peintures rupestres
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Re: peintures rupestres
Alors toi tu es un tueur de rêvesPhilooo a écrit:De mémoire, le sommet de la "colline du point G" qui domine Bamako au nord était l'emplacement d'une borne topographique ("point A", "point B", etc.). L'hôpital est sur cette colline.
J'étais à m'imaginer un hosto spécialisé en sexologie, avec des infirmières nues sous leur blouse.....
Patatras !
beaujolais racer
Garder la mémoire !
Bonne réponse !
C'est vrai que dire à un Femme que je suis né à l'hôpital du point G fait parfois son petit effet (je pense uniquement à celles qui le connaissent bien, et savent s'en servir!!)
Mon Papa était militaire dans l'artillerie à Bamako, sur les cartes d'état-major les points topos hauts qui correspondaient aux collines qui entouraient BAMAKO portaient chacune une lettre de l'alphabet.
Fait intéressant, une jeune femme française a, dans le cadre des ses études de médecine, fait 6 mois d'internat à l'hôpital du point G il y a environ 5 ans, PERSONNE des locaux ne savaient lui dire d'où venait l'appellation de leur hôpital.
Bonne journée à Vous.
C'est vrai que dire à un Femme que je suis né à l'hôpital du point G fait parfois son petit effet (je pense uniquement à celles qui le connaissent bien, et savent s'en servir!!)
Mon Papa était militaire dans l'artillerie à Bamako, sur les cartes d'état-major les points topos hauts qui correspondaient aux collines qui entouraient BAMAKO portaient chacune une lettre de l'alphabet.
Fait intéressant, une jeune femme française a, dans le cadre des ses études de médecine, fait 6 mois d'internat à l'hôpital du point G il y a environ 5 ans, PERSONNE des locaux ne savaient lui dire d'où venait l'appellation de leur hôpital.
Bonne journée à Vous.
Fred Solo
Re: peintures rupestres
Bonjour,Caro et Fred a écrit:Bonne réponse !
C'est vrai que dire à un Femme que je suis né à l'hôpital du point G fait parfois son petit effet (je pense uniquement à celles qui le connaissent bien, et savent s'en servir!!)
Mon Papa était militaire dans l'artillerie à Bamako, sur les cartes d'état-major les points topos hauts qui correspondaient aux collines qui entouraient BAMAKO portaient chacune une lettre de l'alphabet.
Fait intéressant, une jeune femme française a, dans le cadre des ses études de médecine, fait 6 mois d'internat à l'hôpital du point G il y a environ 5 ans, PERSONNE des locaux ne savaient lui dire d'où venait l'appellation de leur hôpital.
Bonne journée à Vous.
Point G signifie point Géodésique. C'est effectivement un point de repère fait à l'époque. Il n'y avait pas de GPS.
En 56, Bamako était, tout comme Ouaga un village. Malheureusement, la ville s'est étendue et a absorbé beaucoup de vestiges historiques intéressants. Il y a eu le monument de Moribadougou puis les peintures des grottes du point G qui ne se trouvent d'ailleurs pas au point G. La vallée de l'Oyenko a aussi été engloutie. On y trouvais à l'époque beaucoup d'outils préhistoriques. Il y avait aussi une cascade.
Dernièrement, j'ai pris les cahiers de l'explorateur Raymond Mauny et j'ai recherché si les sites qu'il décrit à Bamako existent encore. J'en ai retrouvé certains.
Il faudrait que je fasse un tour à Magnambougou car il y avait des ateliers de tailles d'outils préhistoriques. Ce n'est pas loin de chez moi. Mais ça demande beaucoup de temps car la plupart des habitants n'en ont rien à foutre de ces vestiges. Les vieux qui savent ne parlent pas beaucoup et je suis obligé de passer par des intermédiaires et ce n'est pas toujours évident de tomber sur des gars corrects.
L'Institut Français de l'Afrique noire était situé vers le jardin botanique actuel. Dans les années 50, Bamako se résumait juste au secteur Koulouba, colline du point G, gare. Il y a encore de vieux bâtiments dans ce coin.
Je suis juste revenu de Bamako hier soir. Je vais y retourner en janvier.
Si tu as des vieilles photos et si tu m'autorises à les mettre sur mon blog, ça m'intéresse.
Je suis en train de finir et article sur mon site : "Sur le traces de Raymond Mauny." puis j'en ai un en prépa : "Et si Raymond Mauny n'avait pas tout découvert"
Un monument à la gloire des bigores et marsouins de l'armée française à côté du canal de Sotuba creusé sous la direction de l'armée Française (C'est quand même les Soudanais qui ont fait le boulot ). Trouvé par hasard un jour avec ma Transalp. Ils ne l'ont pas encore explosé mais le jour où un connard achètera le terrain, ils ne se gênerons pas.
Une partie de la chaussée immergé de Sotuba qui existait déjà à ton époque. Elle reliée les 2 rives du fleuves. Mais n'était praticable qu'en saison sèche.
Au dessus le 3ème pont qui date de 2011
Paysage de brousse. Prise samedi
Bonne journée
Re: peintures rupestres
Ton monument me dit quelque chose, mais j'aurais été incapable de me rappeler où je l'avais vu.
Effectivement, Bamako, coincée entre la colline et le fleuve, ne pouvait s'agrandir qu'en passant sur l'autre rive, chose faite en 1957 (merci le Net) avec le premier pont.
Quand j'y suis arrivé, ce pont était au bord de l'asphyxie. Aux heures de pointe, il n'était ouvert que dans un sens le matin, dans l'autre le soir. Le malheureux qui tombait en panne sèche au milieu (les taxis n'avaient jamais jamais plus de quelques litres d'essence dans le réservoir) était bon pour une amende musclée. Mais à moto on pouvait prendre le trottoir, blindé de mobylettes bleues, tout défoncé et guère plus large que le flat - il fallait être précis.
C'est sur ce pont que Moussa Traoré a fait tirer sur la foule au printemps 1991, d'où le nom de "pont des martyrs". Habitant juste à côté sur l'autre rive, j'ai vu (et entendu...) des auto-mitrailleuses entrer dans le quartier en tirant sur des gars qui couraient en tous sens.
J'ai aussi vu la construction du deuxième pont (et d'assez près, je travaillais à l'ENSup ), et fait quelques essais de vitesse avec la Mach 1 ci-dessus sur la 4-voies qui le prolongeait. Jusqu'à ce qu'un gamin qui voulait la traverser décide que non, ce n'était pas à lui de me laisser passer - j'ai donc aussi fort bien testé les freins.
Il y avait, stationné face à la gare, un camion Citroën T45 en permanence chargé de ferraille. C'est le seul que j'aie jamais vu, même si les T55 postérieurs étaient encore monnaie courante en brousse. Il avait l'air d'être parti pour rester encore des siècles...
Effectivement, Bamako, coincée entre la colline et le fleuve, ne pouvait s'agrandir qu'en passant sur l'autre rive, chose faite en 1957 (merci le Net) avec le premier pont.
Quand j'y suis arrivé, ce pont était au bord de l'asphyxie. Aux heures de pointe, il n'était ouvert que dans un sens le matin, dans l'autre le soir. Le malheureux qui tombait en panne sèche au milieu (les taxis n'avaient jamais jamais plus de quelques litres d'essence dans le réservoir) était bon pour une amende musclée. Mais à moto on pouvait prendre le trottoir, blindé de mobylettes bleues, tout défoncé et guère plus large que le flat - il fallait être précis.
C'est sur ce pont que Moussa Traoré a fait tirer sur la foule au printemps 1991, d'où le nom de "pont des martyrs". Habitant juste à côté sur l'autre rive, j'ai vu (et entendu...) des auto-mitrailleuses entrer dans le quartier en tirant sur des gars qui couraient en tous sens.
J'ai aussi vu la construction du deuxième pont (et d'assez près, je travaillais à l'ENSup ), et fait quelques essais de vitesse avec la Mach 1 ci-dessus sur la 4-voies qui le prolongeait. Jusqu'à ce qu'un gamin qui voulait la traverser décide que non, ce n'était pas à lui de me laisser passer - j'ai donc aussi fort bien testé les freins.
Il y avait, stationné face à la gare, un camion Citroën T45 en permanence chargé de ferraille. C'est le seul que j'aie jamais vu, même si les T55 postérieurs étaient encore monnaie courante en brousse. Il avait l'air d'être parti pour rester encore des siècles...
Philooo
Re: peintures rupestres
J'ai parcouru tout le topic, effectivement c'est passionnant.
Pour ce qui concerne le point G, même si c'est G comme Géodésique, je pense que c'est un hasard. Très intéressé par l'Histoire de notre famille et les détails de notre petite enfance, j'ai eu à ce sujet une longue conversation avec mon père. Il était artilleur, donc utilisait des canons, qui tiraient des obus en "cloche", jamais en tir tendu. Le réglage de la hausse du fut du canon pour ce type de tir est très particulier. Un canon doit être positionné à un endroit connu (latitude + longitude + altitude = position sur une carte d'état major) pour aller "pilonner" une autre endroit connu (là ou est l'ennemi) (latitude + longitude + altitude = un autre endroit sur une carte d'état major) D'où l'importance des cartes d'état-majors sur lesquelles les identification et dénomination de lieux ne se font pratiquement jamais par le nom géographique du lieu (surtout dans des pays comme le Mali à cette époque où il y a très peu de noms. Les cartes ont des "carroyages" (genre bataille navale) et des repères de lettres/chiffres pour pouvoir échanger des ordres et instructions par radio (qui est écoutée par l'ennemi, qui lui, n'a pas la carte - on espère..). Le points hauts sont des lieux très stratégiques pour contrôler une situation de combat ou surveillance. Donc sur les cartes d'état-majors de la région autour de Bamako, chaque colline avait une lettre, et idem dans beaucoup d'autres régions (il avait fait la guerre d'Indochine, c'était la même chose). Donc j'ai souvenir des lettres données aux pitons remarquables qui surplombaient le fleuve. Voir la carte ci-dessous. Nous habitions KATI, quartier qui a toujours cette dénomination. Je vais voir si j'ai des photos ou autres..Voilà !
Pour ce qui concerne le point G, même si c'est G comme Géodésique, je pense que c'est un hasard. Très intéressé par l'Histoire de notre famille et les détails de notre petite enfance, j'ai eu à ce sujet une longue conversation avec mon père. Il était artilleur, donc utilisait des canons, qui tiraient des obus en "cloche", jamais en tir tendu. Le réglage de la hausse du fut du canon pour ce type de tir est très particulier. Un canon doit être positionné à un endroit connu (latitude + longitude + altitude = position sur une carte d'état major) pour aller "pilonner" une autre endroit connu (là ou est l'ennemi) (latitude + longitude + altitude = un autre endroit sur une carte d'état major) D'où l'importance des cartes d'état-majors sur lesquelles les identification et dénomination de lieux ne se font pratiquement jamais par le nom géographique du lieu (surtout dans des pays comme le Mali à cette époque où il y a très peu de noms. Les cartes ont des "carroyages" (genre bataille navale) et des repères de lettres/chiffres pour pouvoir échanger des ordres et instructions par radio (qui est écoutée par l'ennemi, qui lui, n'a pas la carte - on espère..). Le points hauts sont des lieux très stratégiques pour contrôler une situation de combat ou surveillance. Donc sur les cartes d'état-majors de la région autour de Bamako, chaque colline avait une lettre, et idem dans beaucoup d'autres régions (il avait fait la guerre d'Indochine, c'était la même chose). Donc j'ai souvenir des lettres données aux pitons remarquables qui surplombaient le fleuve. Voir la carte ci-dessous. Nous habitions KATI, quartier qui a toujours cette dénomination. Je vais voir si j'ai des photos ou autres..Voilà !
Fred Solo
Gravures rupestres
Salut l'africain!
Interessant ton message concernant les gravures rupestres.
cela nous change du flat twin !
Je suis passé à Bamako mais trop rapidement pour cela.
par contre ,lors d'un voyage en Mauritanie j'en ai vu dans une oasis isolée prés de Chinguetti.
Si cela t'intéresse je peux retrouver qq photos.
Peux tu me donner des précisions concernant Mauny (bibliographie ,etc) je ne connais pas.
Merci de ta réponse.
Interessant ton message concernant les gravures rupestres.
cela nous change du flat twin !
Je suis passé à Bamako mais trop rapidement pour cela.
par contre ,lors d'un voyage en Mauritanie j'en ai vu dans une oasis isolée prés de Chinguetti.
Si cela t'intéresse je peux retrouver qq photos.
Peux tu me donner des précisions concernant Mauny (bibliographie ,etc) je ne connais pas.
Merci de ta réponse.
kabourec
Re: peintures rupestres
Le monument est au lieu dit Baguineda, sur le canal de Sotuba construit par les Français pour faire des périmètres irrigués. Il a été restauré en 2016 par les Chinois et permet la culture de légumes et autres pour approvisionner Bamako. J'y allais souvent à l'époque car il y avait beaucoup d'oiseaux. J'y vais moins maintenant car il y a de plus en plus de monde...et de moins en moins d'oiseaux.Philooo a écrit:Ton monument me dit quelque chose, mais j'aurais été incapable de me rappeler où je l'avais vu.
Effectivement, Bamako, coincée entre la colline et le fleuve, ne pouvait s'agrandir qu'en passant sur l'autre rive, chose faite en 1957 (merci le Net) avec le premier pont.
Quand j'y suis arrivé, ce pont était au bord de l'asphyxie. Aux heures de pointe, il n'était ouvert que dans un sens le matin, dans l'autre le soir. Le malheureux qui tombait en panne sèche au milieu (les taxis n'avaient jamais jamais plus de quelques litres d'essence dans le réservoir) était bon pour une amende musclée. Mais à moto on pouvait prendre le trottoir, blindé de mobylettes bleues, tout défoncé et guère plus large que le flat - il fallait être précis.
C'est sur ce pont que Moussa Traoré a fait tirer sur la foule au printemps 1991, d'où le nom de "pont des martyrs". Habitant juste à côté sur l'autre rive, j'ai vu (et entendu...) des auto-mitrailleuses entrer dans le quartier en tirant sur des gars qui couraient en tous sens.
J'ai aussi vu la construction du deuxième pont (et d'assez près, je travaillais à l'ENSup ), et fait quelques essais de vitesse avec la Mach 1 ci-dessus sur la 4-voies qui le prolongeait. Jusqu'à ce qu'un gamin qui voulait la traverser décide que non, ce n'était pas à lui de me laisser passer - j'ai donc aussi fort bien testé les freins.
Il y avait, stationné face à la gare, un camion Citroën T45 en permanence chargé de ferraille. C'est le seul que j'aie jamais vu, même si les T55 postérieurs étaient encore monnaie courante en brousse. Il avait l'air d'être parti pour rester encore des siècles...
Le canal actuellement après rénovation. Cette partie est à sec pendant la saison séche.
Avant rénovation
Il y a maintenant le 3ème pont dont tu as la photo sur ma réponse précédente. Ils viennent de faire un quatrième pont à Koulikoro.
Quand le troisième pont a été terminé, c'est là aussi que j'ai essayé ma Ducat. Mostro pour faire la course avec une voiture
J'ai vu un T55 une fois mais il y a bien longtemps par contre, on voit encore pas mal de Mercédes 1924, 2624,....et même encore quelques Berliers.
Concernant les tirs dans les quartiers, on a eu droit à ça en juin 2020 dans le quartier de Badalabougou.
Dernière édition par caramba le Mar 1 Déc 2020 - 11:18, édité 2 fois
Re: peintures rupestres
Je suis passé à Kati il y a 15 jours pour aller chez les eaux Diago. De Sotuba à Kati, on a mis 1H30.....un vrai bordel. En plus ils refont la route.Caro et Fred a écrit:J'ai parcouru tout le topic, effectivement c'est passionnant.
Pour ce qui concerne le point G, même si c'est G comme Géodésique, je pense que c'est un hasard. Très intéressé par l'Histoire de notre famille et les détails de notre petite enfance, j'ai eu à ce sujet une longue conversation avec mon père. Il était artilleur, donc utilisait des canons, qui tiraient des obus en "cloche", jamais en tir tendu. Le réglage de la hausse du fut du canon pour ce type de tir est très particulier. Un canon doit être positionné à un endroit connu (latitude + longitude + altitude = position sur une carte d'état major) pour aller "pilonner" une autre endroit connu (là ou est l'ennemi) (latitude + longitude + altitude = un autre endroit sur une carte d'état major) D'où l'importance des cartes d'état-majors sur lesquelles les identification et dénomination de lieux ne se font pratiquement jamais par le nom géographique du lieu (surtout dans des pays comme le Mali à cette époque où il y a très peu de noms. Les cartes ont des "carroyages" (genre bataille navale) et des repères de lettres/chiffres pour pouvoir échanger des ordres et instructions par radio (qui est écoutée par l'ennemi, qui lui, n'a pas la carte - on espère..). Le points hauts sont des lieux très stratégiques pour contrôler une situation de combat ou surveillance. Donc sur les cartes d'état-majors de la région autour de Bamako, chaque colline avait une lettre, et idem dans beaucoup d'autres régions (il avait fait la guerre d'Indochine, c'était la même chose). Donc j'ai souvenir des lettres données aux pitons remarquables qui surplombaient le fleuve. Voir la carte ci-dessous. Nous habitions KATI, quartier qui a toujours cette dénomination. Je vais voir si j'ai des photos ou autres..Voilà !
A Kati, il y a toujours un camp militaire. Surement sur l'existence du camp à l'époque de la colonisation où tu devais habiter avec ta famille.
Je ne connais pas ce camp mais dans d'autres camps, on retrouve encore des bâtiments de l'époque.
Quant aux noms des différentes places, il y a les noms locaux que les Français ne connaissaient pas forcément. Tout ce qui fini par Bougou est local. Cela signifie "place", "village de".
Il y a même un Tintinbougou sur la route de Ségou en sortant de Bamako
Re: peintures rupestres
Salut,kabourec a écrit:Salut l'africain!
Interessant ton message concernant les gravures rupestres.
cela nous change du flat twin !
Je suis passé à Bamako mais trop rapidement pour cela.
par contre ,lors d'un voyage en Mauritanie j'en ai vu dans une oasis isolée prés de Chinguetti.
Si cela t'intéresse je peux retrouver qq photos.
Peux tu me donner des précisions concernant Mauny (bibliographie ,etc) je ne connais pas.
Merci de ta réponse.
Un lien très intéressant sur Raymond Mauny :
https://mauny.hypotheses.org/
A part, les peintures du fameux 'Point G' qui ne sont même pas très faciles à trouver, les autres peintures ne sont pas connues.
Je les ai trouvé par hasard en cherchent des traces d'animaux dans la brousse. Certains sites servent encore à des rites. D'autres sont totalement oubliés. Sur ceux qui sont encore utilisés par les Dozos et autres féticheurs, je trouve des bouteilles ou des traces. Sur les autres sites, il n'y a absolument rien de récents et ils sont souvent cachés dans la végétation.
Si tu peux, envoie moi quelques photos de l'oasis.
Je vais en Mauritanie dimanche mais c'est sur un site minier. Donc impossible de sortir. Mais sur le site il y a une très vieille mine de cuivre, si elle n'a pas été détruite. J'y étais monté à l'époque avec mon pote de la sécurité. Il y avait aussi sur la concession des tombes pré-islamiques.
La Mauritanie est très intéressante pour les paysages et trésors archéologiques. Elle est de plus assez facile d'accès par le Maroc. Je la conseille toujours à ceux qui veulent descendre en Afrique.
Cependant, il y a quelques pb avec le polisario dans le Sud Marocain actuellement et je ne sais pas si tout est réglé maintenant.
Re: peintures rupestres
Grosse déception pour l'hôpital cependantFrancesco a écrit:Tu m'étonnes !
beaujolais racer
Re: peintures rupestres
Quel dommage d'avoir cessé d'alimenter ce post, tes photos rupestres au milieu de la brousse avaient le don de nous réchauffer le cœur même en hiver.
Underthesky911
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