Nos premières motos

boxer man a écrit:

ROLAND a écrit:

boxer man a écrit:ouis c'est vrai mais en cas de chute ,sa glissait bien

me demande pas comment je le sais

Si t'as pris l'huile de la friteuse aussi !

véridique

j'avais pas sous a cette époque ,18 ans ,maman m'avait acheté une honda 500 four d'occasse et comme je dépensais le peu de ronds que j'avais en essence ,j'pouvais pas me permette d'acheter une boite de graisse pour lubrifier le barbour donc j'utilisais ce que j'avais ,huile de vidange neuve ou usagée huile de friture
sa fonctionnait pas mal mème mes bottes elle en recevaient et jamais sa n'a percé :clin d\'oeil:
quelle belle époque

Et t'as pas pris feux lors de ta glissade ?

pour moi la toute 1ere a été un dtlc.
Je massacrais ce qu'il en restait sur les piste ONF. ça devait etre en 85/86.


on roulait toujours a plusieurs et jamais moins qu'à fond,il a pas tenu bien longtemps.
j'etais un vrai piche avec ce tromblon.

ROLAND a écrit:Et t'as pas pris feux lors de ta glissade ?

gros con

de toute façon il roule comme une patate...

breizracer a écrit:de toute façon il roule comme une patate...

oui mais une patate spécial frites

Eh, en parlant bécane, tu regardais "Chips" à la télé?? !!!!

GeorgeS 69 a écrit:Cette photo me fait bien marrer aussi . La veste c'était une Belstaff(le véritable Barbour coûtait une fortune), ça sentait fort le goudron une fois graissé, et après fallait pas s'asseoir avec sur un fauteuil en tapisserie sous peine de cata

Le mien ,un vrai barbour , il a tout le temps puait pas besoin de le graisser , je l'ai refilé à un copain ,je ne le supportai plus .
je me rappelle un fois une fille m'invite chez elle à manger . Elle me fait asseoir sur le canapé en cuir blanc pour boire l'apéro la mère entre temps arrive ,elle m'a sorti manu-malutari : J'en avait foutu partout et le meilleur j'avais pas enlevé non plus les bottes et sur le tapis en laine ça l'a pas trop fait . Je ne sais pas si elle a pu le rattraper car je n'ai jamais revu la fille . C'était pas facile d'être motard (sans éducation )à cette époque

voilà la mienne, elle datait de 1952
c'est vraiment la toute première, parce que je la conduisais quand mon père n'était pas là.
après, bien avant d'avoir mon permis, je l'ai conduite pour aller en belgique, au grand prix de Mouscron, puis au ravitaillement, en mai 68. on passait pas par le "Risquons - tout" où les archers du roi attendaient, mais plein de rues menaient de Tourcoing à Mouscron. et puis elle est restée longtemps à la cave, et je l'ai remise en route en 80; j'ai cherché sur les publicités de René Gillet les couleurs d'origine et j'ai remplacé le vert wagon par un blanc ivoire. les gamins l'aimaient bien. quand j'ai quitté la France, j'ai tout vendu. c'est celle que j'ai vendu le plus vite. la Sanglas, je l'ai donné pour 500 francs et la R100, je ne sais plus quel prix, mais pas cher, je crois.

sur le dessus de la boite, il y avait une petite aiguille tournante, qui indiquait la vitesse engagée, parce qu'on ne savait jamais très bien. la boîte était en continu, mais à quatre vitesses, après la quatre, si on continuait à passer les vitesses, c'était le PM puis la une..
derrière les couvercles en cuir, d'un côté les outils, de l'autre la batterie. pour une 250, ça valait une MZ 125. je crois qu'elle se vendait aussi sous le nom de Monet Goyon.