stella alpina
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stella alpina
bonjour
tous est dans le titre auriez vous quelques info pour cette année , j'y suis aller il y a deux ans c'étais génial , j'ai prévu d'y retourner cette année mais j'ai entendu dire qu'il arrêtais ?
Quelqu’un un y va ?
tous est dans le titre auriez vous quelques info pour cette année , j'y suis aller il y a deux ans c'étais génial , j'ai prévu d'y retourner cette année mais j'ai entendu dire qu'il arrêtais ?
Quelqu’un un y va ?
tofun- Boulet
Re: stella alpina
apparemment les écologistes italiens et les ministres l'an dernier voulait interdire l’accès au véhicules ce qui mettrai une fin a ce rassemblement vu qu'il faut faire 10 kms de piste pour arriver au premier bivouac ..
tofun- Boulet
Re: stella alpina
2er week end de juillet
Dernière édition par tofun le Sam 23 Juin 2018 - 21:02, édité 1 fois
tofun- Boulet
info
Nous rappelons à tous que la date de Stella Alpina est et sera toujours au deuxième dimanche de juillet. Cette année, ce sera le 8 juillet.
Pour 2018 nous avons prévu la bénédiction de la moto pour le samedi 7 juillet à 15.30 à s. L'Église Ippolito, l'église principale de bardonecchia, à borgovecchio. Ne manquez pas ça ! La parade du motard en ville suivra, puis la montée jusqu'au sommeiller.
Il est temps d'organiser vos sacs.. Il ne reste que 2 semaines..
Rappelons à tout le monde que la date de la rencontre moto internationale Stella Alpina est et toujours sera le deuxième dimanche de juillet, donc cette année sera le 8.
Pour l'édition 2018, nous avons programmé la bénédiction des motos le jour samedi 7 juillet à 15.30 h à l'église de s. Ippolito, en borgovecchio. A ne pas manquer ! A suivre il y aura le défilé pour les rues du pays et ensuite la montée au col.
Il manque peu.. Il est temps d'organiser les sacs... Il ne reste plus que 2 semaines..
Pour 2018 nous avons prévu la bénédiction de la moto pour le samedi 7 juillet à 15.30 à s. L'Église Ippolito, l'église principale de bardonecchia, à borgovecchio. Ne manquez pas ça ! La parade du motard en ville suivra, puis la montée jusqu'au sommeiller.
Il est temps d'organiser vos sacs.. Il ne reste que 2 semaines..
Rappelons à tout le monde que la date de la rencontre moto internationale Stella Alpina est et toujours sera le deuxième dimanche de juillet, donc cette année sera le 8.
Pour l'édition 2018, nous avons programmé la bénédiction des motos le jour samedi 7 juillet à 15.30 h à l'église de s. Ippolito, en borgovecchio. A ne pas manquer ! A suivre il y aura le défilé pour les rues du pays et ensuite la montée au col.
Il manque peu.. Il est temps d'organiser les sacs... Il ne reste plus que 2 semaines..
tofun- Boulet
Re: stella alpina
Cool, je pensais que c'était vers le 14 ou 15 juillet et je serai déjà parti en voyage, mais si c'est le 8, je pense que j'y serai.
Avec (enfin) la K75GS, si mes vertêbres me le permettent!
Avec (enfin) la K75GS, si mes vertêbres me le permettent!
jbt
Re: stella alpina
jbt a écrit:Cool, je pensais que c'était vers le 14 ou 15 juillet et je serai déjà parti en voyage, mais si c'est le 8, je pense que j'y serai.
Avec (enfin) la K75GS, si mes vertêbres me le permettent!
Une K75GS, ça a existé ?
Fatalan
Re: stella alpina
Seulement dans le garage de JBT.
____________________
« Adding power makes you faster on the straights. Subtracting weight makes you faster everywhere ». C. Chapman
Que la bête meure.
Mais pas tout de suite...
Re: stella alpina
Je viens de trouver la moto de jbt sur le net...J'adore! http://advrider.com/index.php?threads/k75gs-by-tartiflat.1087387/
Fin du hors sujet !
Fin du hors sujet !
Fatalan
Re: stella alpina
C'était pas la peine d'aller si loin: http://www.flat-twin-bmw.com/t28694-celle-qui-aurait-du-exister-k75-gs#586489
jbt
Re: stella alpina
super idée j'avais adoré les reprises a bas régime sur mon k 75 rt ultima .....j'aurai du le garder ...!
tofun- Boulet
Re: stella alpina
Un petit compte rendu de la Stella Alpina 2018.
Ca faisait des années que je n'y étais pas allé, faute de disponibilité ou de fiabilité de la monture pressentie.
Cette fois tous les voyants sont au vert, donc, c'est parti samedi, je grimpe sur la K75GS histoire d'aller mystifier les moustachus teutons au guidon de cette licorne.
J'attrape Nico au passage, qui, plutôt que sa Guzzi 1000SP, a choisi de prendre sa 500SR de kéké pour l'exercice.
OK, aller à la Stella avec une moto pas franchement adaptée pour fait partie de la philosophie du truc (on a discuté avec un Nantais en 1100 GSXR à crampons...). Mais son ratagaz, là, je le sentais pas franchement en le voyant terminer de fixer un feu arrière en cata avant de partir...Suspensions indigentes, selle panini, gros filtre à air façon KN, réservoir poncé à nu, et capacité d'emport de bagages nulle. Il sangle sa tente sur le reservoir, l'obligeant à s'accrocher à l'arrière de la selle par les poils de couille, tanke son bazar dans un sac à dos si grand que je croyais qu'il avait pris son parapente, et kicke, c'est parti.
Je me souviens d'un dessin de Jeff Vivant montrant un éclaté de moto roulante avec la légende: "faut pas confondre pièces détachées adaptables et pièces adaptées détachables".
Dans la préparation de son piège, Nico a un peu entretenu la confusion...
Dès qu'on quitte le goudron dans la montée de Rochemolles, le feu arrière casse et la plaque est prise comme d'une envie de liberté. Pause démontage, et hop, tout ça finit dans le sac à dos.
Arrivés au plan du refuge Scarfiotti, il y a déjà foule!
Tofun nous saute au cou comme une vieille médaille, on fait connaissance, et puis on part à la recherche d'un coin à peu près sec (enfin, pas trop humide) et plat (enfin, pas trop en pente et pas trop bosselé) pour planter les guitounes, en se faufilant dans une tourbière assez portante malgré son aspect franchement gorgé de flotte.
La K75GS passe sans souci grâce à sa roue de 21 et ses bonnes suspensions, mais Nico, décidé à faire une entrée fracassante et à marquer les esprits, suit la trace en bondissant tel un cabri excité par le printemps jusqu'à buter contre un fossé qui le propulse par dessus le guidon pour atterrir sans mal dans un mélange boue/sphaigne/bouse.
Objectif atteint, un grand éclat de rire résonne dans les Alpes.
Puis on se précipite pour le relever dans toutes les langues, rien de cassé, hormis un guidon qui a un peu plus de jeu qu'une K1100LT usée, un tableau de bord un poil chiffonné et un Nico à peine vexé:
Bah oui, il fallait s'arrêter avant ce fossé Nico, pas la peine de bouder.
Allez, profite plutôt du paysage et va te rincer dans la cascade!
S'en suit un petit tour du parc, pour retrouver des copains ou s'en faire d'autres, parc dans lequel dominent les golgoths à valisenalu et les précieuses ridicules, mais parmi lesquels se nichent quelques pépites tout de même.
Une Moto Guzziki:
Oui oui, c'est bien une Harley Davidson, mue par un mono Rotax:
Et une Triumph Tiger...TDI.
Après une nuit sous plus d'étoiles que je n'en ai jamais vu, réveil frisquet par l'hélico. Un golgoth s'est crashé dans la montée, un pilote de R1200GS, visiblement mal réveillé ou trop confiant dans la brochure du concessionnaire, a sauté en contrebas de la piste. Il termine dans les airs sa Stella, et vu l'état de sa monture, je lui souhaite un bon rétablissement s'il a fait la descente par le même chemin entre pente à 80%, cailloux pointus et rochers acérés.
Une fois réveillés, on attaque la montée proprement dite au col du Sommeiller.
Peu de monde sur la piste cette année, j'ai connu plus d'embouteillages, tout le monde grimpe gentiment, hormis quelques trouducs venus sur remorque en cross ou en enduro pour profiter de la Stella pour tracer dans les alpages. Une plaie unanimement reconnue à la concentre, mais ils s'en foutent...ils ne restent pas à la concentre.
Nico adapte son pilotage et sa moto au fur et à mesure qu'on grimpe en altitude. S'inspirant des méthodes hymalayesques, il se déleste au fur et à mesure des éléments les moins indispensables à sa progression, les confiant à son sherpa récupérateur. Le phare déclare forfait en perdant ses fixations, les poignées ballon se détachent du guidon, le câble de gaz sort de son logement...mais malgré tout, on arrive au bout.
Pas tout en haut, pour cause de névés encore trop importants, mais à l'entrée de la dernière combe avant le col, comme souvent:
On discute avec quelques motards au sommet. L'un d'eux lance à Nico:
"Oh mais je te connais, toi, t'es de Chambéry?"
"Oui..."
"J't'ai déjà vu avec ta moto...t'étais en panne vers Saint Alban"
"Oui j'habite par là..."
"Ahhh bon, parce que comme tu poussais ta moto et que t'étais pas loin de la déchetterie, je me suis dit, tiens, il va peut-être la jeter là-bas? Et pis non, dommage, sinon je l'aurai récupéré..."
Vexé, Nico abandonne sa SR et redescend à pied.
A la redescente, embouteillage dans une épingle, je perds l'équilibre et paf, je lâche la K75GS par terre.
Rien de grave, la protection de moteur a fait son office, je redresse la moto qui pisse l'essence...
et qui pisse l'essence, et encore et encore...Diable, ça n'est pas que le trop-plein du réservoir, là...
Démontage express: la gamelle a enfoncé un pion de maintien du réservoir dans la tôle et ça fuit, au point le plus bas du réservoir.
Un dimanche à 2500m d'altitude, il est peu probable de trouver un soudeur alu.
Heureusement, pris il y a quelques mois d'une soudaine inspiration, j'avais acheté un rouleau de résine époxy bi-composant, pour réparer un carter cassé ou n'importe quoi dans le genre. Et je l'avais jeté dans la boite à outils avant de partir...
Réparation et pause le temps que ça durcisse, et hop, plus de fuite!
Enfin, si, mais ça fuit par la trappe a essence, que j'avais démontée pour voir si je pouvais appliquer la résine par l'intérieur, mais le diamètre m'aurait donné la sensation de faire un massage prostatique à un Pygmée luthérien. Le joint m'a toujours emmerdé, résolu par une couche de Loctite, mais en ouvrant la trappe, la couche de joint s'est détériorée...pas grave.
Retour au camp de base, chargement des bagages, rafistolage de la SR grâce aux vis et boulons trouvés par terre pendant qu'on attendait que la résine sèche (!) puis redescente dans la vallée par une chaude après-midi de juillet et retour sans encombre à la maison.
La K75GS a tenu bon, mais les repose-pieds, bricolés à partir de repose pieds de R100GS, non. Ils se sont irrémédiablement tordus au point que je ne pouvais pas me tenir debout dessus. Heureusement que les suspensions ont assuré...
Elle a parfaitement tenu son rôle d'aimant à rencontres!
Ca faisait des années que je n'y étais pas allé, faute de disponibilité ou de fiabilité de la monture pressentie.
Cette fois tous les voyants sont au vert, donc, c'est parti samedi, je grimpe sur la K75GS histoire d'aller mystifier les moustachus teutons au guidon de cette licorne.
J'attrape Nico au passage, qui, plutôt que sa Guzzi 1000SP, a choisi de prendre sa 500SR de kéké pour l'exercice.
OK, aller à la Stella avec une moto pas franchement adaptée pour fait partie de la philosophie du truc (on a discuté avec un Nantais en 1100 GSXR à crampons...). Mais son ratagaz, là, je le sentais pas franchement en le voyant terminer de fixer un feu arrière en cata avant de partir...Suspensions indigentes, selle panini, gros filtre à air façon KN, réservoir poncé à nu, et capacité d'emport de bagages nulle. Il sangle sa tente sur le reservoir, l'obligeant à s'accrocher à l'arrière de la selle par les poils de couille, tanke son bazar dans un sac à dos si grand que je croyais qu'il avait pris son parapente, et kicke, c'est parti.
Je me souviens d'un dessin de Jeff Vivant montrant un éclaté de moto roulante avec la légende: "faut pas confondre pièces détachées adaptables et pièces adaptées détachables".
Dans la préparation de son piège, Nico a un peu entretenu la confusion...
Dès qu'on quitte le goudron dans la montée de Rochemolles, le feu arrière casse et la plaque est prise comme d'une envie de liberté. Pause démontage, et hop, tout ça finit dans le sac à dos.
Arrivés au plan du refuge Scarfiotti, il y a déjà foule!
Tofun nous saute au cou comme une vieille médaille, on fait connaissance, et puis on part à la recherche d'un coin à peu près sec (enfin, pas trop humide) et plat (enfin, pas trop en pente et pas trop bosselé) pour planter les guitounes, en se faufilant dans une tourbière assez portante malgré son aspect franchement gorgé de flotte.
La K75GS passe sans souci grâce à sa roue de 21 et ses bonnes suspensions, mais Nico, décidé à faire une entrée fracassante et à marquer les esprits, suit la trace en bondissant tel un cabri excité par le printemps jusqu'à buter contre un fossé qui le propulse par dessus le guidon pour atterrir sans mal dans un mélange boue/sphaigne/bouse.
Objectif atteint, un grand éclat de rire résonne dans les Alpes.
Puis on se précipite pour le relever dans toutes les langues, rien de cassé, hormis un guidon qui a un peu plus de jeu qu'une K1100LT usée, un tableau de bord un poil chiffonné et un Nico à peine vexé:
Bah oui, il fallait s'arrêter avant ce fossé Nico, pas la peine de bouder.
Allez, profite plutôt du paysage et va te rincer dans la cascade!
S'en suit un petit tour du parc, pour retrouver des copains ou s'en faire d'autres, parc dans lequel dominent les golgoths à valisenalu et les précieuses ridicules, mais parmi lesquels se nichent quelques pépites tout de même.
Une Moto Guzziki:
Oui oui, c'est bien une Harley Davidson, mue par un mono Rotax:
Et une Triumph Tiger...TDI.
Après une nuit sous plus d'étoiles que je n'en ai jamais vu, réveil frisquet par l'hélico. Un golgoth s'est crashé dans la montée, un pilote de R1200GS, visiblement mal réveillé ou trop confiant dans la brochure du concessionnaire, a sauté en contrebas de la piste. Il termine dans les airs sa Stella, et vu l'état de sa monture, je lui souhaite un bon rétablissement s'il a fait la descente par le même chemin entre pente à 80%, cailloux pointus et rochers acérés.
Une fois réveillés, on attaque la montée proprement dite au col du Sommeiller.
Peu de monde sur la piste cette année, j'ai connu plus d'embouteillages, tout le monde grimpe gentiment, hormis quelques trouducs venus sur remorque en cross ou en enduro pour profiter de la Stella pour tracer dans les alpages. Une plaie unanimement reconnue à la concentre, mais ils s'en foutent...ils ne restent pas à la concentre.
Nico adapte son pilotage et sa moto au fur et à mesure qu'on grimpe en altitude. S'inspirant des méthodes hymalayesques, il se déleste au fur et à mesure des éléments les moins indispensables à sa progression, les confiant à son sherpa récupérateur. Le phare déclare forfait en perdant ses fixations, les poignées ballon se détachent du guidon, le câble de gaz sort de son logement...mais malgré tout, on arrive au bout.
Pas tout en haut, pour cause de névés encore trop importants, mais à l'entrée de la dernière combe avant le col, comme souvent:
On discute avec quelques motards au sommet. L'un d'eux lance à Nico:
"Oh mais je te connais, toi, t'es de Chambéry?"
"Oui..."
"J't'ai déjà vu avec ta moto...t'étais en panne vers Saint Alban"
"Oui j'habite par là..."
"Ahhh bon, parce que comme tu poussais ta moto et que t'étais pas loin de la déchetterie, je me suis dit, tiens, il va peut-être la jeter là-bas? Et pis non, dommage, sinon je l'aurai récupéré..."
Vexé, Nico abandonne sa SR et redescend à pied.
A la redescente, embouteillage dans une épingle, je perds l'équilibre et paf, je lâche la K75GS par terre.
Rien de grave, la protection de moteur a fait son office, je redresse la moto qui pisse l'essence...
et qui pisse l'essence, et encore et encore...Diable, ça n'est pas que le trop-plein du réservoir, là...
Démontage express: la gamelle a enfoncé un pion de maintien du réservoir dans la tôle et ça fuit, au point le plus bas du réservoir.
Un dimanche à 2500m d'altitude, il est peu probable de trouver un soudeur alu.
Heureusement, pris il y a quelques mois d'une soudaine inspiration, j'avais acheté un rouleau de résine époxy bi-composant, pour réparer un carter cassé ou n'importe quoi dans le genre. Et je l'avais jeté dans la boite à outils avant de partir...
Réparation et pause le temps que ça durcisse, et hop, plus de fuite!
Enfin, si, mais ça fuit par la trappe a essence, que j'avais démontée pour voir si je pouvais appliquer la résine par l'intérieur, mais le diamètre m'aurait donné la sensation de faire un massage prostatique à un Pygmée luthérien. Le joint m'a toujours emmerdé, résolu par une couche de Loctite, mais en ouvrant la trappe, la couche de joint s'est détériorée...pas grave.
Retour au camp de base, chargement des bagages, rafistolage de la SR grâce aux vis et boulons trouvés par terre pendant qu'on attendait que la résine sèche (!) puis redescente dans la vallée par une chaude après-midi de juillet et retour sans encombre à la maison.
La K75GS a tenu bon, mais les repose-pieds, bricolés à partir de repose pieds de R100GS, non. Ils se sont irrémédiablement tordus au point que je ne pouvais pas me tenir debout dessus. Heureusement que les suspensions ont assuré...
Elle a parfaitement tenu son rôle d'aimant à rencontres!
Dernière édition par jbt le Lun 9 Juil 2018 - 15:51, édité 3 fois
jbt
Re: stella alpina
Belle narration et belles images.
Merci pour cette aventure. On s'y est crus le temps d'une lecture.
Et on enrichit son vocabulaire .
Merci pour cette aventure. On s'y est crus le temps d'une lecture.
Et on enrichit son vocabulaire .
Re: stella alpina
Merci JBT, une bonne façon de commencer la journée avec ton reportage et photos.
L'arverne
Re: stella alpina
Excellent le récit de tes (vos) aventures et en plus avec de l’humour
Bravo !
ZR
Bravo !
ZR
zouaverifle
Re: stella alpina
Oui sympa, ça me tente bien ça.
Je vais me noter la date pour l'an prochain.
Je vais me noter la date pour l'an prochain.
Royal Enfileur
Re: stella alpina
Ça dépend à quelle heure?jbt a écrit:Tiens ça se pourrait que je passe demain dans le Valais, t'es par là?
La journée je suis à Gland pour le boulot.
Tu vas où? Tu veux que je t'indique des routes sympas?
Royal Enfileur
Re: stella alpina
G/Seur a écrit:
La journée je suis à Gland pour le boulot.
Tu travailles vraiment ?
BernardP
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