Virée alpine
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Virée alpine
J'arrivais pas à dormir hier...
debout à 5h, le temps s'annonce superbe, j'ai rien de prévu d'hyper important aujourd'hui, sauf que ma belle sœur doit accoucher prochainement et qu'il faut que je reste prêt au cas ou pour s'occuper de mon petit neveu le temps que ses parents aillent à la maternité. Mais bon, ma copine est à la maison, je serai de retour vers midi, donc je décide de faire une virée à la fraîche au Col du Parpaillon.
Zou, la GS démarre à 6h, je refais le plein et j'attaque la vallée de la Maurienne alors que les premières lueurs de l'aube comme les ouvriers en 3x8 pointent. Dans mon rétro, j'aperçois la pleine lune qui se couche derrière la Chartreuse, magnifique! Mais comme j'étais pressé, j'ai pas pu m'arrêter, j'étais sur l'autoroute histoire de zapper le moins intéressant du parcours. Pis de toute façons, j'avais pas mon appareil, juste le téou, et le résultat aurait été pas terrible.
Arrivé à St Michel de Maurienne, j'attaque le Col du Télégraphe et je m'arrête boire un jus et acheter des croissants à Valloire. La GS ratatouille un peu au ralenti, bizarre, ça doit être l'altitude? Bin non, c'est une merdouille qui bloque le pointeau. J'en profite pour demander à la boulangère un gant en latex pour réparer ça sans embaumer mes doigts d'essence, la journée ne fait que commencer et on ne sait jamais où on aura à les mettre...Elle n'en n'a pas, mais me renvoie sur son mari, lui aussi motard, qui arrive justement. Et m'envie de pouvoir réparer facilement ma BM, passque lui, il en a eu pour 1800€ sur sa R1200C pour un problème de piston... Bien fait, je lui ai dit! Moi je viens de refaire le moulin pour 250€ et il marche à merveille!
Bref, je le laisse dans son pétrin et j'attaque le Galibier. Et, croyez moi, le Galibier désert à 7h du matin sans une seule voiture, ni un seul vélo doublé ni croisé, c'est génial! En plus l'adhérence est bonne car les raccords de bitume sont froids et ne glissent pas encore, le pied, c'est une gigantesque course de côte dans un décor splendide:
Toujours personne sur la route. C'est d'autant plus frustrant que j'aurais atomisé n'importe qui dans ces bonne conditions. Finalement, j'ai tout de même un trophée original à accrocher à mon tableau de chasse: en redescendant du Col, juste avant le tunnel une marmotte mal avisée à bondi du fossé sous mes roues et Couic...je n'ai pas réussi à la retrouver, dommage, il paraît que c'est bon!
Versant Sud, il fait encore nuit mais la vallée de Briançon semble déjà bien ensoleillée...
La redescente vaut la montée, mollo au départ car il y a plein de rochers sur la route, encore quelques marmottes et surtout plein de vaches, qui sont plus sournoises que les rochers car elles bougent plus vite et plus difficiles à écraser que les marmottes car elles ont des cornes pointues (mais elles sont très bonnes à manger aussi).
Arrivé au pied du col, la descente sur Briançon se fait via une large route qui serpente juste pour faire joli et user les pneus sur les bords. Toujours désert, j'enquille ça à grande vitesse, c'est génial.
Arrivé à Briançon, la GS re-ratatouille au ralenti. Bon, ya une merde dans le carbu. Je redépose la cuve, retitille le pointeau, et c'est fini. J'ai encore les doigts plein d'essence, mais justement un camion citerne d'entretien des espaces verts est en train d'arroser les massifs à côté, et une mignonne jeune jardinière veut bien jouer avec son tuyau pour m'arroser les paluches. A charge de revanche!
Direction Embrun, on continue dans les enfilades ( je parle des virages, plus de botanique!) jusqu'à Embrun, où on quitte alors la nationale pour prendre une micro route qui passe la Durance sur une petite passerelle et se dirige vers le Parpaillon comme si elle s'excusait de passer par là, en se faisant discrète pour pas déranger mais en ne pouvant pas s'empêcher de faire quelques lacets dès qu'on la regarde pas.
Passé Crevoux, la route cède la place à la piste, chouette! J'ai des Enduro III tout neufs, c'est parti!
J'ai pas fait 50m que je tombe sur un chien, puis deux, un gosse, un promeneur, puis deux, Rha, je fais quoi? J'écrase tout? Mais je pourrai jamais tout manger en une fois!
Bien m'en a pris d'éviter de rouler sur qui que ce soit puisqu'au virage suivant, je tombe sur un veau, puis deux vaches, ah non, cinq, à tiens, douze, trente, quatre vingt....et merde. Une montée en alpage. Impossible de dépasser le troupeau sur les côtés, ni de leur faire l'exter dans les épingles car elles en profitent pour couper au point de corde en grimpant sur les talus. Ma parole, j'ai jamais vu des vaches crapahuter comme ça dans des parois qu'un champion du monde de Trial n'attaquerait pas, même en descente.C'est pas possible, elles ont les pis qui font ventouse!
Bon, c'est pas tout, ça, mais il faut que je sois rentré pour midi... je discute avec un gars qui accompagne le troupeau, il me dit qu'il y a pas de solution avant d'arriver au sommet, dans une heure et demi. OK, je prends mon air vache ( je roule en Beumeuuuuuh!) et je plonge dans le troupeau en roulant sur la pointe des pneus.
Mais forcément, les ruminantes accélèrent dès que je les talonne, pressentant en moi des intentions prédatives. Du coup, le troupeau passe la troisieme et accélère. Petit à petit, j'arrive à remonter le peloton, mais certaines s'accrochent et persistent à couper dans les épingles alors que d'autres font barrage pour m'empêcher de leur faire l'exter. Finalement, elles décident toutes d'attaquer le Parpaillon par la face Nord directement et grimpent direct sur le talus, pire que des chêvres! J'arrive enfin à passer et la piste s'offre à moi. Finalement, j'ai quand même réussi à arsouiller dans un col!
Il y a une douzaine de km jusqu'en haut, de la piste facile, même des voitures de tourisme y grimpent, doucement mais sûrement.
En montant, j'avise que mon petit pare brise se fait la malle, les fixations se sont déserrées et j'en ai paumé une. Je m'arrête peu avant le sommet pour le refixer et en profite pour reprende une photo avec les Ecrins en fond...
Arrivé en haut, pour passer de l'autre côté, point de col mais un tunnel haut et étroit dans lequel on ne se croise pas, et surtout plein de boue et de flotte. Pas très accueillant a priori de se lancer là dedans. J'ai pas de photo, mais tout le monde à une représentation en tête de l'entrée ovale d'un trou sombre et humide. Sinon, allez voir sur place, parce que la particularité de cet orifice là est qu'il débouche sur la lumière et sur un paysage qui valait le coup de passer ce Styx.
Ça change des panoramas précédents, c'est beaucoup plus sauvage, pas de trace de présence humaine si ce n'est au fond de la vallée une curieuse expo en plein air d'art contemporain qui trace des cromlech sur le sol et dispose ici ou là quelques sculptures. Original et pas choquant comme cadre.
La redescente est vertigineuse, par une piste en lacets, mais le cadre est toujours aussi beau. Au bas du col, on retrouve le bitume en même temps que les sapins, et la route rejoint la vallée de l'Ubaye.
Laquelle, ma foi, se prête elle aussi à quelques réjouissances viragesques dans un cadre enchanteur. la Condamine Chatelard et St Paul sur Ubaye passés, direction le Col de Vars, magnifique itou et on rejoint la vallée de la Durance à MontDauphin.
Un peu à la bourre sur mes prévisions puisqu'il était déjà 11h, je suis rentré par la même route mais j'aurais volontiers exploré d'autres variantes via l'Izoard par exemple, ou poursuivi au Sud...mais bon, ce n'était qu'une petite promenade d'une demi-journée, même si le compteur une fois rentré affichait presque 500 km...justement, question autonomie, j'avais fait un petit plein avant de partir, histoire de ne pas trop alourdir la GS dans les lacets. Passé les dernieres stations avant le col du Galibier au retour, je n'étais pas encore passé en reserve , ce qui s'est produit juste au pied du col. Pas grave, je prendrai de l'essence à Valloire, j'ai assez pour monter et redescendre, ce que je fis en roue libre, contemplant songeur les embouteillages de randonneurs qui préfèrent faire la queue en montagne plutot qu'à Carrefour le samedi après midi...
Arrivé à Valloire: rhaaa! Plus de station, elle a fermé! Bon, je remonte le col du Télégraphe et redescends à St Michel de Maurienne, j'en prendrai là bas. Redescente en roue libre et moteur coupé, j'arrivais encore à doubler quelques voitures...
Arrivé à St Michel: rhaaaaaaa! Station fermée pour livraison!
Bin il ne reste que la solution de prendre l'autoroute encore, pour accéder à la plus proche station.
Et voilà, arrivé à la maison à 14h, après presque 500 bornes de virolos alpins, de marmotticide fortuit et d'arsouille bovine.
Et je n'ai qu'une envie: y retourner!
Pour la petite histoire mon petit frère Guillaume, alias Racc00n est désormais papa d'une petite Louise depuis hier soir...
debout à 5h, le temps s'annonce superbe, j'ai rien de prévu d'hyper important aujourd'hui, sauf que ma belle sœur doit accoucher prochainement et qu'il faut que je reste prêt au cas ou pour s'occuper de mon petit neveu le temps que ses parents aillent à la maternité. Mais bon, ma copine est à la maison, je serai de retour vers midi, donc je décide de faire une virée à la fraîche au Col du Parpaillon.
Zou, la GS démarre à 6h, je refais le plein et j'attaque la vallée de la Maurienne alors que les premières lueurs de l'aube comme les ouvriers en 3x8 pointent. Dans mon rétro, j'aperçois la pleine lune qui se couche derrière la Chartreuse, magnifique! Mais comme j'étais pressé, j'ai pas pu m'arrêter, j'étais sur l'autoroute histoire de zapper le moins intéressant du parcours. Pis de toute façons, j'avais pas mon appareil, juste le téou, et le résultat aurait été pas terrible.
Arrivé à St Michel de Maurienne, j'attaque le Col du Télégraphe et je m'arrête boire un jus et acheter des croissants à Valloire. La GS ratatouille un peu au ralenti, bizarre, ça doit être l'altitude? Bin non, c'est une merdouille qui bloque le pointeau. J'en profite pour demander à la boulangère un gant en latex pour réparer ça sans embaumer mes doigts d'essence, la journée ne fait que commencer et on ne sait jamais où on aura à les mettre...Elle n'en n'a pas, mais me renvoie sur son mari, lui aussi motard, qui arrive justement. Et m'envie de pouvoir réparer facilement ma BM, passque lui, il en a eu pour 1800€ sur sa R1200C pour un problème de piston... Bien fait, je lui ai dit! Moi je viens de refaire le moulin pour 250€ et il marche à merveille!
Bref, je le laisse dans son pétrin et j'attaque le Galibier. Et, croyez moi, le Galibier désert à 7h du matin sans une seule voiture, ni un seul vélo doublé ni croisé, c'est génial! En plus l'adhérence est bonne car les raccords de bitume sont froids et ne glissent pas encore, le pied, c'est une gigantesque course de côte dans un décor splendide:
Toujours personne sur la route. C'est d'autant plus frustrant que j'aurais atomisé n'importe qui dans ces bonne conditions. Finalement, j'ai tout de même un trophée original à accrocher à mon tableau de chasse: en redescendant du Col, juste avant le tunnel une marmotte mal avisée à bondi du fossé sous mes roues et Couic...je n'ai pas réussi à la retrouver, dommage, il paraît que c'est bon!
Versant Sud, il fait encore nuit mais la vallée de Briançon semble déjà bien ensoleillée...
La redescente vaut la montée, mollo au départ car il y a plein de rochers sur la route, encore quelques marmottes et surtout plein de vaches, qui sont plus sournoises que les rochers car elles bougent plus vite et plus difficiles à écraser que les marmottes car elles ont des cornes pointues (mais elles sont très bonnes à manger aussi).
Arrivé au pied du col, la descente sur Briançon se fait via une large route qui serpente juste pour faire joli et user les pneus sur les bords. Toujours désert, j'enquille ça à grande vitesse, c'est génial.
Arrivé à Briançon, la GS re-ratatouille au ralenti. Bon, ya une merde dans le carbu. Je redépose la cuve, retitille le pointeau, et c'est fini. J'ai encore les doigts plein d'essence, mais justement un camion citerne d'entretien des espaces verts est en train d'arroser les massifs à côté, et une mignonne jeune jardinière veut bien jouer avec son tuyau pour m'arroser les paluches. A charge de revanche!
Direction Embrun, on continue dans les enfilades ( je parle des virages, plus de botanique!) jusqu'à Embrun, où on quitte alors la nationale pour prendre une micro route qui passe la Durance sur une petite passerelle et se dirige vers le Parpaillon comme si elle s'excusait de passer par là, en se faisant discrète pour pas déranger mais en ne pouvant pas s'empêcher de faire quelques lacets dès qu'on la regarde pas.
Passé Crevoux, la route cède la place à la piste, chouette! J'ai des Enduro III tout neufs, c'est parti!
J'ai pas fait 50m que je tombe sur un chien, puis deux, un gosse, un promeneur, puis deux, Rha, je fais quoi? J'écrase tout? Mais je pourrai jamais tout manger en une fois!
Bien m'en a pris d'éviter de rouler sur qui que ce soit puisqu'au virage suivant, je tombe sur un veau, puis deux vaches, ah non, cinq, à tiens, douze, trente, quatre vingt....et merde. Une montée en alpage. Impossible de dépasser le troupeau sur les côtés, ni de leur faire l'exter dans les épingles car elles en profitent pour couper au point de corde en grimpant sur les talus. Ma parole, j'ai jamais vu des vaches crapahuter comme ça dans des parois qu'un champion du monde de Trial n'attaquerait pas, même en descente.C'est pas possible, elles ont les pis qui font ventouse!
Bon, c'est pas tout, ça, mais il faut que je sois rentré pour midi... je discute avec un gars qui accompagne le troupeau, il me dit qu'il y a pas de solution avant d'arriver au sommet, dans une heure et demi. OK, je prends mon air vache ( je roule en Beumeuuuuuh!) et je plonge dans le troupeau en roulant sur la pointe des pneus.
Mais forcément, les ruminantes accélèrent dès que je les talonne, pressentant en moi des intentions prédatives. Du coup, le troupeau passe la troisieme et accélère. Petit à petit, j'arrive à remonter le peloton, mais certaines s'accrochent et persistent à couper dans les épingles alors que d'autres font barrage pour m'empêcher de leur faire l'exter. Finalement, elles décident toutes d'attaquer le Parpaillon par la face Nord directement et grimpent direct sur le talus, pire que des chêvres! J'arrive enfin à passer et la piste s'offre à moi. Finalement, j'ai quand même réussi à arsouiller dans un col!
Il y a une douzaine de km jusqu'en haut, de la piste facile, même des voitures de tourisme y grimpent, doucement mais sûrement.
En montant, j'avise que mon petit pare brise se fait la malle, les fixations se sont déserrées et j'en ai paumé une. Je m'arrête peu avant le sommet pour le refixer et en profite pour reprende une photo avec les Ecrins en fond...
Arrivé en haut, pour passer de l'autre côté, point de col mais un tunnel haut et étroit dans lequel on ne se croise pas, et surtout plein de boue et de flotte. Pas très accueillant a priori de se lancer là dedans. J'ai pas de photo, mais tout le monde à une représentation en tête de l'entrée ovale d'un trou sombre et humide. Sinon, allez voir sur place, parce que la particularité de cet orifice là est qu'il débouche sur la lumière et sur un paysage qui valait le coup de passer ce Styx.
Ça change des panoramas précédents, c'est beaucoup plus sauvage, pas de trace de présence humaine si ce n'est au fond de la vallée une curieuse expo en plein air d'art contemporain qui trace des cromlech sur le sol et dispose ici ou là quelques sculptures. Original et pas choquant comme cadre.
La redescente est vertigineuse, par une piste en lacets, mais le cadre est toujours aussi beau. Au bas du col, on retrouve le bitume en même temps que les sapins, et la route rejoint la vallée de l'Ubaye.
Laquelle, ma foi, se prête elle aussi à quelques réjouissances viragesques dans un cadre enchanteur. la Condamine Chatelard et St Paul sur Ubaye passés, direction le Col de Vars, magnifique itou et on rejoint la vallée de la Durance à MontDauphin.
Un peu à la bourre sur mes prévisions puisqu'il était déjà 11h, je suis rentré par la même route mais j'aurais volontiers exploré d'autres variantes via l'Izoard par exemple, ou poursuivi au Sud...mais bon, ce n'était qu'une petite promenade d'une demi-journée, même si le compteur une fois rentré affichait presque 500 km...justement, question autonomie, j'avais fait un petit plein avant de partir, histoire de ne pas trop alourdir la GS dans les lacets. Passé les dernieres stations avant le col du Galibier au retour, je n'étais pas encore passé en reserve , ce qui s'est produit juste au pied du col. Pas grave, je prendrai de l'essence à Valloire, j'ai assez pour monter et redescendre, ce que je fis en roue libre, contemplant songeur les embouteillages de randonneurs qui préfèrent faire la queue en montagne plutot qu'à Carrefour le samedi après midi...
Arrivé à Valloire: rhaaa! Plus de station, elle a fermé! Bon, je remonte le col du Télégraphe et redescends à St Michel de Maurienne, j'en prendrai là bas. Redescente en roue libre et moteur coupé, j'arrivais encore à doubler quelques voitures...
Arrivé à St Michel: rhaaaaaaa! Station fermée pour livraison!
Bin il ne reste que la solution de prendre l'autoroute encore, pour accéder à la plus proche station.
Et voilà, arrivé à la maison à 14h, après presque 500 bornes de virolos alpins, de marmotticide fortuit et d'arsouille bovine.
Et je n'ai qu'une envie: y retourner!
Pour la petite histoire mon petit frère Guillaume, alias Racc00n est désormais papa d'une petite Louise depuis hier soir...
Dernière édition par jbt le Ven 7 Aoû 2009 - 13:22, édité 3 fois
jbt
Re: Virée alpine
Belle ballade. Le Parpaillon, j'en entends parler depuis longtemps. Je le grimperai un de ces Quatre en moto...ou vtt.
ps : Station service, il me semble, à st Jean de Maurienne et aussi entre st Michel et st Jean, non?
ps : Station service, il me semble, à st Jean de Maurienne et aussi entre st Michel et st Jean, non?
GeorgeS 69
Re: Virée alpine
merci pour ce cr , je serais dans le coin , normalement , départ de belgique le 15 ...... prévient les marmottes !!!!
superbe ta gs !!!! :clin d'oeil:
superbe ta gs !!!! :clin d'oeil:
jackerda
Re: Virée alpine
j'aime ce type de bécane qui nous permettent d'aller au bout de nos rêves.
Double disque . Une béquille maison. Mais quel est ce garde boue arrière.
Double disque . Une béquille maison. Mais quel est ce garde boue arrière.
VOLUBILIS
Re: Virée alpine
C'est un Acerbis Baja + un origine retaillé.VOLUBILIS a écrit:Double disque . Une béquille maison. Mais quel est ce garde boue arrière.
Pas formidable question protection, mais j'aime bien la ligne générale, ça affine l'arrière.
La béquille est celle d'origine, mais je lui ai fait un sabot alu qui protège l'échappement une fois la béquille relevée en se plaçant dans le prolongement du sabot moteur.
jbt
Re: Virée alpine
Ah les beaux paysages...La seule fois que je suis allé en Montagne l'été, c'était là, aux pieds de la Meije, à deux pas de Briançon...Magnifique...Dommage que je n'étais pas motard à l'époque!
Merci pour la ballade en tout cas! !!
Merci pour la ballade en tout cas! !!
____________________
« Adding power makes you faster on the straights. Subtracting weight makes you faster everywhere ». C. Chapman
Que la bête meure.
Mais pas tout de suite...
Re: Virée alpine
Sympa les paysages, j'aimerai bien faire de belles balades en montagne mais madame a le vertige, pas moyen sur les routes trop abrutes ou alors tout seul.
Sergio
Re: Virée alpine
J'adore tes CR et ils sont criants de vérité quand on te connait, soit la famille oui, les virolos ça c'est sûr, mais la bouffe c'est absolument certain... :rire:
the thing
Re: Virée alpine
Bah, tu m'as jamais vu manger de marmotte, tu peux pas savoir.
N'empêche que le coin est fort sympa et pourrait donner lieu à une rencontre entre flatistanais des Alpes (les Flatistalpins) et ceux du Sud (ceux du Flatistang) histoire de parpaillonner ensemble. Même sur une seule journée, ça se fait...
N'empêche que le coin est fort sympa et pourrait donner lieu à une rencontre entre flatistanais des Alpes (les Flatistalpins) et ceux du Sud (ceux du Flatistang) histoire de parpaillonner ensemble. Même sur une seule journée, ça se fait...
jbt
Re: Virée alpine
belle gs qui aurait droit a une bulle haute et a un enlèvement de ce laid
top case
top case
Invité- Invité
Re: Virée alpine
boxer man a écrit:belle gs qui aurait droit a une bulle haute et a un enlèvement de ce laid
top case
La bulle haute (enfin, celle d'origine), je l'ai justement virée et remplacé par cette version circoncise issue d'une précédente abîmée. Le problème de la haute est qu'elle est très, très bruyante sur route, qu'elle ne protège pas et qu'elle est dangereuse en TT. Celle-ci me donne toute satisfaction.
Pour l'hiver, je lui colle carrément un pare brise d'un mètre de haut et cette fois ça protège réellement.
Pour le top case, bin c'est mon véhicule principal, avec lequel je vais au boulot tous les jours, et c'est bien pratique pour y mettre le PC portable, mes docs, le casque, les gants, la combine de pluie etc.
jbt
Re: Virée alpine
Beau récit,beaux paysages.
Je connais un peu le coin mais ma G/S n'y a encore jamais mis les tétines.
Par contre,si je peux mefairepermettre,c'est pour de tels récits que j'avais créé le post "vous avez roulé où hier" afin de ne pas multiplier les sujets.
Parcqu'à la vitesse où vont les inscriptions,ben ça sera bientôt une jungle inextricable ici.
Je connais un peu le coin mais ma G/S n'y a encore jamais mis les tétines.
Par contre,si je peux me
Parcqu'à la vitesse où vont les inscriptions,ben ça sera bientôt une jungle inextricable ici.
Royal Enfileur
Re: Virée alpine
gseur a écrit:Parcqu'à la vitesse où vont les inscriptions,ben ça sera bientôt une jungle inextricable ici.
C'est ça ké bien....
the thing
Re: Virée alpine
P'têt bien, mais ya toujours ce côté inquisiteur qui me dérange...gseur a écrit:
Par contre,si je peux mefairepermettre,c'est pour de tels récits que j'avais créé le post "vous avez roulé où hier"
jbt
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