souvenir souvenir , 10 ans déja
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souvenir souvenir , 10 ans déja
une belle photo et un CR en PDF trouvé sur le net . De belles rencontres et un univers nouveau pour moi . Partir d'une idée loufoque, chiche......et finalement réunir un groupe d'illuminés qui marchent dans le même sens , mettent à contribution leurs compétences , leur matos, leur envie , sans chercher à écraser son voisin pour se faire remarquer, pour finalement décrocher le graal . Si la société pouvait fonctionner comme ça je pense que ça irait mieux . A UTOPIA peut-être .........Bon c'était ma pensée 2024.
PDF : Vendredi, 11h. Les mômes ont bossé dur, j’attends dans ma combarde depuis une bonne heure que la R100 pousse son premier cri. A 40 minutes de la fin de la séance, c’est chose faite, mais elle pisse l’huile. Faux départ, les jeunes démontent, remplace les joints, et c’est mon Jeudi, 18h, je m’apprête à quitter le boulot pour rejoindre le circuit de Magny Cours. Petit coup de fil aux étudiants pour annoncer mon arrivée et prendre des nouvelles de la moto. Elle va bien, sauf que la boite de vitesse n’est toujours pas arrivée, ballotée depuis lundi par le transporteur qui la ramène des Vosges. Demi tour, je repars à la maison, prends ma boite de vitesse de BMW dans mon sac à dos, et repars direction Nevers sur la moto de ma femme, vu que c’est le dernier véhicule en état de rouler dans toute la maison… Accueilli par les jeunes, la boite n’est malheureusement pas compatible, et il faudra attendre 5h30 demain matin pour espérer la récupérer. Invité par le Berry Race Team, et en particulier Pedro et Coco (qui m’ont emmené ma caravane, vu que ça ne passait pas derrière la moto), je croise les doigts pour faire mes premiers tours de roues demain lors des séances d’essais libres. Bol d’Or Classic 2013 coéquipier François Gilles qui prendra le guidon pour seulement deux tours… avant la fin de séance. Ni une, ni deux, je fonce à la tour de contrôle pour demander à participer à la séance suivante, dans une autre catégorie. Compréhensifs, ils me laissent prendre le départ avec la série IHRO. Premiers tours de roues, j’essaie de comprendre comment fonctionne la moto, quand au bout de trois tours la machine perd toute sa puissance. Je jette un œil sur le moteur, et aperçois le carburateur gauche qui pend lamentablement, juste retenu par le câble de gaz. Je le remboite en roulant, et rejoint le stand à une main. Les tournevis volent, je reprends la piste quelques secondes plus tard, et décide de mettre un peu de gaz. Le moteur à des coupures, et la fourche tabasse énormément, mais je suis enfin sur le Flat Twin Bavarois. Fin des essais, je rentre et donne mes premiers commentaires. « J’ai l’impression de conduire un marteau piqueur ». Et effectivement, ça tape tellement que des pattes de fixation de carénage ont cassé… Séance d’essais libres l’après midi, le moteur a toujours des coupures, mais je veux quand même prendre le guidon pour apprendre cette moto. Au total, je boucle une douzaine de tours sur la journée, et attend avec impatience le lendemain pour attaquer avec une moto réparée. Jour de course. Peut-être… L’équipe a bossé dur une grosse partie de la nuit, rejointe par un « ancien », Mamat, venu en spectateur, mais qui prendra les outils pour apporter son savoir et sa connaissance de la BMW. Samedi matin, une seule séance d’essai qualificatif par pilote, et l’obligation de faire minimum trois tours pour pouvoir prendre le départ. Oui, mais… Au moment de faire chauffer la moto, les coupures moteur se sont aggravées. Je pars quand même pour essayer de faire ces trois fameux tours, mais n’en bouclerait que deux, à environ 50 km/h… Je ramène la moto au stand, les jeunes réparent, trop tard pour moi, mais François se qualifie. Je retourne voir la direction de course, pour négocier le droit de rouler, leur expliquant la situation, le projet, … Une nouvelle fois, ils me sauvent la mise. J’ai le droit de rouler, mais la moto partira de la dernière position, vu que je suis normalement non qualifié. Jusqu’en fin d’après midi, c’est un soulagement, mais quand la pluie arrive… les questions se bousculent. Sauf que plus la situation est grave, plus une espèce de rage monte en moi. Je veux prendre le départ. Les étudiants ont bossé tout l’après midi sur l’allumage pour que ça fonctionne, je rêve de rouler sur cette moto depuis des années, il faut, je dois, faire honneur à tout ça. Même si je n’ai presque pas roulé sur la moto, même s’il fait nuit, même si je pars du fond de grille, et même si j’ai peur, dans ma tête, c’est la guerre. Je suis en mission, première ligne de la section Isatmot, et l’échec ne sera pas admis. Ravitaillement sur la n°58 20h20, le drapeau tricolore s’abaisse sur la ligne droite de Magny Cours, le 51ème des 54 pilotes court vers sa machine, actionne le démarreur et s’envole pour un relais d’une heure. L’épaisseur d’eau levée par les motos rend la visibilité nulle, seuls les points rouges des phares permettent de savoir où est le circuit. A certains endroits, il est impossible de différencier le goudron de l’herbe, et beaucoup n’osent pas mettre à fond alors qu’ils sont en pleine ligne droite. L’eau s’est infiltrée à l’intérieur de mon casque, je ne vois rien, mais j’y crois, et je pense aux jeunes, les yeux rivés sur les écrans de chronométrages, attendant ces trois interminables minutes que leur moto revienne à chaque tour… tout comme j’attendais il y a quelques années. Bol d’Or Classic 2013 Dimanche : It’s raining, Men… 10h30 Warm up de ce Bol d’or Classic. Il pleut. Je demande à ne pas rouler, mes affaires sont encore trempées de la veille, et j’aimerais autant n’avoir froid qu’une seule fois dans la journée. Pendant que François effectue deux tours de piste pour valider la moto, Céline, ma fidèle assistante amoureuse, a attrapé son sèche-cheveux et essaye de redonner forme à mon équipement. L’équipe, William et Aubin en tête, profite de la pause pour s’endormir un peu… Leurs nuits ont été plus que courtes cette semaine tant ils ont donné sur la moto. La pluie s’est arrêtée, mais la piste ne sèche que très lentement. Sur décision de mon coéquipier, je prends à nouveau le départ. Dans le tour de chauffe, la moto coupe encore à différents régimes, et le câble de gaz doit coincer quelque part, car le moteur reste accéléré, même gaz coupé. J’essaie de régler ça, mais pas facile sur la grille de départ… Je m’applique, j’essaie remonter du mieux que je peux, mais garde une réserve pour ne pas tout gâcher. Malgré quelques équerres à Adélaïde, je rentre au stand au bout d’une heure, laissant la moto à mon coéquipier et à la 20ème place, sous les applaudissements du box d’Isatmot, qui a fait le plein à cette heure de la course. Emotion… François assure en piste, et si une ampoule de phare devra nous retarder avec un passage par les stands, nous finissons à la 26ème place, trempés et heureux. Mais la course n’est pas terminée, la 2ème manche nous attend demain, sous le soleil, nous dit on. On prend les mêmes et on recommence, de nouveau un bon départ, mais je suis cette foisci bouchonné, et doit rendre la main avant le premier virage. Les premiers tours sont prudents, et commence alors un festival de chutes. De l’huile sur la piste, les Safety-car entre pour permettre le nettoyage, et je profite de la sortie de ces derniers pour taxer Robert sur la BMW n°19, qui se vengera de la plus belle des manières avec un freinage d’anthologie à Adélaïde… Course arrêtée, puis reprise, je passe la moto à François depuis la 19ème place. J’ai un peu les boules, la piste commençait à bien sécher, et je pouvais poser le genou un peu partout… En évitant les pilotes qui tombaient ! François fait le boulot en piste, la moto coupe toujours, l’échappement a lâché, mais il aura une petite pensée pour moi dans les derniers tours et emmènera la BMW n°58 à la 19ème place de la manche et du classement cumulé. Un truc de malade vu les conditions dans lesquelles cette aventure a commencé, rendu possible grâce à la volonté des mécanos. Bol d’Or Classic 2013 Retour… Dimanche, 20h. La nuit commence à tomber, je ramène la moto d’une main fatiguée, l’autre serrant celle de Céline. Je pense qu’elle essaie de me consoler, parce qu’elle sait que dans ma tête se ballade encore le bruit du Flat Twin, les images de ces étudiants jamais battus, toujours plein d’espoir, d’envie de bouffer la vie et de prouver qu’eux aussi ont une place dans ce monde. Pour moi, Isatmot c’était le souvenir d’une équipe, d’une bande de potes qui rêvaient de la même chose et qui avaient décidé de se bouger tous ensemble pour en faire une réalité. Sept ans après, ça n’a pas changé, sauf pour moi… qui a maintenant quelques beaux souvenirs en plus. Du fond du cœur, un grand merci à Guichou d’avoir pensé à moi, à Prep d’avoir validé et fait l‘intermédiaire, à mon coéquipier François Gilles d’avoir joué le jeu avec un inconnu, à Mamat l’Ancien pour les paroles et la mécanique, à François Frésard pour le super moteur, à David, Cindy et mes parents pour le soutien et le ravitaillement, à Pedro, Coco et le Berry Race Team pour l’hospitalité, à mon Capi-Chef qui m’a encore permis de quitter mon travail pour aller courir, aux nombreux copains du coin venus nous soutenir, et à William, Aubin, Camille, Julien, Felix, Romane, Charlotte et tout ceux dont les vibrations du Flat m’ont fait oublier les prénoms, mais qui étaient dans le box ce week-end pour que mon aventure, pour que Notre aventure aille au bout. Isatmot. Bénis soient les fêlés, ils laisseront passer la lumière… Morgan Govignon, N°58 le temps d’un week-end.
PDF : Vendredi, 11h. Les mômes ont bossé dur, j’attends dans ma combarde depuis une bonne heure que la R100 pousse son premier cri. A 40 minutes de la fin de la séance, c’est chose faite, mais elle pisse l’huile. Faux départ, les jeunes démontent, remplace les joints, et c’est mon Jeudi, 18h, je m’apprête à quitter le boulot pour rejoindre le circuit de Magny Cours. Petit coup de fil aux étudiants pour annoncer mon arrivée et prendre des nouvelles de la moto. Elle va bien, sauf que la boite de vitesse n’est toujours pas arrivée, ballotée depuis lundi par le transporteur qui la ramène des Vosges. Demi tour, je repars à la maison, prends ma boite de vitesse de BMW dans mon sac à dos, et repars direction Nevers sur la moto de ma femme, vu que c’est le dernier véhicule en état de rouler dans toute la maison… Accueilli par les jeunes, la boite n’est malheureusement pas compatible, et il faudra attendre 5h30 demain matin pour espérer la récupérer. Invité par le Berry Race Team, et en particulier Pedro et Coco (qui m’ont emmené ma caravane, vu que ça ne passait pas derrière la moto), je croise les doigts pour faire mes premiers tours de roues demain lors des séances d’essais libres. Bol d’Or Classic 2013 coéquipier François Gilles qui prendra le guidon pour seulement deux tours… avant la fin de séance. Ni une, ni deux, je fonce à la tour de contrôle pour demander à participer à la séance suivante, dans une autre catégorie. Compréhensifs, ils me laissent prendre le départ avec la série IHRO. Premiers tours de roues, j’essaie de comprendre comment fonctionne la moto, quand au bout de trois tours la machine perd toute sa puissance. Je jette un œil sur le moteur, et aperçois le carburateur gauche qui pend lamentablement, juste retenu par le câble de gaz. Je le remboite en roulant, et rejoint le stand à une main. Les tournevis volent, je reprends la piste quelques secondes plus tard, et décide de mettre un peu de gaz. Le moteur à des coupures, et la fourche tabasse énormément, mais je suis enfin sur le Flat Twin Bavarois. Fin des essais, je rentre et donne mes premiers commentaires. « J’ai l’impression de conduire un marteau piqueur ». Et effectivement, ça tape tellement que des pattes de fixation de carénage ont cassé… Séance d’essais libres l’après midi, le moteur a toujours des coupures, mais je veux quand même prendre le guidon pour apprendre cette moto. Au total, je boucle une douzaine de tours sur la journée, et attend avec impatience le lendemain pour attaquer avec une moto réparée. Jour de course. Peut-être… L’équipe a bossé dur une grosse partie de la nuit, rejointe par un « ancien », Mamat, venu en spectateur, mais qui prendra les outils pour apporter son savoir et sa connaissance de la BMW. Samedi matin, une seule séance d’essai qualificatif par pilote, et l’obligation de faire minimum trois tours pour pouvoir prendre le départ. Oui, mais… Au moment de faire chauffer la moto, les coupures moteur se sont aggravées. Je pars quand même pour essayer de faire ces trois fameux tours, mais n’en bouclerait que deux, à environ 50 km/h… Je ramène la moto au stand, les jeunes réparent, trop tard pour moi, mais François se qualifie. Je retourne voir la direction de course, pour négocier le droit de rouler, leur expliquant la situation, le projet, … Une nouvelle fois, ils me sauvent la mise. J’ai le droit de rouler, mais la moto partira de la dernière position, vu que je suis normalement non qualifié. Jusqu’en fin d’après midi, c’est un soulagement, mais quand la pluie arrive… les questions se bousculent. Sauf que plus la situation est grave, plus une espèce de rage monte en moi. Je veux prendre le départ. Les étudiants ont bossé tout l’après midi sur l’allumage pour que ça fonctionne, je rêve de rouler sur cette moto depuis des années, il faut, je dois, faire honneur à tout ça. Même si je n’ai presque pas roulé sur la moto, même s’il fait nuit, même si je pars du fond de grille, et même si j’ai peur, dans ma tête, c’est la guerre. Je suis en mission, première ligne de la section Isatmot, et l’échec ne sera pas admis. Ravitaillement sur la n°58 20h20, le drapeau tricolore s’abaisse sur la ligne droite de Magny Cours, le 51ème des 54 pilotes court vers sa machine, actionne le démarreur et s’envole pour un relais d’une heure. L’épaisseur d’eau levée par les motos rend la visibilité nulle, seuls les points rouges des phares permettent de savoir où est le circuit. A certains endroits, il est impossible de différencier le goudron de l’herbe, et beaucoup n’osent pas mettre à fond alors qu’ils sont en pleine ligne droite. L’eau s’est infiltrée à l’intérieur de mon casque, je ne vois rien, mais j’y crois, et je pense aux jeunes, les yeux rivés sur les écrans de chronométrages, attendant ces trois interminables minutes que leur moto revienne à chaque tour… tout comme j’attendais il y a quelques années. Bol d’Or Classic 2013 Dimanche : It’s raining, Men… 10h30 Warm up de ce Bol d’or Classic. Il pleut. Je demande à ne pas rouler, mes affaires sont encore trempées de la veille, et j’aimerais autant n’avoir froid qu’une seule fois dans la journée. Pendant que François effectue deux tours de piste pour valider la moto, Céline, ma fidèle assistante amoureuse, a attrapé son sèche-cheveux et essaye de redonner forme à mon équipement. L’équipe, William et Aubin en tête, profite de la pause pour s’endormir un peu… Leurs nuits ont été plus que courtes cette semaine tant ils ont donné sur la moto. La pluie s’est arrêtée, mais la piste ne sèche que très lentement. Sur décision de mon coéquipier, je prends à nouveau le départ. Dans le tour de chauffe, la moto coupe encore à différents régimes, et le câble de gaz doit coincer quelque part, car le moteur reste accéléré, même gaz coupé. J’essaie de régler ça, mais pas facile sur la grille de départ… Je m’applique, j’essaie remonter du mieux que je peux, mais garde une réserve pour ne pas tout gâcher. Malgré quelques équerres à Adélaïde, je rentre au stand au bout d’une heure, laissant la moto à mon coéquipier et à la 20ème place, sous les applaudissements du box d’Isatmot, qui a fait le plein à cette heure de la course. Emotion… François assure en piste, et si une ampoule de phare devra nous retarder avec un passage par les stands, nous finissons à la 26ème place, trempés et heureux. Mais la course n’est pas terminée, la 2ème manche nous attend demain, sous le soleil, nous dit on. On prend les mêmes et on recommence, de nouveau un bon départ, mais je suis cette foisci bouchonné, et doit rendre la main avant le premier virage. Les premiers tours sont prudents, et commence alors un festival de chutes. De l’huile sur la piste, les Safety-car entre pour permettre le nettoyage, et je profite de la sortie de ces derniers pour taxer Robert sur la BMW n°19, qui se vengera de la plus belle des manières avec un freinage d’anthologie à Adélaïde… Course arrêtée, puis reprise, je passe la moto à François depuis la 19ème place. J’ai un peu les boules, la piste commençait à bien sécher, et je pouvais poser le genou un peu partout… En évitant les pilotes qui tombaient ! François fait le boulot en piste, la moto coupe toujours, l’échappement a lâché, mais il aura une petite pensée pour moi dans les derniers tours et emmènera la BMW n°58 à la 19ème place de la manche et du classement cumulé. Un truc de malade vu les conditions dans lesquelles cette aventure a commencé, rendu possible grâce à la volonté des mécanos. Bol d’Or Classic 2013 Retour… Dimanche, 20h. La nuit commence à tomber, je ramène la moto d’une main fatiguée, l’autre serrant celle de Céline. Je pense qu’elle essaie de me consoler, parce qu’elle sait que dans ma tête se ballade encore le bruit du Flat Twin, les images de ces étudiants jamais battus, toujours plein d’espoir, d’envie de bouffer la vie et de prouver qu’eux aussi ont une place dans ce monde. Pour moi, Isatmot c’était le souvenir d’une équipe, d’une bande de potes qui rêvaient de la même chose et qui avaient décidé de se bouger tous ensemble pour en faire une réalité. Sept ans après, ça n’a pas changé, sauf pour moi… qui a maintenant quelques beaux souvenirs en plus. Du fond du cœur, un grand merci à Guichou d’avoir pensé à moi, à Prep d’avoir validé et fait l‘intermédiaire, à mon coéquipier François Gilles d’avoir joué le jeu avec un inconnu, à Mamat l’Ancien pour les paroles et la mécanique, à François Frésard pour le super moteur, à David, Cindy et mes parents pour le soutien et le ravitaillement, à Pedro, Coco et le Berry Race Team pour l’hospitalité, à mon Capi-Chef qui m’a encore permis de quitter mon travail pour aller courir, aux nombreux copains du coin venus nous soutenir, et à William, Aubin, Camille, Julien, Felix, Romane, Charlotte et tout ceux dont les vibrations du Flat m’ont fait oublier les prénoms, mais qui étaient dans le box ce week-end pour que mon aventure, pour que Notre aventure aille au bout. Isatmot. Bénis soient les fêlés, ils laisseront passer la lumière… Morgan Govignon, N°58 le temps d’un week-end.
flatmanu
Re: souvenir souvenir , 10 ans déja
Selon Morgan, la photo concerne une course sur route à Scarborough, en Angleterre, en 2017. Mais il n'empêche que Morgan est un grand pilote très sympathique, j'ai fait sa connaissance au TT 2019.
kingbee
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