40 jours !
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40 jours !
Amis gérontomécanophiles,
Camarades trajectomanes,
Adeptes de l'asphalte,
Je vous salue.
Dans 40 jours je pars pour 14 jours et 4000km de balade balkanique.
C'est déjà bon avant, comme quand on monte l'escalier...
Il ne me manque pas un bouton de guêtre, la GS est en maintenance chez Serge Moto (roulements de boite et chaine de distribution),
les Bottelin-Dumoulin ont été exhumées de la cave et remises à neuf,
et j'ai même acquis un APN moderne, petit et performant, pour faire un CR photographique digne de ce nom.
C'est dire si je pense à vous.
Camarades trajectomanes,
Adeptes de l'asphalte,
Je vous salue.
Dans 40 jours je pars pour 14 jours et 4000km de balade balkanique.
C'est déjà bon avant, comme quand on monte l'escalier...
Il ne me manque pas un bouton de guêtre, la GS est en maintenance chez Serge Moto (roulements de boite et chaine de distribution),
les Bottelin-Dumoulin ont été exhumées de la cave et remises à neuf,
et j'ai même acquis un APN moderne, petit et performant, pour faire un CR photographique digne de ce nom.
C'est dire si je pense à vous.
flatouine
Re: 40 jours !
Je te souhaites bonne route, tu ne dis pas quelle route tu prends pour revenir, à moins que tu restes vers la bas, ceux qui est aussi une bonne idée.
Je connait un peu la région, le retour peu se faire en prenant le bateau à Dubrovnik direction Bari, c'est pas très cher et pas besoin de réserver.
Bon voyage, si tu veux plus d'infos MP
Je connait un peu la région, le retour peu se faire en prenant le bateau à Dubrovnik direction Bari, c'est pas très cher et pas besoin de réserver.
Bon voyage, si tu veux plus d'infos MP
Re: 40 jours !
Salut,
C'est l'itinéraire de retour.
J'ai un jour de liaison jusqu'à Ravenne (pour voir les mosaïques) , puis ferry depuis Ancona vers Igoumetnitsa, départ de la balade.
Bien sûr, sur place le parcours sera plus détaillé, surtout pour le Korkula, Monténégro, les Alpes Juliennes, et les Dolomites.
C'est l'itinéraire de retour.
J'ai un jour de liaison jusqu'à Ravenne (pour voir les mosaïques) , puis ferry depuis Ancona vers Igoumetnitsa, départ de la balade.
Bien sûr, sur place le parcours sera plus détaillé, surtout pour le Korkula, Monténégro, les Alpes Juliennes, et les Dolomites.
flatouine
Re: 40 jours !
Un super programme bien alléchant
On compte sur toi pour nous faire partager ton voyage en détails!
On compte sur toi pour nous faire partager ton voyage en détails!
srv
Re: 40 jours !
Bien sûr.hujintao a écrit:Un super programme bien alléchant
On compte sur toi pour nous faire partager ton voyage en détails!
Il y aura un petit CR photo, avec les commentaires.
Si des hébergements "motards" méritent d'être retenus, je ne manquerai pas de les communiquer.
flatouine
Re: 40 jours !
Veinard ! Joli périple !
Profite bien du voyage et fais nous part de ton expérience.
Profite bien du voyage et fais nous part de ton expérience.
tontonrico
Re: 40 jours !
Je connais ces endroits, ils sont empreints de gravité.... j'aurais privilégié la Croatie pour le coté touristique... mais là tu rentres dans l’authentique, le vrai.
Cela m'avait inspiré un texte griffonné sur mon carnet de voyage. Tout est absolument vrai mais j'ai un imaginaire romanesque... je te le dédie.
La nuit est tombée sur la frontière Monténégrine. Non loin, la rivière Drina coule entre les impressionnants sommets des Alpes Dinariques. Le ciel pur met à portée de main les étoiles.
Les loups devenus téméraires se rapprochent en meute et de leurs hurlements, invitent à rester à proximité d'un rassurant feu crépitant. Je sors de mon isoloir ; une ancienne école défraichie dans laquelle la chatoyante cheminée est remplacée par un moins romantique canon à air chaud qui laisse sur les fringues et dans les cheveux d’entêtantes fragrance de pétrole cuit.
L'air glace les sinus et la neige rend la progression difficile. Elle craque sous les pas tout en étouffant les sons lointains. Elle vous isole avec vos bruits et donne une impression de solitude observée.
Un l'intemporel village sans électricité trace dans la blancheur des carrés de maisons. Dans ce noir relatif, jusque tard la nuit, seule une maison reste éclairée. A travers les carreaux bullés la lueur mouvante d'un feu révèle l'ombre d'invisibles spectres .
De temps en temps une Lada, un sidecar Dniepr, une UAZ ex armée Russe ou parfois même de frêles carrioles attelées y conduisent d'hirsutes colosses. Ils y entrent fiers et silencieux et en sortent en éructant de roques invectives Slaves. Ni inscription ni enseigne sur la façade de pierre.
Intrigué, profitant de l'absence apparente d'inquiétants visiteurs, j'en pousse un soir la porte. Elle est lourde en bois crouni et tapissée à l'intérieur d'un polystyrène sale et rongé comme la neige tassée sur le pas de porte.
Je trouve là, face à moi, un homme seul, debout, un immense Raspoutine qui me regarde en arborant un large sourire d'ogre évaluant son prochain repas. Si je devais lui trouver une ressemblance je serais tenté par le cactus d'Arizona.
Au coin de ses yeux, de profondes rides d'expression trahissent pourtant un naturel aimable.
Une seule pièce, une table de bois brut, des chaises et un lit au matelas moisi... à même le sol des bouteilles sans étiquettes sont alignées, elle sont pleines d'une eau de vie de quetsche, une Slivovitz de montagne avoisinant les 80° d'alcool. D'autres bouteilles couchées vides semblent repues de l'ivresse donnée.
Un alignement de petits verres trône sur une longue étagère fixée en biais au dessus d'un lavabo crasseux... Il me désigne du doigt la moins bancale de ses chaises.
Une intrigante odeur acre couvre celle plus suave d'un café cuit avec son marc. Il dû percevoir mon inquiétude, il écarta d'un geste franc un épais rideau ocre de poussière. Dans la lumière jaune se révèle une longue fourrure sombre, une peau vidées du corps qu'elle protégeât un jour. Deux crochets au plafond tiennent la toison verticale, une fourrure d'ours fraichement tannée.
Je m'assoit......
Sans un mot, il pose l'un des petits verres devant moi et le remplit à raz bord de la seule boisson disponible Il se sert tout aussi généreusement et attend que je me saisisse de mon verre pour faire sonner d'un geste franc son godet contre le mien.
Un breuvage qu'il faut avaler d'un trait et qui vous donne alors des relents de discours d'Audiard. Une acre Slivo que l'on boit en flattant par politesse un gout de prune que l'on ne trouve jamais.
Puis ses premiers mot prononcés dans un anglais à fort accent slave lancent une conversation comme débutée des années plus tôt.
Ce colosse graniteux est un homme fort cultivé et la finesse de son jugement sur la situation rend presque incongrue ma présence.
J'ai rencontré ce jour en lui un ami, un frère d'autre part, un ancien capitaine de la garde rapprochée du funeste Maréchal Tito, un chasseur d'ours qui tue pour survivre. Sur son bras droit il arborait comme un grade de larges balafres blanches, traces récentes de la caresses d'un plantigrade blessé.
Cette pièce unique était en fait un bar, un bar sans enseigne et sans comptoir, un bar sans musique autre que celle des loups qui geignent au loin, un bar dans lequel seuls quelques chasseurs-bucherons osent tenter une pose éthylique...... un bar sans caisse et sans argent... payer ça ne se fait pas ; un service, un peu de nourriture, une peau de loup sont les seules marques appréciées de gratitude...
.......... un jour en Bosnie-Herzégovine j'ai croisé un frère de l'Empire Ottoman déchu.
Bon voyage.
Cela m'avait inspiré un texte griffonné sur mon carnet de voyage. Tout est absolument vrai mais j'ai un imaginaire romanesque... je te le dédie.
La nuit est tombée sur la frontière Monténégrine. Non loin, la rivière Drina coule entre les impressionnants sommets des Alpes Dinariques. Le ciel pur met à portée de main les étoiles.
Les loups devenus téméraires se rapprochent en meute et de leurs hurlements, invitent à rester à proximité d'un rassurant feu crépitant. Je sors de mon isoloir ; une ancienne école défraichie dans laquelle la chatoyante cheminée est remplacée par un moins romantique canon à air chaud qui laisse sur les fringues et dans les cheveux d’entêtantes fragrance de pétrole cuit.
L'air glace les sinus et la neige rend la progression difficile. Elle craque sous les pas tout en étouffant les sons lointains. Elle vous isole avec vos bruits et donne une impression de solitude observée.
Un l'intemporel village sans électricité trace dans la blancheur des carrés de maisons. Dans ce noir relatif, jusque tard la nuit, seule une maison reste éclairée. A travers les carreaux bullés la lueur mouvante d'un feu révèle l'ombre d'invisibles spectres .
De temps en temps une Lada, un sidecar Dniepr, une UAZ ex armée Russe ou parfois même de frêles carrioles attelées y conduisent d'hirsutes colosses. Ils y entrent fiers et silencieux et en sortent en éructant de roques invectives Slaves. Ni inscription ni enseigne sur la façade de pierre.
Intrigué, profitant de l'absence apparente d'inquiétants visiteurs, j'en pousse un soir la porte. Elle est lourde en bois crouni et tapissée à l'intérieur d'un polystyrène sale et rongé comme la neige tassée sur le pas de porte.
Je trouve là, face à moi, un homme seul, debout, un immense Raspoutine qui me regarde en arborant un large sourire d'ogre évaluant son prochain repas. Si je devais lui trouver une ressemblance je serais tenté par le cactus d'Arizona.
Au coin de ses yeux, de profondes rides d'expression trahissent pourtant un naturel aimable.
Une seule pièce, une table de bois brut, des chaises et un lit au matelas moisi... à même le sol des bouteilles sans étiquettes sont alignées, elle sont pleines d'une eau de vie de quetsche, une Slivovitz de montagne avoisinant les 80° d'alcool. D'autres bouteilles couchées vides semblent repues de l'ivresse donnée.
Un alignement de petits verres trône sur une longue étagère fixée en biais au dessus d'un lavabo crasseux... Il me désigne du doigt la moins bancale de ses chaises.
Une intrigante odeur acre couvre celle plus suave d'un café cuit avec son marc. Il dû percevoir mon inquiétude, il écarta d'un geste franc un épais rideau ocre de poussière. Dans la lumière jaune se révèle une longue fourrure sombre, une peau vidées du corps qu'elle protégeât un jour. Deux crochets au plafond tiennent la toison verticale, une fourrure d'ours fraichement tannée.
Je m'assoit......
Sans un mot, il pose l'un des petits verres devant moi et le remplit à raz bord de la seule boisson disponible Il se sert tout aussi généreusement et attend que je me saisisse de mon verre pour faire sonner d'un geste franc son godet contre le mien.
Un breuvage qu'il faut avaler d'un trait et qui vous donne alors des relents de discours d'Audiard. Une acre Slivo que l'on boit en flattant par politesse un gout de prune que l'on ne trouve jamais.
Puis ses premiers mot prononcés dans un anglais à fort accent slave lancent une conversation comme débutée des années plus tôt.
Ce colosse graniteux est un homme fort cultivé et la finesse de son jugement sur la situation rend presque incongrue ma présence.
J'ai rencontré ce jour en lui un ami, un frère d'autre part, un ancien capitaine de la garde rapprochée du funeste Maréchal Tito, un chasseur d'ours qui tue pour survivre. Sur son bras droit il arborait comme un grade de larges balafres blanches, traces récentes de la caresses d'un plantigrade blessé.
Cette pièce unique était en fait un bar, un bar sans enseigne et sans comptoir, un bar sans musique autre que celle des loups qui geignent au loin, un bar dans lequel seuls quelques chasseurs-bucherons osent tenter une pose éthylique...... un bar sans caisse et sans argent... payer ça ne se fait pas ; un service, un peu de nourriture, une peau de loup sont les seules marques appréciées de gratitude...
.......... un jour en Bosnie-Herzégovine j'ai croisé un frère de l'Empire Ottoman déchu.
Bon voyage.
Gastair
Re: 40 jours !
bmw64 a écrit:Je te souhaites bonne route, tu ne dis pas quelle route tu prends pour revenir, à moins que tu restes vers la bas, ceux qui est aussi une bonne idée.
Je connait un peu la région, le retour peu se faire en prenant le bateau à Dubrovnik direction Bari, c'est pas très cher et pas besoin de réserver.
Bon voyage, si tu veux plus d'infos MP
bmw64 est toujours de bons conseils, Et il en a bouffé du kilometre ...
Ca me fait toujours plaisir d'avoir de ses bonnes nouvelles ... Il en donnes pas souvent l'enfoiré
Christian, au plaisir de te revoir un jour
Richard
Ca me fait toujours plaisir d'avoir de ses bonnes nouvelles ... Il en donnes pas souvent l'enfoiré
Christian, au plaisir de te revoir un jour
Richard
Gandalf2
Re: 40 jours !
Joli périple en perspective, et joli texte
____________________
“Due to budget constraints, the light at the end of the tunnel has been temporarily shut off. Please find your way in the dark.”
Mick13
Re: 40 jours !
@Gastair
Ah oui, quand même ...
Je voyage aussi avec un carnet et un stylo.
J'aime noter les impressions.
La cote de Croatie est gardée pour un prochain voyage avec ma passagère d'épouse, parce que , justement, plus touristique.
Cependant je fais une halte pres de Dubrovnik, puis une autre a Brna sur l ile de Korcula.
Bonne nouvelle, Serge a terminé la moto.
Mardi prochain, journée de roulage, chargé, en condition de voyage pour un dernier test.
carpe diem comme disait l'autre ...
Ah oui, quand même ...
Je voyage aussi avec un carnet et un stylo.
J'aime noter les impressions.
La cote de Croatie est gardée pour un prochain voyage avec ma passagère d'épouse, parce que , justement, plus touristique.
Cependant je fais une halte pres de Dubrovnik, puis une autre a Brna sur l ile de Korcula.
Bonne nouvelle, Serge a terminé la moto.
Mardi prochain, journée de roulage, chargé, en condition de voyage pour un dernier test.
carpe diem comme disait l'autre ...
flatouine
Re: 40 jours !
Depuis Dubrovnik la route qui longe l'Adriatique en remontant vers le Nord-Ouest est superbe, les iles qui bordent le littoral lui donnent des airs de Baie D'Halong...
Je serais toi je passerai par cette route pour aller à Mostar. Bon ça rallonge un peu...
La Ville de Mosta est superbe et son pont impressionnant... son histoire aussi.
Quelle drôle d'impression ressentie dans la ville de Sarajevo.... ( l’écrire serait long) très belle ville... à la croisées des culture Ottomanes.
La route entre Mostar et Sarajevo est magnifique au printemps, entre les deux villes tu passes un long Tunel qui te fait passer d'un monde à un autre. Le climat change, le paysage et les mentalités aussi (pas en mal, différent).
Gastair
Re: 40 jours !
Un petit tour par les météores avant de quitter la Grèce? c'est pas très loin.
et puis aller, un petit saut à Delphes, on en revient pas indemne!
et puis aller, un petit saut à Delphes, on en revient pas indemne!
J.marc
Re: 40 jours !
@J.marc
J'avais été faire un tour du coté des météores, Delphes , Peloponese, cap Tenaro, Olypie, etc... il y a 7 ans.
12 jour de bonheur.
Un seul regret ne pas avoir le eu temps de rentrer par voie de terre.
Ce que je fais cette année.
@J.marc
J'avais été faire un tour du coté des météores, Delphes , Peloponese, cap Tenaro, Olympie, etc... il y a 7 ans.
12 jours de bonheur.
Un seul regret ne pas avoir le eu temps de rentrer par voie de terre.
Ce que je fais cette année.
J'avais été faire un tour du coté des météores, Delphes , Peloponese, cap Tenaro, Olypie, etc... il y a 7 ans.
12 jour de bonheur.
Un seul regret ne pas avoir le eu temps de rentrer par voie de terre.
Ce que je fais cette année.
@J.marc
J'avais été faire un tour du coté des météores, Delphes , Peloponese, cap Tenaro, Olympie, etc... il y a 7 ans.
12 jours de bonheur.
Un seul regret ne pas avoir le eu temps de rentrer par voie de terre.
Ce que je fais cette année.
flatouine
Re: 40 jours !
Joli parcours en prévision!
Bon voyage et merci pour le partage. On attend des photos et le CR!
Bon voyage et merci pour le partage. On attend des photos et le CR!
flo.90/6
Re: 40 jours !
Super!flatouine a écrit:@J.marc
J'avais été faire un tour du coté des météores, Delphes , Peloponese, cap Tenaro, Olypie, etc... il y a 7 ans.
12 jour de bonheur.
Un seul regret ne pas avoir le eu temps de rentrer par voie de terre.
Ce que je fais cette année.
La première fois que je suis allé en Grèce, j'ai eu l'impression de retrouver quelque chose que je connaissais déjà et Delphes m'a, en partie, réaligné avec ce que j'étais venu chercher.
Je te souhaite un excellent voyage. Plus que 38, et comme tu dis, "c'est déjà bon avant..."
J.marc
Re: 40 jours !
Hier , 420 km au soleil, dans le Verdon et le Var.
Test de la machine: OK
Test du pilote : la selle est vraiment trop dure, mais c'est une Tourachose ( remettre l'ancienne... )
Quelques images déjà vue et revues, sur des routes déjà parcourues cent fois, mais je ne m'en lasse pas.
Mille excuses pour ce petit plaisir solitaire et égoïste .
A 08h00 sur la route napoléon.
Pause à Gratteloup.
La chapelle de Gratteloup
Le lac de Sainte Croix
Débouché du Verdon dans le lac.
Café à Aiguines.
Aiguines.
Moustiers Sainte marie
Sainte Croix
Le Barrage
L'ancêtre, en configuration "Grand raid".
Test de la machine: OK
Test du pilote : la selle est vraiment trop dure, mais c'est une Tourachose ( remettre l'ancienne... )
Quelques images déjà vue et revues, sur des routes déjà parcourues cent fois, mais je ne m'en lasse pas.
Mille excuses pour ce petit plaisir solitaire et égoïste .
A 08h00 sur la route napoléon.
Pause à Gratteloup.
La chapelle de Gratteloup
Le lac de Sainte Croix
Débouché du Verdon dans le lac.
Café à Aiguines.
Aiguines.
Moustiers Sainte marie
Sainte Croix
Le Barrage
L'ancêtre, en configuration "Grand raid".
flatouine
Re: 40 jours !
Magnifiques ces photos
Merci
On attend avec encore plus d'envie le cr de ton voyage
Merci
On attend avec encore plus d'envie le cr de ton voyage
srv
40 jours
et comment se comporte la gs au sortir de chez le sorcier SERGE MOTOS......bien j'imagine .
r 50
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