Attention !!.............ayatollah intégriste écolo anti motards en Auvergne !!

Il faut le lire pour le croire ......y a des baffes qui se perdent ...voir plus

http://carfree.free.fr/index.php/2012/05/21/la-saloperie-du-mois-lauvergne-moto-tour/

http://carfree.free.fr/index.php/2009/01/16/les-motards-sont-des-cons/

Ben moi ça me fait rien ça, déjà rien que la 2eme syllabe de son pseudo "minus" me fait passer mon chemin, cela fait des années que sur les forums ses écrits essayent de le faire entendre, mais j'ai mis des vattier piste et il ne gueule pas assez fort, ce n'est que de la .......

La provoc' est trop lourde pour vraiment porter,ce genre de littérature n'est pas nouveau.

Moi aussi, je m'en fous
Mais c'est juste pour constater qu'avec des mecs comme ça, il ne faut pas que les verts s'étonnent d'avoir pris une veste aux dernières présidentielles

Pendons les écolos pendant qu'il reste des arbres.

Et rapidement !..................parce qu'une très grande partie fout le camp en Chine !

Les arbres ou les écolos?

Ca ferait des délocolos!

Bof !
les Khmers verts ils pèsent quoi ? 2,5% ?
Au fait les grands meetings éclos, ils y vont comment les Khmers verts, a pied, en vélo ?
l'an dernier ils étaient 3 a brandir une banderole au Ventoux pendant la montée historique.

Non, ils pèsent quelques pourcents des 2,5% de votes exprimés aux dernières élections.
La mode est passée...

Un jour une bande d’écolos a rien trouvé de mieux que de faire un sit-in devant le bouclard d’un pote mécano moto.
Voyant ça il est allé voir se qu’ils voulaient.
« monsieur,nous voulons vous sensibiliser aux nuisances sonores et à la pollution qu’engendre votre établissement »
Allez messieurs dames ,circulez j’ai du travail.
« Non messieurs nous ne bougerons pas d’ici,vous ne pouvez pas continuer comme ça surtout le samedi ou la plupart des gens sont en week end pour se reposer. »
N’ayant pas de temps à perdre mon pote est reparti dans son atelier pour en ressortir avec un
"Patator maison" dont le projectile est garanti pur bio.
Là,tel un brochet dans un nid de vairons ils se sont dispersés…
Comme quoi nous sommes tous,chacun à sa manière, concernés par les problèmes de notre bonne vieille planète.

Ce que les écolos n'ont pas obtenu,l'économie le réalise,à plus d'un euro cinquante le litre de carburant la plupart des gens roulent moins.

Richard de sainté a écrit:Ce que les écolos n'ont pas obtenu,l'économie le réalise,à plus d'un euro cinquante le litre de carburant la plupart des gens roulent moins.

Moi, je compenses
de temps en temps je brule un vieux pneu

Ben moi je me sens écolo, même si j'ai encore du plaisir à brûler de l'essence pour mon plaisir de rouler en bécane.
Je sais, c'est contradictoire, mais c'est comme ça.
Et je vote écolo quand je le peux.
Et j'aimerai pouvoir aller bosser un peu plus en vélo, sur des routes où je ne serais pas en danger permanent.

Mais ce genre de sale con n'est pas un écolo, mais un intégriste. Il confond écologie et frustration profonde. J'ai eu l'impression de lire un article de Paris Match des années 70 consacré à la moto.....

put..n l'est grave le gaillard
a mon avis c est le genre de blaireau qui n'aime rien ni personne et est capable de faire un copier coller de sa prose en changeant le mot "motard" par tout ce qu il n aime pas....en gros tout ce qui n'est pas comme lui, donc toute la planète et ses habitants.
j aimerais qd même bien voir la bonne tronche de blaireau qu il doit avoir

BlackFish a écrit: Moi, je compenses
de temps en temps je brule un vieux pneu

Tss tss tss au moins 2 ou 3...

Francesco a écrit:Ben moi je me sens écolo, même si j'ai encore du plaisir à brûler de l'essence pour mon plaisir de rouler en bécane.
Je sais, c'est contradictoire, mais c'est comme ça.
Et je vote écolo quand je le peux.
Et j'aimerai pouvoir aller bosser un peu plus en vélo, sur des routes où je ne serais pas en danger permanent.

Mais ce genre de sale con n'est pas un écolo, mais un intégriste. Il confond écologie et frustration profonde. J'ai eu l'impression de lire un article de Paris Match des années 70 consacré à la moto.....

Même avis et même ressenti par rapport à la pratique de la moto et du vélo.
C'est à la mode par les temps qui courent de casser de l'écolo en y rajoutant le plus souvent le qualificatif de bobo (l'insulte suprême).
Ce qui me navre le plus c'est de constater l'indifférence générale face à ce qui est annoncé en la matière par beaucoup de spécialistes : raréfaction des matières premières, démographie galopante, pollution, déforestation massive ,dérèglement climatique ... Mais comme disait Reagan, notre mode de vie n'est pas négociable ... La croissance à tout prix et sans limite est notre religion : Qu'en penseront les générations qui vont suivre ?....

piegux a écrit:[
C'est à la mode par les temps qui courent de casser de l'écolo ...

Ca l'a toujours été.
Le souci c'est que le concept d'écologie, ou 'gisme est plein de contradictions et de paradoxes. il est très difficile de donner une définition qui précise les champs dans lesquels il s'applique. S'il s'agit de défendre la nature, à partir de quand considère-t'on que l'homme fait partie intégrante de cette nature ou en est exclu? Pourquoi ne pas considérer que la migration des gnous est un phénomène tout aussi nécessaire au bien être de l'espèce et tout aussi naturel qu'une virée en enduro dans les chemins fait du bien à l'espèce homo erectus? Au nom de quel principe moral il serait bon de maintenir artificiellement certaines espèces en vie et limiter la prolifération d'autres? Pourquoi considérer la prééminence humaine comme un phénomène artificiel et pas naturel alors que le principe du "struggle for life" semble être accepté pour régir le reste de la faune et de la flore mondiale?
Ou alors on part du postulat que l'homme est opposé à la nature, et qu'il n'y occupe qu'une place de nuisible, à détruire. Position suicidaire, néanmoins intéressante, mais tout aussi paradoxale: même un génocide de masse perpétré par des écolos suivi de leur suicide pour laisser une Terre vierge de toute trace humaine perturberait l'équilibre de la biosphère en générant une grande quantité de methane issu de la décomposition de 6 milliards de cadavres.
J'ai pas la réponse à toutes ces questions, mais elles permettent de poser les limites du concept d'écologie, concept assez récent dans l'histoire des idées et, il faut le reconnaitre encore trop flou et foireux pour être efficace. Il emprunte largement à une mythologie proche du paganisme qui amène certains à vénérer la Terre et la Nature comme d'autres vouaient un culte à Gaia il n'y a pas si longtemps, ainsi qu'à une perception de la Nature issue du romantisme du 19e, totalement déconnectée des connaissances scientifiques. Lesquelles sont malheureusement elles aussi très discutables, sur le plan méthodologique (les travaux sur le changement climatique sont un modèle de ce qu'il ne faut pas faire en recherche!) ou étant trop parcellaires pour pouvoir être interprêtées en l'absence d'un cadre explicatif unique.

Du coup, face à un tel flou conceptuel, pour beaucoup, l'engagement repose sur des simplifications ou des croyances (la terre vue comme un organisme autorégulateur, une croyance en un monde juste, en l'effet papillon...) et non sur de réelles connaissances, et il y a une formidable confusion dans l'échelle des impacts que peut avoir tout comportement aboutissant au mieux à une action inefficace, souvent à des effets contre productifs. Pour une majorité de mes voisins, tous écolos, la pollution, c'est la présence de papiers par terre, pas leur habitat individuel en villa agrémentée d'une piscine (utilisée en moyenne 15 jours par an dans le département...) qui mite un territoire certes fournissant l'impression de vivre au milieu de la nature, mais qui génère une augmentation des surfaces imperméabilisées et une explosion du trafic automobile nécessaire pour rejoindre depuis leur "petit coin de nature" leur lieu de travail, qui consiste en général à contribuer à la production à outrance de biens de consommation superflus. Mais attention, ils y vont en Prius ou en Clio Label Eco2, ça change tout.

La protection de la vie, ça consiste pour eux à ne pas porter de manteaux de fourrure, tout en continuant à ne pas tolérer chimiquemment le moindre insecte dans leur intérieur ou à bouffer des seaux de Chicken Dips.
L'air pur, c'est celui qu'ils vont tous les WE respirer en montagne, recréant à pied, tous sur les mêmes sentiers ou a skis sur les mêmes pistes les mêmes bouchons qu'ils ont créé pour venir en bagnole vouer leur culte à La Nature aux mêmes endroits.
Tous ont en commun une grande faculté à donner des leçons, en particulier au vilain pollueur que je suis lorsqu'ils me voient les doubler tous les matins englués seuls dans leur caisse embouchonnée avec ma moto à la technologie antique et polluante (mais qui consomme moins de 4l aux 100 et qui met trois fois moins de temps pour un trajet équivalent!)
Tiens, j'ai même entendu un copain qui bosse comme technicien de rivière employer un terme qui m'a laissé songeur; il parlait de "renaturer" un tronçon de rivière. On en est là, à fabriquer de la nature en boite, en rouleaux de 5m de large, par paquets de 12, pour finir tout de même par faire rentrer cette saloperie poilue, proliférante, puante, dans le cadre normé et tellement pratique à ranger dans son caddie de l'économie de marché, pour qu'on puisse en vendre plus. Ca s'appelle Euro4, CenterParks, GIEQ, EELV, ZAPA ou Ushuaia, ça fait un malheur chez les consommateurs et le malheur des autres qui doivent subir ça.
Heureusement, la mode c'est ce qui se démode, et le vert est en train de passer. Plus assez vendeur, les gens commencent à réfléchir, à avoir des doutes sur la sincérité de la démarche. Fini le vert, le prochain argument de vente sera bleu, blanc et rouge, il faut soutenir le redressement productif national, citoyens, consommez français!

Je ne suis pas un anti écolo primaire, je tiens juste de mon père (qui au passage a réalisé les meilleurs scores électoraux pour les écolos jamais atteints en France...), grand père et de tous ceux qui les ont précédé un respect particulier pour toute forme de vie sans sanctification , dans la mesure ou elle me permet de maintenir la mienne en marche. Mais j'accepterai de recevoir de leçons d'écolos uniquement une fois qu'ils se les appliqueront à eux-mêmes. Tous ceux qui ont déjà pris l'avion une fois peuvent déjà fermer leur gueule, comme ceux qui contribuent à la prolifération de l'espèce en pondant plus d'un mioche. Une fois ça fait, on va pouvoir discuter, il y aura moins de monde à vouloir parler.

L'écologie,comme toutes les autres façons de penser la vie en société a des côtés intéressants et d'autres beaucoup moins.

Peu importe l'image que l'on peut avoir des écolos et du sens que l'on met au mot écologie. (Je trouve d'ailleurs très intéressant certaines réflexions de JBT sur le sujet même si la description de l' "écolo vulgaris" me parait bien caricaturale).

Mais les faits sont têtus : Au delà de toutes ces considérations philosophiques l'un des enjeux majeurs des décennies qui viennent est de savoir si notre mode de vie consumériste est compatible avec les ressources restantes de notre planète Terre et le "stress environnemental" que nous lui faisons subir. A ceci s' ajoute le fait peu contesté que notre "développement" s'effectue au détriment des populations les plus démunies qui ont de plus en plus conscience de cette problématique. On peut contester toutes les études qui ont été effectuées dès que leurs conclusions ne vont pas dans le sens que l'on souhaiterait. Ainsi sur la question du dérèglement climatique par exemple certaines conclusions ont été probablement un peu hâtives , mais l'origine anthropique de ce phénomène ne fait plus guère de doute même si les conséquences sont encore peu ou mal connues, ce que conviennent la majorité des spécialistes qui ont planché sur la question. Cependant au fur et à mesure où la compréhension de la mécanique climatique s'affine, les conclusions sont parallèlement de plus en plus pessimistes.

Désolé d'avoir répondu, je n'ai pondu qu'une chieuse mais par contre j'avoue que j'ai déjà pris l'avion ...
Cordialement.

Richard de sainté a écrit:L'écologie,comme toutes les autres façons de penser la vie en société a des côtés intéressants et d'autres beaucoup moins.

Héé oui !!..............rien n'est parfait.

Salut tout le monde,
Bien que partageant certaines idées de chaque"camp" j'en appelle au "BON SENS" encore une fois.
Je fais partie de ceux qui "roulent à 50" en ville et pas à 90 hors aglo.
Je ne laisse pas couler l'eau dans le lavabo, ni la douche pendant que je me lave, je trie mes déchets,je "covoiture" quand les personnes qui sont avec moi me font pas trop "ch....r", je stocke mes ordures jusqu'à trouver une poubelle, mes enfants font de même car , ben oui l'exemple et mes petits enfants aussi.
A coté de cela, je roule à moto pour mon plaisir, je consomme des produits fossiles sans que cela ne soit pour certain absolument nécessaire mais je les emm....e car pour MOI, c'est absolument nécessaire.
j'utilise l'eau du réseau pour les ch...es, car c'était pas prévu au départ et j'arrose mon jardin avec de l'eau de pluie.
Est-ce que je suis un Ecolo, certainement pas, un citoyen conscient de ses responsabilités, je pense, un pollueur sans vergogne, que nenni......
Du bon sens je vous dis..................... Ne nous prenons pas la tête (et le reste...) à cause de quelques "minus" qui se lèvent le matin et en veulent au monde entier car il sont trop cons pour avoir des amis et des plaisirs dans la vie.

piegux a écrit:Ainsi sur la question du dérèglement climatique par exemple certaines conclusions ont été probablement un peu hâtives , mais l'origine anthropique de ce phénomène ne fait plus guère de doute même si les conséquences sont encore peu ou mal connues, ce que conviennent la majorité des spécialistes qui ont planché sur la question. Cependant au fur et à mesure ou la compréhension de la mécanique climatique s'affine, les conclusions sont parallèlement de plus en plus pessimistes.

C'est précisément une des plus virulentes (et justifiées) critiques formulées à l'égard de ces recherches ;elles sont toujours menées "à charge". Or le B A BA de la démarche scientifique, c'est qu'on ne peut que conclure à l'absence d'une relation de cause à effet, jamais à l'existence de cette relation. Pour qu'on puisse définitivement considérer comme acquis l'origine anthropique du changement climatique, il faudrait avoir éliminé de façon expérimentale l'intégralité des autres facteurs possibles, du rôle du rayonnement solaire à celui des pêts de mammifères en passant par la théorie du micro ondes intergalactique géant. OK, pour la dernière, une démonstration théorique suffira.
On est très, très, très loin d'avoir non seulement éliminé mais même envisagé tous les facteurs causaux potentiels. Et on est encore plus loin d'avoir pris en compte tous les effets d'interaction entre deux facteurs qui peuvent s'avérer nuls pris individuellement mais effectifs en simultané.
Bref, essayer de modéliser un système ouvert chaotique tel qu'est le climat est pour l'instant hors de portée, d'autant plus qu'on a très peu de recul historique et que de très nombreuses données peuvent être interprêtées de différentes façon. Je prends pour exemple l'augmentation des températures mesurées depuis un siècle en différents points du globe: cette différence -significative- des relevés peut traduire un changement de la température du climat à cet endroit précis...ou le fait que l'espace autour du point de relevé s'est urbanisé en un siècle (ce qui est le cas de la plupart) et que la simple inertie du sol bétonné combiné à la réflexion lumineuse sur un sol dur permet d'expliquer tout ou partie de ces différences...
C'est être très présomptueux que d'affirmer pouvoir expliquer l'évolution d'un système complexe avec un seul facteur. Tout au long de l'histoire des sciences, à chaque fois qu'on s'est focalisé sur la recherche d'une cause unique à un phénomène, on s'est lamentablement planté, mais c'est un biais inhérent au système de pensée humain que de chercher à confirmer ses hypothèses au lieu de chercher à l'invalider. Ce faisant on ne cherchera et on ne trouvera donc que ce qui va dans notre propre sens, et c'est précisément ce à quoi le GEIQ s'emploie depuis des années, avec quelques relents d'intégrisme et un recours systématique au vilain lobby pétrolier pour refuser tout débat.
Ca serait juste risible si cette partialité dans la recherche de connaissances ne mettait pas en péril la possibilité d'intervenir de façon efficace si le cas échéant ça devait être nécessaire.
Pour l'instant, à part crier au loup, je ne vois pas trop à quoi ce cirque nous avance, sauf à fournir quelques débouchés aux post-doc en climatologie.

Les scientifiques qui planchent sur la question sont très prudents et reconnaissent que les modèles qui leur permettent de formuler des hypothèses sont très imparfaits et donc à considérer avec prudence. De même ils n'ont jamais nié qu'il y a des multitudes de paramètres autres que les GES qui entrent en ligne de compte (activité solaire, variation de l'angle de variation de rotation de la terre, peu de connaissances sur ce qu'était le climat dans le passé (comme le dit JBT) modification de l'environnement des points de mesures qui pollue ces mesures ...) Par exemple dans les projections qui sont faites sur l'effet GES seul est pris en compte le CO2. Or on sait qu'un gaz comme le méthane a un effet GES bien supérieur bien qu'une durée de vie plus courte. Les climatologues reconnaissent que l'on sait peu de chose sur ce que pourrait être l'effet d'une émission massive de ce gaz suite à la fonte du permafrost même si on a constaté des émissions massives de ce gaz (sous forme de bulle dans les lacs) dans la région arctique (sans pour autant affirmer s'il s'agit d'un phénomène récent tout simplement car ça n'a pas été observé ni mesuré dans le passé).
On ne peut empêcher certains de penser que les organismes comme le GIEC qui étudient cette question sont à la solde de lobbies (j'aimerais bien savoir d'ailleurs précisément lesquels) il me semble cependant que prendre à la légère les conséquences supposées du dérèglement climatique (même à supposer que l'origine anthropique soit nulle) et donc ne pas envisager de moyens de s'y préparer (en tous cas les populations les plus exposées) me parait pour ma part irresponsable.
J' en resterai là sur le sujet, ce n'était pas exactement le sujet du post et quand on connaît le bilan carbone du moindre clic, il vaut mieux les économiser.....
Cordialement.

BlackFish a écrit:

Richard de sainté a écrit:Ce que les écolos n'ont pas obtenu,l'économie le réalise,à plus d'un euro cinquante le litre de carburant la plupart des gens roulent moins.

Moi, je compenses
de temps en temps je brule un vieux pneu