Le monde est fou ?

Richard de l'Aulagnier a écrit:[img][/img]
Simone elle était pas si mal,avant et il ne faut pas oublier qu'elle a été une syndicaliste acharnée.
@ G2BM:Je ne suis pas cynique,il ne faut pas confondre l'humour grinçant qui est un second degré avec le cynisme qui est une vision du monde au premier degré.
Ça me protège d'une situation dont je profite sans l'avoir désirée et à laquelle je ne peux rien.

Damned, alors Wade il devait ressembler à Eddy Murphy et Michel Simon à James Dean

Les négresses vieillissent mal,c'est connu.

Ca prouve juste qu'on peut avoir été une syndicaliste acharnée et devenir une nazillonne acharnée doublée d'une mystique illuminée.

Richard de l'Aulagnier a écrit:Les négresses vieillissent mal,c'est connu.

C'est pas pire que les blanches et parfois même mieux, mais de toutes façons nettement moins emmerdantes dans la majorité des cas

Richard de l'Aulagnier a écrit:@ G2BM:Je ne suis pas cynique,il ne faut pas confondre l'humour grinçant qui est un second degré avec le cynisme qui est une vision du monde au premier degré.
Ça me protège d'une situation dont je profite sans l'avoir désirée et à laquelle je ne peux rien.

Pour ma part le cynisme consiste à faire fi des conventions sociales et morales.
Mais ouais, ta raison continuons donc à cultiver nos idées de l'ordre établi paré de notre morale judéo-chrétienne et bien-pensante supposée avoir une existance légale.

C'est Richard que tu traites de bien-pensant judéo-chrétien qui cultive l'ordre établi ?

Richard de l'Aulagnier a écrit:.......et?

Non.....rien......laisse tomber.

G2BM a écrit:
Pour ma part le cynisme consiste à faire fi des conventions sociales et morales.
Mais ouais, ta raison continuons donc à cultiver nos idées de l'ordre établi paré de notre morale judéo-chrétienne et bien-pensante supposée avoir une existance légale.

Ca fait plaisir de se sentir compris.

Mick13 a écrit:Je ne sens pas trop le vent de l'évolution chez nous, même si le vent de la révolution souffle ailleurs



{Soufflée dans le vent}

Combien de routes un homme doit-il parcourir
Avant que vous ne l'appeliez un homme?
Oui, et combien de mers la colombe doit-elle traverser
Avant de s'endormir sur le sable?
Oui, et combien de fois doivent tonner les canons
Avant d'être interdits pour toujours?
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
La réponse est soufflée dans le vent.

Combien de fois un homme doit-il regarder en l'air
Avant de voir le ciel?
Oui, et combien d'oreilles doit avoir un seul homme
Avant de pouvoir entendre pleurer les gens?
Oui, et combien faut-il de morts pour qu'il comprenne
Que beaucoup trop de gens sont morts?
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
La réponse est soufflée dans le vent.

Combien d'années une montagne peut-elle exister
Avant d'être engloutie par la mer?
Oui, et combien d'années doivent exister certains peuples
Avant qu'il leur soit permis d'être libres?
Oui, et combien de fois un homme peut-il tourner la tête
En prétendant qu'il ne voit rien?
La réponse, mon ami, est soufflée dans le vent,
La réponse est soufflée dans le vent.

{Traduction fournie par marialice54 (marialice54@hotmail.fr)}

J'aime bien cette chanson.

Voici le lien de Wikipédia sur l'historique de cette chanson.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Blowin'_in_the_Wind


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Flatosaure a écrit:C'est Richard que tu traites de bien-pensant judéo-chrétien qui cultive l'ordre établi ?

Oooh, l'a traité mon copaing là !

Richard de l'Aulagnier a écrit:

G2BM a écrit:
Pour ma part le cynisme consiste à faire fi des conventions sociales et morales.
Mais ouais, ta raison continuons donc à cultiver nos idées de l'ordre établi paré de notre morale judéo-chrétienne et bien-pensante supposée avoir une existance légale.

Ca fait plaisir de se sentir compris.

C'est vrai que c'est un peu provoc. Disons que c'est de "l'humour grinçant qui est un second degré"

Je ressent actuellement un peu la même chose que Dylan :

« Je n'ai pas grand-chose à dire sur cette chanson sinon que les réponses sont dans le souffle du vent. Elles ne sont pas dans les livres, les films, la télé ou les discussions politiques. Mec, les gens branchés prétendent me dire où se trouve la vérité, mais je n'y crois pas. Je dis toujours qu'elle est dans le souffle du vent et que, comme une feuille de papier jetée en l'air, elle retombera un jour... Mais le problème en fait, c'est que personne n'attrape la réponse au moment où elle redescend du ciel, si bien qu'il n'y a pas grand-monde qui aille y voir, et savoir... et alors, elle reprend son envol à nouveau. »

— Bob Dylan pour Sing Out!, Anthony Scaduto, Bob Dylan, p. 205

Mick13 a écrit:Je ressent actuellement un peu la même chose que Dylan :

« Je n'ai pas grand-chose à dire sur cette chanson sinon que les réponses sont dans le souffle du vent. Elles ne sont pas dans les livres, les films, la télé ou les discussions politiques. Mec, les gens branchés prétendent me dire où se trouve la vérité, mais je n'y crois pas. Je dis toujours qu'elle est dans le souffle du vent et que, comme une feuille de papier jetée en l'air, elle retombera un jour... Mais le problème en fait, c'est que personne n'attrape la réponse au moment où elle redescend du ciel, si bien qu'il n'y a pas grand-monde qui aille y voir, et savoir... et alors, elle reprend son envol à nouveau. »

— Bob Dylan pour Sing Out!, Anthony Scaduto, Bob Dylan, p. 205

elle doit être bonne ta beuh !

ça veut dire que beaucoup de gens comme moi ressentent que ça cloche, mais personne n'agit, peu se révoltent, c'est ce que j'ai ressentis en lisant cet interview de Dylan

Mick13 a écrit:ça veut dire que beaucoup de gens comme moi ressentent que ça cloche, mais personne n'agit, peu se révoltent, c'est ce que j'ai ressentis en lisant cet interview de Dylan

Ça cloche et pas mal de gens agissent. Les nombreux liens joints à ce post en témoignent.
Heureusement qu'il existe une poignée d'irréductibles qui s'organisent, luttent et se battent avec les moyens dont ils disposent.
Par ailleurs, la poésie (celle de Dylan entre autres) apaise mais n'est pas porteuse de solutions. Après avoir constaté ce qui n'allait pas encore faudrait-il qu'on se mette au au boulot, sinon...

C'est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre
Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir.
(Les Fleurs du Mal (1857), La Mort des pauvres de Charles Baudelaire)

G2BM a écrit:

C'est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre
Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir.
(Les Fleurs du Mal (1857), La Mort des pauvres de Charles Baudelaire)

Les fleurs du mâle c'est joli mais ce n'est que de la poésie,le premier vers n'a aucun sens (sauf pour les pompes funèbres), et n'a pour lui que d'avoir le bon nombre de pieds,le second est faux,le but de la vie est sa perpétuation,sauf à entendre but au sens de terme,ce qui est une impropriété,le troisième fait sans doute référence aux penchants (désolé,Francis) de l'auteur,le quatrième me fait penser à guillaume d'Orange et son très motivant "il est inutile d'espérer..."
Désolé,j'avais un vieux compte à régler avec Basdelaine.

Richard de l'Aulagnier a écrit:Les négresses vieillissent mal,c'est connu.

Elles devienne même verte, parfois

caramba a écrit:

Richard de l'Aulagnier a écrit:Les négresses vieillissent mal,c'est connu.

C'est pas pire que les blanches et parfois même mieux, mais de toutes façons nettement moins emmerdantes dans la majorité des cas

Désolé si je t'ai vexé ou choqué,d'autant que je serais plutôt d'accord avec toi,mais le terme de black ne me semble pas plus courtois,je préfère dire con que non comprenant,et pédé plutôt que gay.
Pour en revenir à Simone,je voulais juste dire que les choses sont rarement aussi simples que ce qu'on nous en dit.

Négre, selon moi (mais ça n'engage que moi), ça a un relent esclavagiste et colonaliste d'un autre age. Ce n'était peut-être pas péjoratif à l'époque mais ça l'est devenu. Un peu comme bougnoul. Qui veut dire Homme noir en Woloff (Voir explication de Flatosaure)
Bon, ce n'est pas grave.
Mais à vivre longtemps avec des gens différents, on ne fait même plus attention à cette différence.
Une chose qui est certaine, c'est qu'il y a autant d'enflures chez les blancs que chez noirs, le fond et le même, la seule différence vient de la façon de te baiser.

Richard de l'Aulagnier a écrit:C'est vrai qu'y z'ont un gros kiki?

Enfin, "baiser", c'était au figuré. Il vaudrait mieux dire "rouler"

Richard de l'Aulagnier a écrit:

G2BM a écrit:

C'est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre
Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir.
(Les Fleurs du Mal (1857), La Mort des pauvres de Charles Baudelaire)

Les fleurs du mâle c'est joli mais ce n'est que de la poésie,le premier vers n'a aucun sens (sauf pour les pompes funèbres), et n'a pour lui que d'avoir le bon nombre de pieds,le second est faux,le but de la vie est sa perpétuation,sauf à entendre but au sens de terme,ce qui est une impropriété,le troisième fait sans doute référence aux penchants (désolé,Francis) de l'auteur,le quatrième me fait penser à guillaume d'Orange et son très motivant "il est inutile d'espérer..."
Désolé,j'avais un vieux compte à régler avec Basdelaine.

En préambule et à propos de Baudelaire, il est dit que son inspiration poétique emprunte plus d’une fois l’apparence du cauchemar mais en même temps on relate qu’il heurtait tous les usages, il reniait ce qui est convenu de respecter, il érigeait en dogme un scepticisme éclairé.

Ce pourquoi je suis sensible à ses vers et notamment le premier qui, selon mon sentiment n’est pas dénué de sens. Il concerne précisément le sens de la vie et de "la grande peur" qui nous hante. Justement parce que l’homme est habité par un état de conscience qui l’oblige à donner sens à tout ce qu’il fait ou tout ce qu’il produit, s’il est une chose pour laquelle il ne dispose d’aucune réponse tangible, c’est bien la mort.
Les religions, la théologie, les sciences sont, depuis des temps séculaires, soumises à l’incertitude, aux contingences cherchant dans le vivant et ses qualités la justification de ce qu’elles ne comprennent pas et ne savent expliquer.
Le deuxième vers vient en réponse au premier car il est indéniable que la vie est une "maladie" mortelle pris dans le sens de "terme" comme tu l’indiques et qui, je pense, focalise les angoisses de son auteur. Ici, la pensée sur la mort considère l'homme composé d'un corps périssable et d'une âme immortelle destinée à une éternité bienheureuse, c’est pourquoi il est indiqué "c’est le seul espoir".
Le troisième vers présente peut être, mais pas seulement, une inclinaison pour la dive bouteille mais fait aussi allusion aux effets que procure l’ensemble des substances psychotropes dont on ne peut toujours en dominer les effets. On y retrouve ainsi l’absence de maîtrise et le même état d’angoisse que la crainte de la mort, ce qui caractérise la personnalité du poète.
Le quatrième vers marque l’espoir, louant à la fois l’effet antidépressif de l’expérience éthylique et aussi celui de la libération de vivre pour enfin accéder à … la vie éternelle ?
Pour ce qui est de Guillaume d’orange « Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer » il faut être agile pour y trouver une corrélation si l’on considère, selon les obédiences auxquelles on se soumet, que le temps de la vie ici-bas est éphémère par rapport à l'éternité. Inaccessible à l’intellect, la mort ne s’explique pas et pourtant la mort habite le vivant.

G2BM a écrit:

Richard de l'Aulagnier a écrit:

G2BM a écrit:

C'est la mort qui console, hélas et qui fait vivre;
C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre
Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir.
(Les Fleurs du Mal (1857), La Mort des pauvres de Charles Baudelaire)

Les fleurs du mâle c'est joli mais ce n'est que de la poésie,le premier vers n'a aucun sens (sauf pour les pompes funèbres), et n'a pour lui que d'avoir le bon nombre de pieds,le second est faux,le but de la vie est sa perpétuation,sauf à entendre but au sens de terme,ce qui est une impropriété,le troisième fait sans doute référence aux penchants (désolé,Francis) de l'auteur,le quatrième me fait penser à guillaume d'Orange et son très motivant "il est inutile d'espérer..."
Désolé,j'avais un vieux compte à régler avec Basdelaine.

En préambule et à propos de Baudelaire, il est dit que son inspiration poétique emprunte plus d’une fois l’apparence du cauchemar mais en même temps on relate qu’il heurtait tous les usages, il reniait ce qui est convenu de respecter, il érigeait en dogme un scepticisme éclairé.

Ce pourquoi je suis sensible à ses vers et notamment le premier qui, selon mon sentiment n’est pas dénué de sens. Il concerne précisément le sens de la vie et de "la grande peur" qui nous hante. Justement parce que l’homme est habité par un état de conscience qui l’oblige à donner sens à tout ce qu’il fait ou tout ce qu’il produit, s’il est une chose pour laquelle il ne dispose d’aucune réponse tangible, c’est bien la mort.
Les religions, la théologie, les sciences sont, depuis des temps séculaires, soumises à l’incertitude, aux contingences cherchant dans le vivant et ses qualités la justification de ce qu’elles ne comprennent pas et ne savent expliquer.
Le deuxième vers vient en réponse au premier car il est indéniable que la vie est une "maladie" mortelle pris dans le sens de "terme" comme tu l’indiques et qui, je pense, focalise les angoisses de son auteur. Ici, la pensée sur la mort considère l'homme composé d'un corps périssable et d'une âme immortelle destinée à une éternité bienheureuse, c’est pourquoi il est indiqué "c’est le seul espoir".
Le troisième vers présente peut être, mais pas seulement, une inclinaison pour la dive bouteille mais fait aussi allusion aux effets que procure l’ensemble des substances psychotropes dont on ne peut toujours en dominer les effets. On y retrouve ainsi l’absence de maîtrise et le même état d’angoisse que la crainte de la mort, ce qui caractérise la personnalité du poète.
Le quatrième vers marque l’espoir, louant à la fois l’effet antidépressif de l’expérience éthylique et aussi celui de la libération de vivre pour enfin accéder à … la vie éternelle ?
Pour ce qui est de Guillaume d’orange « Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer » il faut être agile pour y trouver une corrélation si l’on considère, selon les obédiences auxquelles on se soumet, que le temps de la vie ici-bas est éphémère par rapport à l'éternité. Inaccessible à l’intellect, la mort ne s’explique pas et pourtant la mort habite le vivant.

-L'état de conscience explique au contraire très bien à l'homme ce qu'est la mort,il l'accepte sans réticence pour toutes choses ,sauf pour lui et quelques êtres proches,parfois.
Alors que toutes ses recherches sur une supposée "äme" n'ont jamais rien données,la plupart des religions (crées par l'homme ou par l'homme dominateur?) s'en excipent pour inciter leur membres à des conduites irrationnelles,bien loin de l'état de conscience.
J'ai longtemps pensé que l'homme avait créé les religions pour gérer la mort,inacceptable pour lui,mais si l'on considère que beaucoup de peuples gèrent très bien l'idée de la mort,on se demande si,en fait,ce n'est pas plutôt une création de la frange dominatrice de la société.
-Si on dominait les effets des psychotropes,je ne vois pas quel serait leur intérêt.
-La mort s'explique au contraire très bien si l'on renonce au côté absurde d'une "vie éternelle",dont on ne perçoit pas le moindre début de commencement d'une trace et dont on ne voit pas l'intérêt si ce n'est comme une arnaque classique,"rampez maintenant,vous vivrez plus tard"
-Toutes les religions ne promettent d'ailleurs pas la vie éternelle,lesquelles ont raison?

Ah Baudelaire, vaste débat
quand il ecrit :
"O mort, vieux capitaine, il est temps! levons l’ancre.
Ce pays nous ennuie, ô mort! Appareillons!
Si le ciel et la mer sont noirs comme de l’encre, nos coeurs que tu connais sont remplis de rayons!"
Beaucoup voient ici un propos pessimiste, suicidaire, moi je vois un rêve d'ailleurs. La poésie a souvent plusieurs lectures, sans forcément que l'une ou l'autre soit la seule et unique vérité.
C'était quelqu'un qui était en avance sur son époque sans doute, qui se moquait de la différence (Cf Jeanne Duval, sa maîtresse métisse).
Les poètes et les divers artistes, même s'ils ne proposent pas de réponses, il donnent parfois des mots, une vision, une image sur un sentiment.

G2BM a écrit:

Mick13 a écrit:ça veut dire que beaucoup de gens comme moi ressentent que ça cloche, mais personne n'agit, peu se révoltent, c'est ce que j'ai ressentis en lisant cet interview de Dylan

Ça cloche et pas mal de gens agissent. Les nombreux liens joints à ce post en témoignent.
Heureusement qu'il existe une poignée d'irréductibles qui s'organisent, luttent et se battent avec les moyens dont ils disposent.
Par ailleurs, la poésie (celle de Dylan entre autres) apaise mais n'est pas porteuse de solutions. Après avoir constaté ce qui n'allait pas encore faudrait-il qu'on se mette au au boulot, sinon...

Perso , je ne suis pas "structuré" pour agir mais je soutiens ceux qui le font . Je mène également ma vie et entraine également ma petite famille par des choix qui ne sont jamais anodins ....et j'agis avec mon coeur !
Plus ce post avance et plus je reste baba devant tant de réflexion , bravo les gars je me sens tout petit , je vais me contenter de continuer de lire simplement...

En fait je pense que la solution est individuelle, c'est a dire que 'l'on" ouvre les yeux. Si on est assez, il y aura éventuellement d'autres approches.
J'aime bien par exemple le principe locavore, acheter local, je pense qu'il y a plein de petits gestes comme ça dans la vie de tout les jours. Une façon aussi de voir notre entourage sans se classer dans une caste, sans besoin de signes d'appartenance (sauf le flat twin, bien sur )

To be or not to be, hé oui là est la question !
Est-ce l’homme qui a créé Dieu ou bien Dieu qui a créé l’homme.
Les fondements de l’existence résident dans la réponse à cette question que chacun, en son âme et conscience, choisi pour lui-même et fait le choix de sa communauté.
Pour ma part, en bon mécréant hédoniste que je suis, je pense que l’homme a créé la religion pour tenir les masses et pouvoir ainsi les diriger. Il en est de même pour la morale, les lois de la république, la philosophie, etc. qui tendent de répondre du mieux possible avec leur préceptes et leur dogme. Sauf, pour l’art et ses nombreuses formes d’expressions qui démontrent que l’inutilité nous est aussi nécessaire de la forme la plus sensible jusqu’aux choses les plus subtiles.
Bon, à priori tout ça ne marcherait pas si mal mais comme à toute règle il y existe une exception. Notre façon d’être au monde est si mal maitrisée qu’ il subsiste des oppositions qui évoluent en conflits provoquent des affrontements engendrent des guerres et nous abandonnent à la barbarie et dans son sillage l’injustice et la mort. C’est cela qui est insupportable et pour lequel on ne peut rien.
C’est pourquoi notre existence à ses raisons que la raison ignore.