:

Francesco a écrit:Eh oui, même la jambe indique la direction à suivre. Les mots manquent pour décrire une oeuvre aussi génialissime.

C'est vrai merde ! elle parle cette œuvre...!
j'en suis ému
regarde ces coulures sur le mur qui suggèrent les mains écrasées des petits noirs qui se sont risqués à regarder de ce coté du mur les blancs nantis...

Gastair a écrit:

Francesco a écrit:Eh oui, même la jambe indique la direction à suivre. Les mots manquent pour décrire une oeuvre aussi génialissime.

C'est vrai merde ! elle parle cette œuvre...!
j'en suis ému
regarde ces coulures sur le mur qui suggèrent les mains écrasées des petits noirs qui se sont risqués à regarder de ce coté du mur les blancs nantis...

caramba a écrit:

Ah merde, on aurait du nettoyer le mur avant de faire la photo

bib a écrit:Mon cher Carambus Africanus, à l'aune de tes nouveaux talents, je te soumets cette composition néo-classique, issue de la mouvance prébushistique, dans ce qu'elle a de plus tabaskafro.

Peux-tu m'analyser ça ? Je pensais la proposer au musée des arts premiers. L'époque où, quand tu voulais donner ton avis, il valait mieux faire attention à ton slip.

caramba a écrit:
C'est dégueulasse
C'est quoi? tu vas pas manger ça quand même?

Francesco a écrit:

Cette photo n'a pas fini de nous étonner. Comme toute oeuvre d'art, elle recèle des secrets que seule une technologie hyper élaborée peut mettre à jour.
Quand on pense qu'elle a été faite au 20ème siècle, on mesurera tout le génie de son créateur.....

Ainsi, grâce au microscope électronique, un agrandissement de la poubelle (en fait un pot de peinture), nous montrera, parmi son contenu, un article de journal qui nous en apprendra un peu plus sur la destinée de l'auteur.



Un message qu'il aurait voulu nous faire parvenir par delà les siècles ? 

Cet homme, qui avait toutes les raisons de finir misérablement, a connu de fait une belle amélioration de sa situation dans les années 1942/1943, alors qu'il vivait en Lybie, après un bref passage à Munich.  Par la suite, nous retrouverons sa trace en Bolivie ( 1945), où il croisera la route d'un autre personnage célèbre au Flatistan, le père Francisco, qui, fraîchement revenu d'avoir évangélisé les enfants des rues de Manille, poursuivra son oeuvre pieuse dans un orphelinat de La Paz.

Avant de s'occuper de la coordination pastorale des meufs ( et non des neufs comme une erreur typographique voudrait nous l'indiquer). 

Flatman a écrit:Quelques exemples de photos sur le site du tamy...

http://www.tamron.eu/fr/objectifs-photo/sp-150-600mm-f5-63-di-vc-usd/

Avec le 7d vous devriez nous sortir quelques belles images!

Pour le flou du carambus avec un objo de près de 2kg, le trépied ou tout autre moyen de caler l'objo est fortement conseillé.