Vous lisez quoi en ce moment ?

nortonton a écrit:Je viens de l ' acheter.

Moi aussi et avec ton lien, merci JL...

Vous me direz.....

Pour les pêcheurs à la mouche et autres .......

J'ai hésité à l'acheter à Noël.
C'est bien ?

Je viens juste de finir de le lire, pour moi un des meilleurs de cet auteur, il y raconte ses sorties pêche à la mouche aux Etats-Unis seul ou avec des copains et en même temps ces récits livrent quelques observations douces-amères sur le monde qui nous entoure.
Maintenant si tu n'es pas pêcheur (sans jeu de mots) tu risques d'abandonner le bouquin avant la fin.

Francesco a écrit:Pour ceux qui aiment les drames ruraux. Mais pas que. 
Une superbe écriture, des gens comme on en devine lorsqu'on traverse la France par les ch'tites routes bien paumées.
Une histoire forte, imprégnée des Cévennes en hiver. 
J'ai adoré " Grossir le ciel".

Du coup, hier j'en ai acheté deux autres.

L'écrivain s'appelle Franck BOUYSSE. 

Merci pour l'info!

Après quelques insomnies bien comblées par la relecture de Brown's Requiem de James Ellroy, j'ai commencé "Le jour d'avant" de Sorj Chalandon...

Un grand livre, un très grand livre que j'ai du mal à lâcher...

Merci à celui qui m'a fait découvrir cet auteur...

J'ai ressorti les James Ellroy d'un carton au garage. Mais je ne m'y suis pas encore attaqué. J'attends la retraite peut-être ? 
Pour  Sorj Chalandon, je me souviens....Un auteur qui prend aux tripes.
Mais je n'ai lu qu'un seul bouquin de lui.

Je viens de finir "grossir le ciel" et j'attaque "glaise"
je découvre cet auteur, merci de nous l'avoir fait connaître

J'arrive à la fin de "Glaise".

TINTIN8645 a écrit:Je viens de finir "grossir le ciel" et j'attaque "glaise"

J'ai fini aussi "grossir le ciel" j'ai beaucoup aimé...

Rien à voir avec la "grande" littérature, mais là ,un pote m'a prêté une pile de fana de l'aviation, me voilà repris par mon ancienne passion des warbirds. 

Par ailleurs, je suis sidéré de voir le nombre de vieilles carcasses d'avions qu'on remet en état de voler, c'est ahurissant !

the thing a écrit:

TINTIN8645 a écrit:Je viens de finir "grossir le ciel" et j'attaque "glaise"

J'ai fini aussi "grossir le ciel" j'ai beaucoup aimé...

Je l'ai fini aussi.
Histoire prenante.
Très belle ambiance.
On a envie d 'en lire d 'autres de cet auteur.

Merci pour les retours ! 


J'ai beaucoup aimé "Glaise" aussi et Béa me dit que "Plateau" est à la hauteur de "Grossir le ciel".......

Un recueil de nouvelles de Tesson.
Cynique et tellement réaliste quand à sa connaissance de la nature humaine, de l'absurdité de notre condition, de notre humanité parfois ......

(Ma copine du matin est restée en Sardaigne.  )

Sympa ce recueil de Tesson. Des nouvelles inégales mais marquantes.
J'ai fini il n'y a pas longtemps "Ecoutez nos défaites" de Laurent Gaudé, qui réunit trois guerriers célèbres à leur époque et un actuel plus discret dans un essai sur la valeur de la défaite. J'ai beaucoup aimé.

En ce moment, je lis Crépuscule de Juan Branco .... en fait c'est démoralisant 
C'est écrit comme un travail de chercheur, beaucoup de citations, de sources 

Je sors d'une série de Tesson, finalement je préfère le dépaysement

Je lis la bible .

Bonjour,

Je viens de finir le roman La Clé de Salomon aux éditions Pocket. L'auteur est J.R. Dos Santos.
C'est un roman de type "thriller" en s'appuyant sur des données scientifiques et techniques comme s'est mentionné dans la première page : Avertissement. "Toutes les théories et hypothèses ici exposées sont défendues par des scientifiques reconnus"

La trame me rappelle le livre du Da Vinci Code. Il ne s'agit pas de religion mais de science, plus particulièrement de physique et pourquoi pas philosophie. Je vous avoue que par moment, j'ai décroché sautant des chapitres entiers consacrés à la science. Mais au final, le thriller bien qu'intéressant nous sert un déjà vu.

Je vous livre la pépite de la citation en première page :

La voie qui peut être exprimé par la parole
n'est pas la voie éternelle.
Le nom qui peut être nommé
n'est pas le Nom éternel.
(L'être) sans nom est l'origine
du ciel et de la terre ;
avec un nom il est la mère de toutes choses.


C'est pourquoi,
lorsqu'on est constamment exempt de passions,
on voit son essence spirituelle ;
lorsqu'on a constamment des passions,
on le voit sous forme bornée.


Ces deux choses ont une même origine
et reçoivent des noms différents.
On les appelle toutes deux profondes.
Elles sont profondes, doublement profondes.
C'est la porte de toutes les choses spirituelles


Tao Te King, Livre Premier Chapitre Premier,
Le livre de la Voie et de la Vertu


Pour tout vous dire, j'ai pas bien compris, mais bon, j'ai passé un bon moment 

C 'est plus clair en chinois.

Boxy a écrit:Je lis la bible .

Ça devrait plaire à Jim Harrison, dont j'apprécie tous les jours la verve féroce, dans :





" Quand la vie décide de m'accabler, je sais que je peux faire confiance à un Bandol, à quelques gousses d'ail et à Mozart ".
 " Il me semble que si le christianisme offrait un grand verre d'un excellent vin français à la communion, les églises seraient des lieux autrement plus joyeux, et partant, plus spirituels. "


"Tous les lecteurs de Jim Harrison connaissent son appétit vorace pour la bonne chère, les meilleurs vins et autres plaisirs bien terrestres qui irriguent son œuvre. Grâce à ce Sacré gueuleton, même les plus fidèles d’entre eux seront surpris de découvrir l’étendue de ses écrits sur le sujet. Rassemblés pour la première fois en un seul volume, ces articles publiés au fil de sa carrière ne se contentent pas de célébrer les plaisirs de la table. Savoureux quand il croque les travers comparés des critiques littéraires et des experts œnologues, féroce quand il brocarde l’affadissement du goût et la nourriture industrielle, Big Jim parle de gastronomie avec la même verve que lorsqu’il évoque la littérature, la politique, l’amour des femmes ou l’amour tout court. En chemin, il déroule des recettes toujours réjouissantes, parfois inattendues, et fait preuve d’un humour dévastateur à l’égard des pisse-vinaigres de tout poil. Parents, amis, écrivains, hommes politiques et personnages de roman se croisent au fil des pages pour composer un autoportrait du gourmand vagabond, une biographie en creux de l’auteur de Dalva, de Légendes d’automne et du Vieux Saltimbanque. Ce livre est un véritable festin littéraire qui comblera tous les appétits."



Je confirme, ce gars était un ogre bourré d'humour. Tiens, je me dis qu'à la retraite, je vais me mettre à cuisiner ! 

Drel37 a écrit: Je vous avoue que par moment, j'ai décroché sautant des chapitres entiers consacrés à la science. Mais au final, le thriller bien qu'intéressant nous sert un déjà vu.

En gros c'est nul, prétentieux et illisible quoi ? 

Francesco a écrit:

Drel37 a écrit: Je vous avoue que par moment, j'ai décroché sautant des chapitres entiers consacrés à la science. Mais au final, le thriller bien qu'intéressant nous sert un déjà vu.

En gros c'est nul, prétentieux et illisible quoi ? 

Mouais, quoique bien écrit, oui ! Bien sûr à mon humble opinion 

nortonton a écrit:C 'est plus clair en chinois.

Mouarffff 

Francesco a écrit:



Ça devrait plaire à Jim Harrison, dont j'apprécie tous les jours la verve féroce, dans :





" Quand la vie décide de m'accabler, je sais que je peux faire confiance à un Bandol, à quelques gousses d'ail et à Mozart ".
 " Il me semble que si le christianisme offrait un grand verre d'un excellent vin français à la communion, les églises seraient des lieux autrement plus joyeux, et partant, plus spirituels. "


"Tous les lecteurs de Jim Harrison connaissent son appétit vorace pour la bonne chère, les meilleurs vins et autres plaisirs bien terrestres qui irriguent son œuvre. Grâce à ce Sacré gueuleton, même les plus fidèles d’entre eux seront surpris de découvrir l’étendue de ses écrits sur le sujet. Rassemblés pour la première fois en un seul volume, ces articles publiés au fil de sa carrière ne se contentent pas de célébrer les plaisirs de la table. Savoureux quand il croque les travers comparés des critiques littéraires et des experts œnologues, féroce quand il brocarde l’affadissement du goût et la nourriture industrielle, Big Jim parle de gastronomie avec la même verve que lorsqu’il évoque la littérature, la politique, l’amour des femmes ou l’amour tout court. En chemin, il déroule des recettes toujours réjouissantes, parfois inattendues, et fait preuve d’un humour dévastateur à l’égard des pisse-vinaigres de tout poil. Parents, amis, écrivains, hommes politiques et personnages de roman se croisent au fil des pages pour composer un autoportrait du gourmand vagabond, une biographie en creux de l’auteur de Dalva, de Légendes d’automne et du Vieux Saltimbanque. Ce livre est un véritable festin littéraire qui comblera tous les appétits."



Je confirme, ce gars était un ogre bourré d'humour. Tiens, je me dis qu'à la retraite, je vais me mettre à cuisiner ! 

Je suis un fan "absolu" de Jim Harrison.
Il m'a ouvert les yeux (j'avais beaucoup de merde dedans), en me révélant que certains américains savaient cuisiner et appréciaient les plats et recettes européens (j'oserai dire français), en plus des vins.

En plus de son talent d'auteur (je place Dalva au Panthéon de mes lectures favorites), son amour (et sa pratique) de la nature, de la chasse (il a écrit des pages magnifiques où on peut lire l'amour porté à ses chiens) en font un auteur à part dans le paysage étasunien.


Mais il est resté très américain dans son rapport à l'argent.
Il a personnellement longtemps tiré la langue, mais quand la roue a tourné, il a multiplié les personnages de roman pas vraiment gênés aux entournures.
Dalva travaille parce qu'elle le veut, mais elle n'en a pas besoin.
Et son livre "Aventures d'un gourmand vagabond" est de ce point de vue un peu caricatural. Quand il fait avec son ami un périple en france avec pour objectif de dépenser 1000$ par jour en bonne chère et beaux hotels... (et qu'il l'écrit), il brise le rêve...
Certes c'est un recueil de chroniques écrites pour (achetées par) un périodique ricain pour mamies péroxydées, mais quand même, merde Jim, t'as déconné, là...
Bon, c'est pas moi qui payait ses impôts ou ses pensions alimentaires, alors, qui suis-je pour juger ?
Il reste mon auteur américain favori, avec :
-James Crumley
-James Lee Burke
-Craig Johnson
-William G Tapply
-Edward Abbey