Les tontons flingueurs !
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Re: Les tontons flingueurs !
VA2OR a écrit:ah, Marlène Jobert....
https://www.youtube.com/watch?v=TbuvmheZl1g
les bas.... ya plus de bas maintenant...
Re: Les tontons flingueurs !
Phil... a écrit:VA2OR a écrit:ah, Marlène Jobert....
https://www.youtube.com/watch?v=TbuvmheZl1g
les bas.... ya plus de bas maintenant...
Si,si ... les Dim-up
Seven
Re: Les tontons flingueurs !
P'tain, je me suis encore marré comme un gamin....
" du jus de pomme !!!! "
" du jus de pomme !!!! "
Philimael
Re: Les tontons flingueurs !
jbt a écrit:"J'y trouve comme un goût d'bettrave"
La tronche de Blier disant: "Ils ont été obligés d'arrêter la fabrication, ça rendait les clients aveugles"
et celle de F.Blanche, avec les yeux fous:"Touche pas au grisbi"
J'en pleure à chaque fois!
J.marc
Re: Les tontons flingueurs !
Y a pas à dire......c'est toujours autant du brutal ce p'tain de film
Dom
Re: Les tontons flingueurs !
je l'ai enregistrer pour mon ptit, il est fan des Charlie Chaplin et des Laurel et Hardy, je vais tenter de franchir un cap .
flattwin66
Re: Les tontons flingueurs !
ça a beau avoir été vu des dizaines de fois, y'a de plus en plus de spectateurs qui le regardent ! Y compris moi bien sur !
montagnard67
Re: Les tontons flingueurs !
Moi aussi, histoire de lui montrer les vraies valeurs, j'avais commencer léger avec "Papy fait de la résistance"...flattwin66 a écrit:je l'ai enregistrer pour mon ptit, je vais tenter de franchir un cap .
gaspard
Re: Les tontons flingueurs !
n'oublions pas aussi 5000 DOLLARS AU SOLEIL et UN TAXI POUR TOBROUK ......
FLATIX
Re: Les tontons flingueurs !
FLATIX a écrit:n'oublions pas aussi 100 000 DOLLARS AU SOLEIL et UN TAXI POUR TOBROUK ......
Invité- Invité
Re: Les tontons flingueurs !
Sur "Couleur3" l'émission "Chineese theater" raconte la genèse et décortique les films cultes.
La semaine prochaine ça sera les tontons. Écoutable ou podcastable sur le site couleur3.ch
La semaine prochaine ça sera les tontons. Écoutable ou podcastable sur le site couleur3.ch
Royal Enfileur
Re: Les tontons flingueurs !
La meilleure radio du monde.Philimael a écrit:C'est quoi " couleur 3 " ?
C'est une chaîne nationale de la radio suisse. Mais le ton est inimaginable sur Rafio France par ex.
Écoutes une émission de la planète bleue ou le 120' et tu comprendra
Royal Enfileur
Re: Les tontons flingueurs !
C'est juste un p tit pays qui a les couilles de dire "non " aux minarets .................
FLATIX
Re: Les tontons flingueurs !
FLATIX a écrit:C'est juste un p tit pays qui a les couilles de dire "non " aux minarets .................
Oui mais il accepté une Blitz, je l'ai vu dans les livraisons.....
the thing
Re: Les tontons flingueurs !
Blitz ? Blitz ? .........Blitz ...............ce nom me rappelle quelque chose .....mais quoi ?
FLATIX
Re: Les tontons flingueurs !
FLATIX a écrit:Blitz ? Blitz ? .........Blitz ...............ce nom me rappelle quelque chose .....mais quoi ?
Youssouf Blitz c'est lui qui a acheté une BM un peu trafiquée en Suisse....
the thing
Re: Les tontons flingueurs !
Paul Michel Audiard naît au 2 de la rue Brézin[réf. nécessaire], dans le 14e arrondissement de Paris, quartier populaire à l’époque, où il est élevé par son parrain. Il y poursuit sans grand intérêt des études qui le mènent jusqu'à un certificat d’études et un CAP de soudeur à l’autogène. Passionné très jeune de littérature et de cinéma, il se forge une solide culture en lisant notamment Rimbaud, Proust et Céline et découvre les dialogues de Jeanson et de Prévert. Passionné également de bicyclette, il traîne du côté du Vélodrome d'hiver où il rencontre André Pousse, qu'il introduira plus tard dans le métier d’acteur. Songeant un temps à faire carrière dans le vélo, il y renonce toutefois car il « ne montait pas les côtes ». La Seconde Guerre mondiale, à laquelle il ne participe pas, est pour lui une période de privations et la Libération, le spectacle de tristes règlements de comptes.
Le 3 mai 1947, il épouse Marie-Christine Guibert en l'église Saint Dominique (Paris XIVe). "Cri-Cri" lui donnera deux garçons : François (né en 1949, décédé en 1975) et Jacques (né le 30 avril 1952). Bien que toujours marié, il aura en 1953 un troisième garçon non reconnu, Bruno Meynis de Paulin. Il deviendra écrivain.
Au lendemain de la guerre, il vivote comme livreur de journaux, ce qui lui permet d’approcher le milieu du journalisme. Il entre ainsi à l'Étoile du soir où il commence une série d'articles sur l'Asie rédigés sur les comptoirs des bistrots parisiens. La découverte de l'imposture lui valant d'être rapidement remercié, il devient alors critique pour Cinévie. En 1949, le réalisateur André Hunebelle le fait entrer dans le monde du cinéma en lui commandant le scénario d’un film policier, Mission à Tanger, bientôt suivi de deux autres films, trois romans policiers, et des premiers succès d’adaptation de romans au cinéma : (Le Passe-muraille, Les Trois Mousquetaires). Sa notoriété s’étend et, en 1955, c’est la rencontre avec Jean Gabin à qui il propose le scénario de Gas-oil. Ainsi commence une collaboration de sept ans et 17 films, dont plusieurs grands succès : (Les Grandes Familles, Les Vieux de la vieille, Le Baron de l'écluse, Un singe en hiver), et qui ne s’est que peu interrompue : (Babette s'en va-t-en guerre, Un taxi pour Tobrouk).
Michel Audiard est à présent un scénariste populaire, ce qui lui attire les foudres des jeunes cinéastes de la Nouvelle Vague pour lesquels il symbolise le « cinéma de papa ». En 1963, après s’être un peu fâché avec Jean Gabin, il écrit pour Jean-Paul Belmondo (100 000 dollars au soleil d'Henri Verneuil) et toute une équipe d’acteurs talentueux, dont Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Lefebvre, (Les Tontons flingueurs et Les Barbouzes de Georges Lautner). Mais la fâcherie avec Jean Gabin ne dure pas et ils se retrouvent en 1967 pour Le Pacha et collaboreront encore occasionnellement (Sous le signe du taureau de Gilles Grangier ou Le drapeau noir flotte sur la marmite).
En 1966, il entame une carrière de réalisateur et tourne des films dont les titres sont parmi les plus longs du cinéma français : (Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !, Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages). Mais après huit films et un documentaire, dont les succès restent médiocres, il revient à sa véritable vocation.
Le 19 janvier 1975, alors qu’il travaille avec le réalisateur Philippe de Broca au scénario de L'Incorrigible, il est durement touché par la nouvelle de la mort de son fils François, tué dans un accident de voiture. Il en conservera une profonde tristesse qui donnera désormais à son œuvre une tonalité plus sombre (Garde à vue et Mortelle randonnée de Claude Miller), même s’il continue par ailleurs à participer à de gros succès populaires (Le Grand Escogriffe, Tendre Poulet, Le Guignolo, Le Professionnel, Canicule). En 1978, il publie un roman en partie autobiographique La nuit, le jour et toutes les autres nuits, pour lequel il recevra le prix des Quatre jurys. Il obtient enfin la reconnaissance de ses pairs en remportant le César du meilleur scénario en 1982 pour Garde à vue.
Tombe au cimetière de Montrouge
Il meurt le 28 juillet 1985 dans sa maison de Dourdan en Essonne, des suites d'un cancer, à l'âge de 65 ans. Il repose au cimetière de Montrouge.
Le 3 mai 1947, il épouse Marie-Christine Guibert en l'église Saint Dominique (Paris XIVe). "Cri-Cri" lui donnera deux garçons : François (né en 1949, décédé en 1975) et Jacques (né le 30 avril 1952). Bien que toujours marié, il aura en 1953 un troisième garçon non reconnu, Bruno Meynis de Paulin. Il deviendra écrivain.
Au lendemain de la guerre, il vivote comme livreur de journaux, ce qui lui permet d’approcher le milieu du journalisme. Il entre ainsi à l'Étoile du soir où il commence une série d'articles sur l'Asie rédigés sur les comptoirs des bistrots parisiens. La découverte de l'imposture lui valant d'être rapidement remercié, il devient alors critique pour Cinévie. En 1949, le réalisateur André Hunebelle le fait entrer dans le monde du cinéma en lui commandant le scénario d’un film policier, Mission à Tanger, bientôt suivi de deux autres films, trois romans policiers, et des premiers succès d’adaptation de romans au cinéma : (Le Passe-muraille, Les Trois Mousquetaires). Sa notoriété s’étend et, en 1955, c’est la rencontre avec Jean Gabin à qui il propose le scénario de Gas-oil. Ainsi commence une collaboration de sept ans et 17 films, dont plusieurs grands succès : (Les Grandes Familles, Les Vieux de la vieille, Le Baron de l'écluse, Un singe en hiver), et qui ne s’est que peu interrompue : (Babette s'en va-t-en guerre, Un taxi pour Tobrouk).
Michel Audiard est à présent un scénariste populaire, ce qui lui attire les foudres des jeunes cinéastes de la Nouvelle Vague pour lesquels il symbolise le « cinéma de papa ». En 1963, après s’être un peu fâché avec Jean Gabin, il écrit pour Jean-Paul Belmondo (100 000 dollars au soleil d'Henri Verneuil) et toute une équipe d’acteurs talentueux, dont Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Lefebvre, (Les Tontons flingueurs et Les Barbouzes de Georges Lautner). Mais la fâcherie avec Jean Gabin ne dure pas et ils se retrouvent en 1967 pour Le Pacha et collaboreront encore occasionnellement (Sous le signe du taureau de Gilles Grangier ou Le drapeau noir flotte sur la marmite).
En 1966, il entame une carrière de réalisateur et tourne des films dont les titres sont parmi les plus longs du cinéma français : (Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause !, Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages). Mais après huit films et un documentaire, dont les succès restent médiocres, il revient à sa véritable vocation.
Le 19 janvier 1975, alors qu’il travaille avec le réalisateur Philippe de Broca au scénario de L'Incorrigible, il est durement touché par la nouvelle de la mort de son fils François, tué dans un accident de voiture. Il en conservera une profonde tristesse qui donnera désormais à son œuvre une tonalité plus sombre (Garde à vue et Mortelle randonnée de Claude Miller), même s’il continue par ailleurs à participer à de gros succès populaires (Le Grand Escogriffe, Tendre Poulet, Le Guignolo, Le Professionnel, Canicule). En 1978, il publie un roman en partie autobiographique La nuit, le jour et toutes les autres nuits, pour lequel il recevra le prix des Quatre jurys. Il obtient enfin la reconnaissance de ses pairs en remportant le César du meilleur scénario en 1982 pour Garde à vue.
Tombe au cimetière de Montrouge
Il meurt le 28 juillet 1985 dans sa maison de Dourdan en Essonne, des suites d'un cancer, à l'âge de 65 ans. Il repose au cimetière de Montrouge.
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