Alors,c'est laquelle?
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Re: Alors,c'est laquelle?
C’est marrant ces G/S et GS...il y a une étrange beauté et élégance derrière ces design tourmentés et hors normes...
Je suis en amour avec ce contraste...
ZR
Je suis en amour avec ce contraste...
ZR
zouaverifle
Re: Alors,c'est laquelle?
Merci les gars pour ces petits moments de nostalgie.
Je suis certain que bon nombre d'entre nous on retrouvé un petit moment de leur propre expérience..;
Le Flatistan c'est simplement génial .
Je suis certain que bon nombre d'entre nous on retrouvé un petit moment de leur propre expérience..;
Le Flatistan c'est simplement génial .
bebert 84
Re: Alors,c'est laquelle?
la mienne a étè échangée contre une r100s noire, le jour de l'échange j'ai flashé sur le rouge, la souplesse moteur et l'équipement de la bête, mais je n'avais pas aimé le frein avant ni la fourche, et le moteur me semblait mou avec ses 60 cv , alors que je descendait d'une r100S avec un pont de 80 rt et qui cabrait presque a l'accélération en 1ere......mais depuis j'ai remédié a tous ces petits défauts et je me suis fait MA gs que j'adore....cet aprém petite réunion de famille avec enfants ( tous grands) et petits enfants, et ben j'ai pas pu m'empécher d'aller soulever la bache de la GS dans le garage, juste pour la voir 1 mn.....on es con parfois !!!
r 50
Re: Alors,c'est laquelle?
On avait un sujet intéressant, et voilà que ça dérape sur les G/S....
Sans doute est ce dû au choc visuel intense provoqué par la découverte de l’icone.
Sans doute est ce dû au choc visuel intense provoqué par la découverte de l’icone.
beaujolais racer
Re: Alors,c'est laquelle?
Alors on va remonter le niveau!
Celle qui m'a le plus impressionné c'est la Buell X1 de mon voisin, qu'il me laissait souvent , un vrai dragster, une catapulte, et un buit..... Miam!!
Celle qui m'a le plus impressionné c'est la Buell X1 de mon voisin, qu'il me laissait souvent , un vrai dragster, une catapulte, et un buit..... Miam!!
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« Adding power makes you faster on the straights. Subtracting weight makes you faster everywhere ». C. Chapman
Que la bête meure.
Mais pas tout de suite...
Re: Alors,c'est laquelle?
beaujolais racer a écrit:On avait un sujet intéressant, et voilà que ça dérape sur les G/S....
Sans doute est ce dû au choc visuel intense provoqué par la découverte de l’icone.
Je pense pareil, et comment peux t-on partir d'une 390HVA pour se retrouver à délirer sur une GS
C'est comme si on évoquait une AC Cobra en Big Block et qu'on finissait à lire des délires sur un Ami 8 break...
the thing
Re: Alors,c'est laquelle?
the thing a écrit:
lire des délires sur un Ami 8 break...
Pas d'accord du tout !
J'ai beaucoup déliré dans mon Ami 8 ....
.... mais moteur éteint et généralement tard le soir.
BernardP
Re: Alors,c'est laquelle?
A une époque que les plus jeunes n'ont pas connu (les années 70, plutôt au début...), les limitations de vitesse apparaissaient (90 en 1973, uniquement sur les routes secondaires), mais n'étaient pas encore vraiment appliquées (pas de radars, ou si peu...). Alors on fantasmait gravement devant les fiches techniques des "grosses" motos, et leurs "vitesse maxi COUCHE", comparées aux vitesses maxi ASSIS (différentiel qui ne se fait plus du tout dans les essais "presse" d'aujourd'hui).
Moi, ma première moto, à 16 ans et demi (Lycéen sans trop de sous...) a été une 250 BSA C11 qui avait bien 20 ans (une anglaise, parce que mon père avait acheté une Bonneville T120 en 1969, à l'époque où je roulais encore en vélo !). Inutile de vous dire qu'avec 12 CV, la vitesse maxi était vite atteinte, à 110 ou 120 km/h maximum. Ensuite, une vieille CB 350 Honda de 1969, achetée pas cher, qui avait roulé 75000 km et était très fatiguée, me permettait d'atteindre peut-être 140/145 km/h, mais pas trop longtemps...On passait autant de temps au garage que sur la route !
Alors, le "flash" vint par l'intermédiaire d'un copain, qui travaillait depuis l'âge de 16 ans, qui s'était acheté (à crédit sur 5 ans !) une 900 Kawasaki Z1 en 1974...! Avec le grand guidon US...Evidemment, il me la prête pour une essai de 20 km (lui en passager, histoire de me surveiller !), pendant lequel il m'encourage à aller chercher les tours minutes (donc la vitesse...) sur une départementale déserte en Normandie...
Et là, j'atteint la vitesse supersonique de 200 km/h compteur , mes frêles épaules d'adolescent écartelées par la pression de l'air (un peu penché en avant quand même, mon passager idem), et aussi (souvenir inoubliable ), les joues complétement tirées en arrière (avec la peur d'ouvrir la bouche, qui m'aurait - du moins je le croyais - arraché la tête) et flottant au vent, comme Jack Findlay dans le film "Continental Circus". Oui, j'avais un casque Cromwell et des lunettes Climax, par esprit de résistance contre "l'intégral" qui arrivait sur le marché...
Il a bien fallu couper les gaz , mais l'association du bruit du 4 cylindres - 4 pots - en furie, la légère oscillation du train avant et l'arrière sautillant pas mal, mes joues complétement déformées par le vent, et la vue du compteur dans des zones que je n'avais jamais atteint avant ce jour là....furent un magnifique souvenir de ces années 1970...Inutile de dire qu'on ne pensait pas une seconde à la limitation de vitesse, à la délinquance routière, à la garde à vue, au permis supprimé, etc...
Bon, d'accord, la route était déserte, mais euh...Si un animal était sorti de la forêt devant les roues de la Z1, je ne serais probablement pas là en train d'écrire ce post...
Depuis, et beaucoup plus tard, j'ai bien sur eu l'occasion, avec mes propres motos, de rouler largement à ces vitesses "criminelles", notamment dans les années 1988-1992, pendant lesquelles on roulait encore assez fort. Mais ce souvenir de 17 ans m'est resté comme une tache indélébile dans mon cerveau...
Moi, ma première moto, à 16 ans et demi (Lycéen sans trop de sous...) a été une 250 BSA C11 qui avait bien 20 ans (une anglaise, parce que mon père avait acheté une Bonneville T120 en 1969, à l'époque où je roulais encore en vélo !). Inutile de vous dire qu'avec 12 CV, la vitesse maxi était vite atteinte, à 110 ou 120 km/h maximum. Ensuite, une vieille CB 350 Honda de 1969, achetée pas cher, qui avait roulé 75000 km et était très fatiguée, me permettait d'atteindre peut-être 140/145 km/h, mais pas trop longtemps...On passait autant de temps au garage que sur la route !
Alors, le "flash" vint par l'intermédiaire d'un copain, qui travaillait depuis l'âge de 16 ans, qui s'était acheté (à crédit sur 5 ans !) une 900 Kawasaki Z1 en 1974...! Avec le grand guidon US...Evidemment, il me la prête pour une essai de 20 km (lui en passager, histoire de me surveiller !), pendant lequel il m'encourage à aller chercher les tours minutes (donc la vitesse...) sur une départementale déserte en Normandie...
Et là, j'atteint la vitesse supersonique de 200 km/h compteur , mes frêles épaules d'adolescent écartelées par la pression de l'air (un peu penché en avant quand même, mon passager idem), et aussi (souvenir inoubliable ), les joues complétement tirées en arrière (avec la peur d'ouvrir la bouche, qui m'aurait - du moins je le croyais - arraché la tête) et flottant au vent, comme Jack Findlay dans le film "Continental Circus". Oui, j'avais un casque Cromwell et des lunettes Climax, par esprit de résistance contre "l'intégral" qui arrivait sur le marché...
Il a bien fallu couper les gaz , mais l'association du bruit du 4 cylindres - 4 pots - en furie, la légère oscillation du train avant et l'arrière sautillant pas mal, mes joues complétement déformées par le vent, et la vue du compteur dans des zones que je n'avais jamais atteint avant ce jour là....furent un magnifique souvenir de ces années 1970...Inutile de dire qu'on ne pensait pas une seconde à la limitation de vitesse, à la délinquance routière, à la garde à vue, au permis supprimé, etc...
Bon, d'accord, la route était déserte, mais euh...Si un animal était sorti de la forêt devant les roues de la Z1, je ne serais probablement pas là en train d'écrire ce post...
Depuis, et beaucoup plus tard, j'ai bien sur eu l'occasion, avec mes propres motos, de rouler largement à ces vitesses "criminelles", notamment dans les années 1988-1992, pendant lesquelles on roulait encore assez fort. Mais ce souvenir de 17 ans m'est resté comme une tache indélébile dans mon cerveau...
APEMA
Re: Alors,c'est laquelle?
Ha ben si on raconte not'vie c'est plus pareil, la question serait plutôt :"qu'est-ce qui vous a mis la passion qui vous dévore aujourd’hui encore?"
Je pense l'avoir déjà évoqué ici ou sur le CRC je ne sais plus.
J'habite Dunkerque à cette époque, chez mes parents bien sûr et dans un endroit assez magique puisque je suis voisin du phare qui indique la passe entre la haute mer et le port.
Ce sont moult entreprises qui gravitent autour de la construction et de la réparation navale qui animent toute la journée les routes et les quais alentours.
Nous avons une maison attenante aux bureaux et ateliers, ça se faisait à cette époque de vivre en famille sur le site du travail.
A 12 ans j'suis le p'tit dernier comme on dit, et mes frères possèdent une T120 pour l'un et une Kawa Big Horn pour l'autre, ils sont étudiants.
Feignants, le soir, ils me demandent de rentrer en poussant les motos au garage, je ne me fais pas prier car je suis déjà complètement accro, les posters de Trails dans ma piaule ou collés dans mon cahier de texte.
Je fais 1.70 à cet age et il m’apprenne un jour à kicker et à passer les vitesses, et autorisation de les démarrer pour les rentrer au garage.
Bon, vitesses à droite pour la Triumph et l'autre vitesse à gauche pour la Kawasaki, mais je suis tellement excité que je manie de suite les sélecteurs avec brio.
Et puis, de les démarrer pour les rentrer au garage, je passe à rouler 100m pour revenir de suite le cœur battant et puis un jour plus loin, l'autre encore plus, je fini par faire quelques bornes tous les soirs en loucedé mais avec un taux d'adrénaline frôlant la zone rouge.
Il faut dire que le soir c'est le désert, les entreprises sont fermées, les flics ne viennent absolument jamais par chez nous, c'est le bout du monde, de très longue ligne droite, pour ceux qui pourraient connaitre, au bout de ma rue c'est l'écluse Watier, ensuite l’écluse De Gaulle, et la digue du break avec 20 bornes au bord de l'eau entre ciel et sable, c'est en partie sur cette digue qu'a été tourné le film Dunkirk l'été 2015.
Tu déboules sans casque, ben oui, je ne voulais pas que mes frères le sache, jusqu'au jour où ils ont pigé et m'ont dit de le porter, le Bell tout blanc de mon frère, mais imaginez la liberté d'un gamin de 13 ans qui faisait des ronds dans le sable avec un 350 Big Horn 2 temps, qui roulait dans l'eau pour chasser les mouettes et les goélands pendant que le soleil se couchait J'ai toujours était porté par les tous terrains, j'aimais la T120 mais rien en comparaison de l'arrachement des avant bras que me procurait le 350 Kawa.
C'était une période magique j'y pense très souvent encore.
Voilà une des situations qui fait que je sois encore passionné des années plus tard, que je rêve de voyage en trail et que je m'imagine rouler en toute liberté vers une destination que la veille au soir j'aurais imaginé, chaque jour différent au gré de mon instinct avec le projet d'une région, d'un pays en finalité, la Mongolie, La Patagonie, l'Afrique, l'Asie et je ne vois rien d'autre qu’un 2 roues pour m'y emmener...
Je pense l'avoir déjà évoqué ici ou sur le CRC je ne sais plus.
J'habite Dunkerque à cette époque, chez mes parents bien sûr et dans un endroit assez magique puisque je suis voisin du phare qui indique la passe entre la haute mer et le port.
Ce sont moult entreprises qui gravitent autour de la construction et de la réparation navale qui animent toute la journée les routes et les quais alentours.
Nous avons une maison attenante aux bureaux et ateliers, ça se faisait à cette époque de vivre en famille sur le site du travail.
A 12 ans j'suis le p'tit dernier comme on dit, et mes frères possèdent une T120 pour l'un et une Kawa Big Horn pour l'autre, ils sont étudiants.
Feignants, le soir, ils me demandent de rentrer en poussant les motos au garage, je ne me fais pas prier car je suis déjà complètement accro, les posters de Trails dans ma piaule ou collés dans mon cahier de texte.
Je fais 1.70 à cet age et il m’apprenne un jour à kicker et à passer les vitesses, et autorisation de les démarrer pour les rentrer au garage.
Bon, vitesses à droite pour la Triumph et l'autre vitesse à gauche pour la Kawasaki, mais je suis tellement excité que je manie de suite les sélecteurs avec brio.
Et puis, de les démarrer pour les rentrer au garage, je passe à rouler 100m pour revenir de suite le cœur battant et puis un jour plus loin, l'autre encore plus, je fini par faire quelques bornes tous les soirs en loucedé mais avec un taux d'adrénaline frôlant la zone rouge.
Il faut dire que le soir c'est le désert, les entreprises sont fermées, les flics ne viennent absolument jamais par chez nous, c'est le bout du monde, de très longue ligne droite, pour ceux qui pourraient connaitre, au bout de ma rue c'est l'écluse Watier, ensuite l’écluse De Gaulle, et la digue du break avec 20 bornes au bord de l'eau entre ciel et sable, c'est en partie sur cette digue qu'a été tourné le film Dunkirk l'été 2015.
Tu déboules sans casque, ben oui, je ne voulais pas que mes frères le sache, jusqu'au jour où ils ont pigé et m'ont dit de le porter, le Bell tout blanc de mon frère, mais imaginez la liberté d'un gamin de 13 ans qui faisait des ronds dans le sable avec un 350 Big Horn 2 temps, qui roulait dans l'eau pour chasser les mouettes et les goélands pendant que le soleil se couchait J'ai toujours était porté par les tous terrains, j'aimais la T120 mais rien en comparaison de l'arrachement des avant bras que me procurait le 350 Kawa.
C'était une période magique j'y pense très souvent encore.
Voilà une des situations qui fait que je sois encore passionné des années plus tard, que je rêve de voyage en trail et que je m'imagine rouler en toute liberté vers une destination que la veille au soir j'aurais imaginé, chaque jour différent au gré de mon instinct avec le projet d'une région, d'un pays en finalité, la Mongolie, La Patagonie, l'Afrique, l'Asie et je ne vois rien d'autre qu’un 2 roues pour m'y emmener...
the thing
Re: Alors,c'est laquelle?
C'est au même endroit que mon père me laissait le volant de la 2cv, pour m'apprendre à conduire, à 15 ans....
En effet, jamais de flics dans ce coin là!
En effet, jamais de flics dans ce coin là!
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« Adding power makes you faster on the straights. Subtracting weight makes you faster everywhere ». C. Chapman
Que la bête meure.
Mais pas tout de suite...
Re: Alors,c'est laquelle?
Fred,après t'avoir lu,j'ai réalisé que pendant ma lecture,j'étais assis sur ta moto de ton frangin...
C'est con non...
Pour moi, les souvenirs du meme style,c'est quant à 12 ans je me levais la nuit pour faire un viron avec l'AV 88(?)de mon paternel.
Quand on en a reparlé 20 ans plus tard(y avait prescription) il ma dit qu'il s'en doutait par rapport à la conso...
Putain,on était jeunes et beaux.
ça a un peu changé,surtout pour toi...
A bientot pour un cassoulet qui n'en n'est pas un
C'est con non...
Pour moi, les souvenirs du meme style,c'est quant à 12 ans je me levais la nuit pour faire un viron avec l'AV 88(?)de mon paternel.
Quand on en a reparlé 20 ans plus tard(y avait prescription) il ma dit qu'il s'en doutait par rapport à la conso...
Putain,on était jeunes et beaux.
ça a un peu changé,surtout pour toi...
A bientot pour un cassoulet qui n'en n'est pas un
bebert 84
Re: Alors,c'est laquelle?
J'en ai deux la HONDA XL 250
Et hou la la
750 H2
La première fois que je suis monté en passager sur la Honda la seconde sur la H2.
Whaou pour un début j'ai manqué de me retrouver assis par terre derrière la H2 (en ville) le pilote (un client en critérium 750) m'a attrapé la jambe gauche et coupé les gazzzzz.
Mes parents n'en ont rien su
Et hou la la
750 H2
La première fois que je suis monté en passager sur la Honda la seconde sur la H2.
Whaou pour un début j'ai manqué de me retrouver assis par terre derrière la H2 (en ville) le pilote (un client en critérium 750) m'a attrapé la jambe gauche et coupé les gazzzzz.
Mes parents n'en ont rien su
Motocine
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