side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
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side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
J’ouvre ce nouveau post pour vous faire partager une tranche de vie, une immersion dans le monde des side-cars de piste. Le side-carrisme est un monde à part, une atmosphère, c’est le pays de la débrouille et du coup de main, c’est aussi la seule compétition sportive qui se pratique à deux sur un engin motorisé au pétrole sur un circuit de vitesse fermé à la circulation.
Cette saison je vais quasiment suivre l’équipage Dufaur / Lambert tout au long du Championnat Racing Side-Car Mania RSCM.
Le premier chapitre ce lit dans le post rubrique « sortie – rencontre » Lurcy-Lévis.
Pour résumer Michel Dufaur et Noël Lambert m’ont confiés la préparation de leur moteur pour la saison 2015 après avoir préparé un 750 en 2013 qui les mènera à la place de vice-champion de France de la catégorie.
En 2014 c’est un basset qui remplace le side grandes roues, il faut reprendre quelques points de détails sur le châssis, l’ensemble est animé par un 1000 stock. Après quelques roulages sur circuit « pour voir » ils décident de reprendre du service en championnat. Pour 2015, ils rempilent dans le tout nouveau Championnat RSCM et se tournent vers moi afin de préparer un moteur.
A Lurcy-Lévis, la grande famille du side-car se retrouve après la saison d’hibernation, ce roulage sans enjeux permet de déverminer l’attelage.
Au Sunday Ride Classic, c’est la première épreuve de ce nouveau Championnat, la chasse aux points est ouverte.
Vendredi matin ce sont les essais libres, cela permet de valider la démultiplication et de modifier la carburation.
Pour les essais chronos, des bougies neuves sont installées, la carburation revue en profondeur et c’est partit pour 7 tours.
A l’arrêt des essais la feuille de temps est publiée, 3e chrono en 3.08.157 pour le side 64, un peu plus de 2 secondes derrière l’équipage Messerli / Monti (Mme) classés seconds et 8 secondes loin derrière l’attelage mené par Dormal / Szendroi qui décroche la pole. A noter que le premier classé concourt en catégorie « Classic 1 » -750cm3- contrairement au suivants qui eux courent en « Classic 2 » -1000cm3-. Si les organisateurs de courses décernent des coupes à chaque podium scratch, l’organisation du RSCM récompense chaque catégorie. J’aurais l’occasion de vous parler plus en détail de cette organisation tout au long de la saison.
La première course se déroule le samedi fin de matinée. A 12h20, les feux s »éteignent et les fauves sont lâchés, tous non ! Le N°64 est littéralement collé à l’asphalte, ce n’est rien que 12 équipages qui débordent le side que je couve du regard. Stupeur, abattement, le ciel me tombe sur la courge…
Le premier tour est bouclé, mes amis sont 15e, je plonge dans l’abîme de l’effroi. Second tour, ils ont perdus une place et pointent maintenant 16e. Aux 3e et 4e tours ils sont 9 e, Michel et Noël se sortent les tripes. Au 5e tour ils pointent en 8e position et au baisser du drapeau, ils terminent en 7e place au général et 6e de la catégorie. Michel qui est obnubilé par sa remontée ne voit pas le drapeau à damier, c’est Noël qui lui fait signe que c’est fini.
De retour au paddock, nous examinons la mécanique, reparlons de la procédure de départ et les dispositions sont prises pour la seconde course du dimanche.
L’ordre de départ étant déterminé par le gille établi lors des essais chronos, la machine 64 se place dans les échappements du premier. A l’extinction des feux, le side 64 part en troisième position et creuse le trou avec la meute des poursuivants. Au baissé du drapeau, Michel et Noël terminent 3e derrière les deux premiers de la première course. Ils montent sur la troisième marche du podium. Au classement cumulé ils pointent à la 4e place.
A suivre…
Cette saison je vais quasiment suivre l’équipage Dufaur / Lambert tout au long du Championnat Racing Side-Car Mania RSCM.
Noël Lambert le passager vous salue bien !
Le premier chapitre ce lit dans le post rubrique « sortie – rencontre » Lurcy-Lévis.
Pour résumer Michel Dufaur et Noël Lambert m’ont confiés la préparation de leur moteur pour la saison 2015 après avoir préparé un 750 en 2013 qui les mènera à la place de vice-champion de France de la catégorie.
Catégorie 750 en 2013 (photo Patoche40)
Salon Moto Légende 2013 : remise des prix aux champions.
En 2014 c’est un basset qui remplace le side grandes roues, il faut reprendre quelques points de détails sur le châssis, l’ensemble est animé par un 1000 stock. Après quelques roulages sur circuit « pour voir » ils décident de reprendre du service en championnat. Pour 2015, ils rempilent dans le tout nouveau Championnat RSCM et se tournent vers moi afin de préparer un moteur.
Février 2015 : greffe du moteur dans la partie cycle.
A Lurcy-Lévis, la grande famille du side-car se retrouve après la saison d’hibernation, ce roulage sans enjeux permet de déverminer l’attelage.
Au Sunday Ride Classic, c’est la première épreuve de ce nouveau Championnat, la chasse aux points est ouverte.
Vendredi matin ce sont les essais libres, cela permet de valider la démultiplication et de modifier la carburation.
Pour les essais chronos, des bougies neuves sont installées, la carburation revue en profondeur et c’est partit pour 7 tours.
A l’arrêt des essais la feuille de temps est publiée, 3e chrono en 3.08.157 pour le side 64, un peu plus de 2 secondes derrière l’équipage Messerli / Monti (Mme) classés seconds et 8 secondes loin derrière l’attelage mené par Dormal / Szendroi qui décroche la pole. A noter que le premier classé concourt en catégorie « Classic 1 » -750cm3- contrairement au suivants qui eux courent en « Classic 2 » -1000cm3-. Si les organisateurs de courses décernent des coupes à chaque podium scratch, l’organisation du RSCM récompense chaque catégorie. J’aurais l’occasion de vous parler plus en détail de cette organisation tout au long de la saison.
Pas si vite ! l'obturateur ne suit plus...
La première course se déroule le samedi fin de matinée. A 12h20, les feux s »éteignent et les fauves sont lâchés, tous non ! Le N°64 est littéralement collé à l’asphalte, ce n’est rien que 12 équipages qui débordent le side que je couve du regard. Stupeur, abattement, le ciel me tombe sur la courge…
Le premier tour est bouclé, mes amis sont 15e, je plonge dans l’abîme de l’effroi. Second tour, ils ont perdus une place et pointent maintenant 16e. Aux 3e et 4e tours ils sont 9 e, Michel et Noël se sortent les tripes. Au 5e tour ils pointent en 8e position et au baisser du drapeau, ils terminent en 7e place au général et 6e de la catégorie. Michel qui est obnubilé par sa remontée ne voit pas le drapeau à damier, c’est Noël qui lui fait signe que c’est fini.
De retour au paddock, nous examinons la mécanique, reparlons de la procédure de départ et les dispositions sont prises pour la seconde course du dimanche.
première interview pendant que le mécanicien est à l'établi.
L’ordre de départ étant déterminé par le gille établi lors des essais chronos, la machine 64 se place dans les échappements du premier. A l’extinction des feux, le side 64 part en troisième position et creuse le trou avec la meute des poursuivants. Au baissé du drapeau, Michel et Noël terminent 3e derrière les deux premiers de la première course. Ils montent sur la troisième marche du podium. Au classement cumulé ils pointent à la 4e place.
les coupes de la 3e place de la seconde course, du grand bonheur et un chouette WE.
A suivre…
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
C'est un rêve de gosse pou moi ça. Regal toi bien.
flattwin66
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merci François pour ce reportage, super!
continus pendant la saison, ca me plait,
et méfie toi tout de même tu vas finir sur un side ...
continus pendant la saison, ca me plait,
et méfie toi tout de même tu vas finir sur un side ...
alfred_grouniache
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merci François. ça donne la peche ce type de reportage.Bravo à tous les 3. j'encourage ceux qui peuvent à assister à ce type de course. Je vous promets de rentrer chez vous avec le sourire !
Le Doc
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Super ce reportage, connaissant bien le "singe" et le pilote, j'en ai encore la chair de poule. Je suis allé les retrouver à Nogaro l'année dernière et ai pu apprécier l'ambiance dans le milieu sidecariste. Leur side n'étant pas prêt pour la saison, je les ai vu tourner en démonstration avec leurs flats et leurs "tasses", chapeau bas ! Allez voir ces courses ou démonstrations, ambiance garantie !!!
PATMOUCHE
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Bravo à vous trois,j' ai passé un merveilleux moment au Castelet ce Samedi là, et de voir de nouveau le circuit du Castelet ouvert aux passionnés me ravie allez zou!! un petit jaune pour François,un pour Michel et un petit dernier pour Noël, on est comme ça dans le SUD quand on aime on ne compte pas A ben lèuffrd a écrit:J’ouvre ce nouveau post pour vous faire partager une tranche de vie, une immersion dans le monde des side-cars de piste. Le side-carrisme est un monde à part, une atmosphère, c’est le pays de la débrouille et du coup de main, c’est aussi la seule compétition sportive qui se pratique à deux sur un engin motorisé au pétrole sur un circuit de vitesse fermé à la circulation.
Cette saison je vais quasiment suivre l’équipage Dufaur / Lambert tout au long du Championnat Racing Side-Car Mania RSCM.Noël Lambert le passager vous salue bien !
Le premier chapitre ce lit dans le post rubrique « sortie – rencontre » Lurcy-Lévis.
Pour résumer Michel Dufaur et Noël Lambert m’ont confiés la préparation de leur moteur pour la saison 2015 après avoir préparé un 750 en 2013 qui les mènera à la place de vice-champion de France de la catégorie.Catégorie 750 en 2013 (photo Patoche40)Salon Moto Légende 2013 : remise des prix aux champions.
En 2014 c’est un basset qui remplace le side grandes roues, il faut reprendre quelques points de détails sur le châssis, l’ensemble est animé par un 1000 stock. Après quelques roulages sur circuit « pour voir » ils décident de reprendre du service en championnat. Pour 2015, ils rempilent dans le tout nouveau Championnat RSCM et se tournent vers moi afin de préparer un moteur.Février 2015 : greffe du moteur dans la partie cycle.
A Lurcy-Lévis, la grande famille du side-car se retrouve après la saison d’hibernation, ce roulage sans enjeux permet de déverminer l’attelage.
Au Sunday Ride Classic, c’est la première épreuve de ce nouveau Championnat, la chasse aux points est ouverte.
Vendredi matin ce sont les essais libres, cela permet de valider la démultiplication et de modifier la carburation.
Pour les essais chronos, des bougies neuves sont installées, la carburation revue en profondeur et c’est partit pour 7 tours.
A l’arrêt des essais la feuille de temps est publiée, 3e chrono en 3.08.157 pour le side 64, un peu plus de 2 secondes derrière l’équipage Messerli / Monti (Mme) classés seconds et 8 secondes loin derrière l’attelage mené par Dormal / Szendroi qui décroche la pole. A noter que le premier classé concourt en catégorie « Classic 1 » -750cm3- contrairement au suivants qui eux courent en « Classic 2 » -1000cm3-. Si les organisateurs de courses décernent des coupes à chaque podium scratch, l’organisation du RSCM récompense chaque catégorie. J’aurais l’occasion de vous parler plus en détail de cette organisation tout au long de la saison.Pas si vite ! l'obturateur ne suit plus...
La première course se déroule le samedi fin de matinée. A 12h20, les feux s »éteignent et les fauves sont lâchés, tous non ! Le N°64 est littéralement collé à l’asphalte, ce n’est rien que 12 équipages qui débordent le side que je couve du regard. Stupeur, abattement, le ciel me tombe sur la courge…
Le premier tour est bouclé, mes amis sont 15e, je plonge dans l’abîme de l’effroi. Second tour, ils ont perdus une place et pointent maintenant 16e. Aux 3e et 4e tours ils sont 9 e, Michel et Noël se sortent les tripes. Au 5e tour ils pointent en 8e position et au baisser du drapeau, ils terminent en 7e place au général et 6e de la catégorie. Michel qui est obnubilé par sa remontée ne voit pas le drapeau à damier, c’est Noël qui lui fait signe que c’est fini.
De retour au paddock, nous examinons la mécanique, reparlons de la procédure de départ et les dispositions sont prises pour la seconde course du dimanche.première interview pendant que le mécanicien est à l'établi.
L’ordre de départ étant déterminé par le gille établi lors des essais chronos, la machine 64 se place dans les échappements du premier. A l’extinction des feux, le side 64 part en troisième position et creuse le trou avec la meute des poursuivants. Au baissé du drapeau, Michel et Noël terminent 3e derrière les deux premiers de la première course. Ils montent sur la troisième marche du podium. Au classement cumulé ils pointent à la 4e place.les coupes de la 3e place de la seconde course, du grand bonheur et un chouette WE.
A suivre…
FALCO13
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Qu'est ce qu'il est beau ce side!
On compte sur toi François pour nous faire découvrir ce bijou avec toutes ses particularités techniques.
Miam, miam.
Hoppla, a gruass t'hayma,
On compte sur toi François pour nous faire découvrir ce bijou avec toutes ses particularités techniques.
Miam, miam.
Hoppla, a gruass t'hayma,
Le Gros Zimm
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Salut Zim, dès que j'ai un moment, je vous ferais une petite description de cet attelage, promis, en attendant une chouette photo de Patou, merci à lui.
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
C'est vrai qu'il est beau ce ces side,
alfred_grouniache
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Ahhhh françois cela me fait plaisir, te voilà de retour "aux affaires " avec nos deux Gascons . Je viendrai certainement passer le WE à Arnos avec vous.
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
PATOCHE40 a écrit:Ahhhh françois cela me fait plaisir, te voilà de retour "aux affaires " avec nos deux Gascons . Je viendrai certainement passer le WE à Arnos avec vous.
prévenez !!
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
C'est magnifique.ffrd a écrit:
Il y a peut être des soucis au Flatistan mais quand je vois des reportages comme celui-ci je me sent chanceux et privilégié de les lire.
Merci
srv
Le Vigeant
Michel et Noël ayant décidés de ne pas faire le déplacement à Croix en Ternois, c’est sur le circuit du Val-de-Vienne au Vigeant que nous nous retrouvons pour la 3e manche du Championnat Racing Side Car Mania.
Si le soleil était bien présent le jeudi pour la mise en place du camping des sidecarristes et l’appropriation des stands, c’est sous la pluie ou sur une piste glissante que les essais libres se dérouleront le vendredi. 3 séances d’essais libres –exceptionnel- dans ce genre de course nous permettrons de valider le choix de la démultiplication et d’affiner la carburation –au niveau de l’entrée en jeu des pompes de reprise- et d’améliorer quelques petites modifications apportées sur la machine.
Samedi matin nous sommes fins-prêts pour la séance d’essais chronos.
Le départ se fait de la pit-lane, je n’ai pas de chronomètre et ni ma montre analogique ni mon téléphone ne donne le temps au 1/100e de seconde, je me contente de les regarder passer du bord de la piste. Surprise, Michel rentre au bout de 4 tours, en m’indiquant qu’il sentait bien la machine ce que confirme Noël aussi restent-il en-là. A la lecture de la feuille des chronos nous sommes seconds et nous partirons en première ligne notre temps est de 2.17.006’’.
Samedi soir 19h00, sous un ciel couvert, mais une piste sèche, c'est le départ de la première course sur 9 tours.
Au premier passage, Michel et Noël sont en 3e position derrière Michel Dormal associé à Szendroi Philippe sur BMW 750 (classe 1) et le surprenant Suzuki-Schmitt piloté par Bouton Michel et Philippe Deias (classe2, comme nous est ce n’est pas sans importance pour la suite). Ironie du sort, tout au long des essais libres, cet équipage se trouvait confronté à des gros problèmes d’alimentation d’essence et Odile Pietu l’organisatrice du RSCM me demandait de les aider à faire fonctionner correctement le moteur, une fois le circuit d'alimentation corrigé, ils taquinaient la pendule ! j’ai sans doute commis une boulette !
Au second tour l’ordre ne change pas, toujours 3e. À l’entame du 3e tour, Michel et Noël sont en seconde position, mais au 5e tour c’est la Honda 780cm3 (classe 2) qui est en seconde position, le N° 64 repasse 3e, mince alors. Au baisser du drapeau à damier le classement s’établit comme suit :
Premier podium du WE (attendez la suite…) pour mes amis, c’est encourageant.
Check-up du side-car le dimanche matin, RAS, pressions des pneus, complément d’essence, quelques contrôles de routine et un bon nettoyage de la machine et des polyesters, une moto propre est tellement plus belle.
Dimanche midi c’est sous un grand soleil que les fauves sont lâchés. Au premier passage derrière l’indéboulonnable équipage Michel Dormal, Philippe Szendroi nos deux Basques collent aux leurs !
Au baisser du drapeau ils sont seconds au scratch deuxième podium pour cette dernière course au cumul des deux manches ils se classent 1er classe 2 pour cette épreuve,
Classement seconde course :
et c’est sur le podium plus convivial qu’ils reçoivent leurs trophées.
Épreuve suivante à Pau dans un mois.
Si le soleil était bien présent le jeudi pour la mise en place du camping des sidecarristes et l’appropriation des stands, c’est sous la pluie ou sur une piste glissante que les essais libres se dérouleront le vendredi. 3 séances d’essais libres –exceptionnel- dans ce genre de course nous permettrons de valider le choix de la démultiplication et d’affiner la carburation –au niveau de l’entrée en jeu des pompes de reprise- et d’améliorer quelques petites modifications apportées sur la machine.
Samedi matin nous sommes fins-prêts pour la séance d’essais chronos.
Le départ se fait de la pit-lane, je n’ai pas de chronomètre et ni ma montre analogique ni mon téléphone ne donne le temps au 1/100e de seconde, je me contente de les regarder passer du bord de la piste. Surprise, Michel rentre au bout de 4 tours, en m’indiquant qu’il sentait bien la machine ce que confirme Noël aussi restent-il en-là. A la lecture de la feuille des chronos nous sommes seconds et nous partirons en première ligne notre temps est de 2.17.006’’.
Samedi soir 19h00, sous un ciel couvert, mais une piste sèche, c'est le départ de la première course sur 9 tours.
Au premier passage, Michel et Noël sont en 3e position derrière Michel Dormal associé à Szendroi Philippe sur BMW 750 (classe 1) et le surprenant Suzuki-Schmitt piloté par Bouton Michel et Philippe Deias (classe2, comme nous est ce n’est pas sans importance pour la suite). Ironie du sort, tout au long des essais libres, cet équipage se trouvait confronté à des gros problèmes d’alimentation d’essence et Odile Pietu l’organisatrice du RSCM me demandait de les aider à faire fonctionner correctement le moteur, une fois le circuit d'alimentation corrigé, ils taquinaient la pendule ! j’ai sans doute commis une boulette !
Au second tour l’ordre ne change pas, toujours 3e. À l’entame du 3e tour, Michel et Noël sont en seconde position, mais au 5e tour c’est la Honda 780cm3 (classe 2) qui est en seconde position, le N° 64 repasse 3e, mince alors. Au baisser du drapeau à damier le classement s’établit comme suit :
- Premiers ; Michel Dormal, Philippe Szendroi BMW 750 (classe 1), 20.11.18’’ meilleur tour 2.07.40’’
- Seconds ; Bigot Jean-Claude (Honda MR) (classe 2) en 20.29.19’’ meilleur tour 2.13.19
- Troisièmes ; Michel Dufaur, Noël lambert (classe2) en 20.32.37’’ meilleur tour 2.11.89
(photos du départ de la seconde manche.)
Premier podium du WE (attendez la suite…) pour mes amis, c’est encourageant.
Check-up du side-car le dimanche matin, RAS, pressions des pneus, complément d’essence, quelques contrôles de routine et un bon nettoyage de la machine et des polyesters, une moto propre est tellement plus belle.
Dimanche midi c’est sous un grand soleil que les fauves sont lâchés. Au premier passage derrière l’indéboulonnable équipage Michel Dormal, Philippe Szendroi nos deux Basques collent aux leurs !
Au baisser du drapeau ils sont seconds au scratch deuxième podium pour cette dernière course au cumul des deux manches ils se classent 1er classe 2 pour cette épreuve,
Classement seconde course :
- Premiers ; Michel Dormal, Philippe Szendroi BMW 750 (classe 1), 20.01.99’’ meilleur tour 2.11.36’’
- Seconds ; Michel Dufaur, Noël lambert (classe2) en 20.24.12’’ meilleur tour 2.13.48''
- Troisièmes ; Vansteelandt Eric, Fauchez Julien en 20.53.77'' meilleur tour 2.17.22''
et c’est sur le podium plus convivial qu’ils reçoivent leurs trophées.
Épreuve suivante à Pau dans un mois.
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merci François pour ce compte-rendu, heureusement que tu es là pour le faire parce-que si nous devions compter sur les deux énergumènes pour le faire je pense que nous resterions sur notre fin..... non je ment un peu tout de même puisque Noël m'a bigophoné cet aprem pour le faire.
Petit aparté ou simple remarque ....pourquoi veux tu faire de deux Gascons des Basques ???
Petit rappel historique:
En effet, en 1562, la ville de Bayonne, alors en déclin, obtient de Charles IX de France qu'on lui donne un accès direct à l'océan. C'est Louis de Foix qui fait réaliser la trouée vers l'océan dans laquelle le fleuve s'engouffre le 25 octobre 1578.
Le trafic du port fait alors vivre des pilotes guidant les navires et quelques dockers.
Boucau a fait partie de la baronnie du Seignanx. Le Seignanx est centré sur les croupes surplombant les anciens marais d'Orx, asséchés en 1864. Il était initialement constitué des localités de Boucau, Tarnos, Ondres, Saint-Martin-de-Seignanx, et Saint-André-de-Seignanx.
En 1855, le tracé de la liaison ferroviaire Bordeaux-Bayonne entraîne la création d'une gare dans ce même quartier. Napoléon III, par décret du 14 septembre 1857, décide de la création de la commune de Boucau, en détachant 2 quartiers de Tarnos : le quartier bas (Boucau) et le quartier haut (Romatet).
L’amélioration des accès maritimes, la desserte ferroviaire, la proximité de l’Espagne avec ses gisements de minerai de fer de Biscaye vont conduire à l’implantation de l’usine des Forges de l’Adour en 1881. L’usine est spécialisée dans la production de rails et accessoires des voies ferrées. Cette industrialisation subite va entraîner une expansion économique et démographique sans précédents sur la commune. L'« épopée » des forges s'achève en 1965.
Boucau et le Pays basque
Comme précisé plus haut Boucau faisait partie de Tarnos (Landes, Gascogne! ...) pourquoi parler de Pays Basque alors ?
La quasi-totalité des cartes récentes où figure une frontière précise pour la province du Labourd y fait figurer Boucau9. De même, cette ville est généralement mentionnée dans les listes de communes du Labourd10.
Les choses ne sont néanmoins pas totalement simples : du point de vue de la stricte histoire administrative, Boucau n'a en effet jamais été dépendante du Labourd ni de Bayonne. Simple écart de Tarnos sous l'Ancien Régime, elle suivait le même sort que les paroisses du Seignanx : la coutume en vigueur y était celle de Dax, la sénéchaussée celle de Tartas.
Sous l'influence sans doute des frontières départementales contemporaines, il n'en reste pas moins que la représentation commune en ce début de XXIe siècle rattache en général Boucau au Pays basque : c'est en tous cas l'analyse de Gisèle Carrière-Prignitz qui rappelle dans un premier temps que jusqu'à récemment la frontière nord du Pays basque était constituée par le cours de l'Adour pour les représentations collectives, mais pour ajouter que celles-ci ont évolué. Aujourd'hui, tant Boucau que le quartier bayonnais de Saint-Esprit sont « intégrés » aux provinces basques – même s'ils restent pour certains une « frontière », comme en témoignent encore récemment des rixes entre « Landais » et « Bayonnais » aux fêtes de Bayonne11.
MESSANGES
Vers 1310, à l'occasion d'une terrible tempête, l'Adour qui sortait à Capbreton fut repoussée dans les terres, elle divagua jusqu'au Plecq, modeste quartier de Messanges, qu'elle élit pour sa nouvelle embouchure.
L'embouchure de l'Adour en ce temps-là était large de 1 200 mètres et profonde de 30 faisant de Port d'Albret le meilleur abri du sud de l'Aquitaine, au grand désespoir des Bayonnais qui contrôlaient avec jalousie cet avant-port naturel de l'Adour. Cette embouchure si importante fut en fait entretenue par un bassin qui s'était formé entre le Plecq et Messanges. Ce bassin, fonctionnant comme une chasse d'eau, empêchait tout ensablement de la passe.
Lorsque l'Adour fut détournée à Bayonne en 1578 par les travaux de Louis de Foix, l'embouchure s'ensabla inexorablement et l'importante ville de Port-d'Albret fut progressivement abandonnée : elle perdit jusqu'à son nom pour devenir "vieux boucau", la vieille embouchure. Les maisons furent peu à peu détruites et les pierres de nombreux bâtiments incinérées pour produire de la chaux.
Le souvenir du détournement de 1578 est resté dans le nom de Moïsan. Le Moïsan était un navire qui se trouvait à l'ancre au fond du bassin, près de Messanges, le jour même où l'Adour fut détournée. Il se trouva prisonnier d'un lac d'eau de mer et dut être abandonné sur place. Le lac de Moïsan est un vestige de l'immense rade "anglaise" d'où appareillèrent les navires "basques" et "gascons" qui rejoignirent Terre-Neuve dès 1392, selon la tradition, soit un siècle avant le premier voyage de Christophe Colomb. La commune, tout comme Capbreton, était célèbre pour ses vignes de vin de sable qui faisaient l'objet d'une culture très particulière afin de fixer les sables du littoral ; si ce mode de culture (dite "probagne" en gascon), qui consistait à enterrer chaque année le cep dans le sable au point que les parties souterraines de la vigne faisaient un réseau impressionnant de racines, a disparu, le vignoble se perpétue vaille que vaille et contribue à garder la célébrité locale du "vin de sable" (cépages rouges : cabernet et, pour le blanc, "tite de cabre" (chenin de la Loire) et cépage rare "cruchen" qui fut planté avec succès par des vignerons de Messanges en Afrique du Sud au XIXe siècle pour donner un vin blanc rappelant le riesling). C'est la récolte et le commerce de la résine obtenue depuis la vaste pinède de la commune (plus de 2 000 ha), ainsi que l'exploitation des chênes lièges dans de petits ateliers à Vieux-Boucau qui firent la richesse de Messanges : il subsiste encore les bâtiments de ce qui fut une importante distillerie de térébenthine. Désormais, cette commune rurale vit pour l'essentiel du tourisme, avec la présence proche du complexe de "Port d'Albret" réalisé autour d'un lac marin sous écluse, nouveau quartier jailli du sable dans les années 1970 aux portes du bourg de Vieux-Boucau sur les vestiges de l'estuaire de l'Adour.
Petit aparté ou simple remarque ....pourquoi veux tu faire de deux Gascons des Basques ???
Petit rappel historique:
L'histoire de Boucau
C'est en 1578 que l'Adour, dont l'embouchure se trouve alors plus au nord, à Vieux-Boucau, est détournée pour se jeter dans un quartier de la ville de Tarnos (Landes) : le Boucau.En effet, en 1562, la ville de Bayonne, alors en déclin, obtient de Charles IX de France qu'on lui donne un accès direct à l'océan. C'est Louis de Foix qui fait réaliser la trouée vers l'océan dans laquelle le fleuve s'engouffre le 25 octobre 1578.
Le trafic du port fait alors vivre des pilotes guidant les navires et quelques dockers.
Boucau a fait partie de la baronnie du Seignanx. Le Seignanx est centré sur les croupes surplombant les anciens marais d'Orx, asséchés en 1864. Il était initialement constitué des localités de Boucau, Tarnos, Ondres, Saint-Martin-de-Seignanx, et Saint-André-de-Seignanx.
En 1855, le tracé de la liaison ferroviaire Bordeaux-Bayonne entraîne la création d'une gare dans ce même quartier. Napoléon III, par décret du 14 septembre 1857, décide de la création de la commune de Boucau, en détachant 2 quartiers de Tarnos : le quartier bas (Boucau) et le quartier haut (Romatet).
L’amélioration des accès maritimes, la desserte ferroviaire, la proximité de l’Espagne avec ses gisements de minerai de fer de Biscaye vont conduire à l’implantation de l’usine des Forges de l’Adour en 1881. L’usine est spécialisée dans la production de rails et accessoires des voies ferrées. Cette industrialisation subite va entraîner une expansion économique et démographique sans précédents sur la commune. L'« épopée » des forges s'achève en 1965.
Boucau et le Pays basque
Comme précisé plus haut Boucau faisait partie de Tarnos (Landes, Gascogne! ...) pourquoi parler de Pays Basque alors ?
La quasi-totalité des cartes récentes où figure une frontière précise pour la province du Labourd y fait figurer Boucau9. De même, cette ville est généralement mentionnée dans les listes de communes du Labourd10.
Les choses ne sont néanmoins pas totalement simples : du point de vue de la stricte histoire administrative, Boucau n'a en effet jamais été dépendante du Labourd ni de Bayonne. Simple écart de Tarnos sous l'Ancien Régime, elle suivait le même sort que les paroisses du Seignanx : la coutume en vigueur y était celle de Dax, la sénéchaussée celle de Tartas.
Sous l'influence sans doute des frontières départementales contemporaines, il n'en reste pas moins que la représentation commune en ce début de XXIe siècle rattache en général Boucau au Pays basque : c'est en tous cas l'analyse de Gisèle Carrière-Prignitz qui rappelle dans un premier temps que jusqu'à récemment la frontière nord du Pays basque était constituée par le cours de l'Adour pour les représentations collectives, mais pour ajouter que celles-ci ont évolué. Aujourd'hui, tant Boucau que le quartier bayonnais de Saint-Esprit sont « intégrés » aux provinces basques – même s'ils restent pour certains une « frontière », comme en témoignent encore récemment des rixes entre « Landais » et « Bayonnais » aux fêtes de Bayonne11.
MESSANGES
Histoire
Sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle dit du littoral, Messanges était une halte connue des pèlerins dont le nom apparut très tôt sur les cartes (dès le XIIIe siècle).Vers 1310, à l'occasion d'une terrible tempête, l'Adour qui sortait à Capbreton fut repoussée dans les terres, elle divagua jusqu'au Plecq, modeste quartier de Messanges, qu'elle élit pour sa nouvelle embouchure.
L'embouchure de l'Adour en ce temps-là était large de 1 200 mètres et profonde de 30 faisant de Port d'Albret le meilleur abri du sud de l'Aquitaine, au grand désespoir des Bayonnais qui contrôlaient avec jalousie cet avant-port naturel de l'Adour. Cette embouchure si importante fut en fait entretenue par un bassin qui s'était formé entre le Plecq et Messanges. Ce bassin, fonctionnant comme une chasse d'eau, empêchait tout ensablement de la passe.
Lorsque l'Adour fut détournée à Bayonne en 1578 par les travaux de Louis de Foix, l'embouchure s'ensabla inexorablement et l'importante ville de Port-d'Albret fut progressivement abandonnée : elle perdit jusqu'à son nom pour devenir "vieux boucau", la vieille embouchure. Les maisons furent peu à peu détruites et les pierres de nombreux bâtiments incinérées pour produire de la chaux.
Le souvenir du détournement de 1578 est resté dans le nom de Moïsan. Le Moïsan était un navire qui se trouvait à l'ancre au fond du bassin, près de Messanges, le jour même où l'Adour fut détournée. Il se trouva prisonnier d'un lac d'eau de mer et dut être abandonné sur place. Le lac de Moïsan est un vestige de l'immense rade "anglaise" d'où appareillèrent les navires "basques" et "gascons" qui rejoignirent Terre-Neuve dès 1392, selon la tradition, soit un siècle avant le premier voyage de Christophe Colomb. La commune, tout comme Capbreton, était célèbre pour ses vignes de vin de sable qui faisaient l'objet d'une culture très particulière afin de fixer les sables du littoral ; si ce mode de culture (dite "probagne" en gascon), qui consistait à enterrer chaque année le cep dans le sable au point que les parties souterraines de la vigne faisaient un réseau impressionnant de racines, a disparu, le vignoble se perpétue vaille que vaille et contribue à garder la célébrité locale du "vin de sable" (cépages rouges : cabernet et, pour le blanc, "tite de cabre" (chenin de la Loire) et cépage rare "cruchen" qui fut planté avec succès par des vignerons de Messanges en Afrique du Sud au XIXe siècle pour donner un vin blanc rappelant le riesling). C'est la récolte et le commerce de la résine obtenue depuis la vaste pinède de la commune (plus de 2 000 ha), ainsi que l'exploitation des chênes lièges dans de petits ateliers à Vieux-Boucau qui firent la richesse de Messanges : il subsiste encore les bâtiments de ce qui fut une importante distillerie de térébenthine. Désormais, cette commune rurale vit pour l'essentiel du tourisme, avec la présence proche du complexe de "Port d'Albret" réalisé autour d'un lac marin sous écluse, nouveau quartier jailli du sable dans les années 1970 aux portes du bourg de Vieux-Boucau sur les vestiges de l'estuaire de l'Adour.
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merdalors !!!PATOCHE40 a écrit:Petit aparté ou simple remarque ....pourquoi veux tu faire de deux Gascons des Basques ???
Petit rappel historique:
Moi qui pensais que c'était la même chose...
Bon, le Grand Sud-Ouest m'est interdit dorénavant, j'y suis définitivement interdit de séjour...
J'irais au Sud, le midi et sa Méditerranée, chez les Ch'tis quoi...
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
ffrd a écrit:Merdalors !!!PATOCHE40 a écrit:Petit aparté ou simple remarque ....pourquoi veux tu faire de deux Gascons des Basques ???
Petit rappel historique:
Moi qui pensais que c'était la même chose...
Oui, bien sûr, comme au nord de Labouheyre, c'est tous des esquimaux.
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
T"inquiètes pas François nous ne sommes pas comme ça , tu me fais passer ton passeport et je te mettrai le tampon et la signature pour le titre de séjour
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
un grand bravo à cette équipe et leur préparateur , et merci pour le partage !
bonne route à tous .
bonne route à tous .
alex
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merci à François pour ton reportage et ton extrême finesse de mise au point !
Merci Michel et Noël pour votre excellent pilotage et votre accueil (Castellet)!
Merci à vous trois de me motiver de plus en plus à vouloir tâter du side sur piste !
Merci Michel et Noël pour votre excellent pilotage et votre accueil (Castellet)!
Merci à vous trois de me motiver de plus en plus à vouloir tâter du side sur piste !
pierrot
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Ah les c..sils vont bien finir par filler le virus des trois roues à tout le monde
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Salut Patoche,
s'il s'agit de donner l'envie aux copains de venir aux 3 roues et de se retrouver au championnat, je suis partant.
Autant qu'ils sachent ou ils vont aller
une manche de championnat side commence par un contrôle technique : Michel le pilote (avec le bob) ne cherche pas à intimider Laurent le contrôleur technique de la fédé.
Après la vérification de la machine et des équipements du pilote et du passager, c'est un retour en classe pour le brieffing :
Alors si cela vous tente n'hésitez pas un instant, rejoignez le Championnat Racing Side-Car Mania.
Le side car reste la seule discipline auto et moto qui réunis deux personnes sur le même engin sur une épreuve de vitesse en circuit fermé.
s'il s'agit de donner l'envie aux copains de venir aux 3 roues et de se retrouver au championnat, je suis partant.
Autant qu'ils sachent ou ils vont aller
une manche de championnat side commence par un contrôle technique : Michel le pilote (avec le bob) ne cherche pas à intimider Laurent le contrôleur technique de la fédé.
(photo Fanch LMAP)
Après la vérification de la machine et des équipements du pilote et du passager, c'est un retour en classe pour le brieffing :
(photo Fanch LMAP)
ensuite c'est des essais libres, des essais chronos et deux courses, et ça c'est que du bonheur, surtout si ça se termine par le podium ! (photo Fanch LMAP)
C'est à croire que Philippe Szendroi cherche à sauter du panier.(photo Fanch LMAP)
Le side ce n'est pas que du flat bavarois, il y a du suzuki et du Kawa et encore bien d'autres motorisation.(photo Fanch LMAP)
Tout ça donne de la bagarre(photo Fanch LMAP)
De biens belles attitudes(photo Fanch LMAP)
Au même endroit Noël est quasiment en position "je me planque derrière ma verrière pour cette ligne droite ou je n'ai rien à faire" alors que Mme Thebault s'apprête à le faire.(photo Fanch LMAP)
Derrière la chasse est donnée.(photo Fanch LMAP)
Ce qui donne des figures acrobatiques(photo Fanch LMAP)
Et et en lumière le travail du passager.(photo Guillaume Jegou)
Pilote et passager sont complices, l'entente est nécessaire, sans cela, pas de résultat.(photo Guillaume Jegou)
Le parc fermé avant le podium.(photo Fanch LMAP)
Le WE est fini de belle façon.(photo Fanch LMAP)
Alors si cela vous tente n'hésitez pas un instant, rejoignez le Championnat Racing Side-Car Mania.
Le side car reste la seule discipline auto et moto qui réunis deux personnes sur le même engin sur une épreuve de vitesse en circuit fermé.
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Pour plus d'infos :
http://lesblogs.motomag.com/racingsidecarmania/
http://lesblogs.motomag.com/racingsidecarmania/
ffrd
Re: side N°64 au Championnat Racing Side-Car Mania
Merci pour ce topic plein de fraîcheur qui donne envie effectivement
Dom
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