La blague du jour

Phil... a écrit:le jeudi, pas le mercredi...

Gastair a écrit:J'ai jamais dit à ma mère où j'allais jouer et elle s'en fichait, quand mon père voulait juste qu'on soit dehors, j'ai grandi dans les citées du Mirail à Toulouse, alors dehors c'était encore plus dehors qu'ailleurs. J'avais toujours de mauvaises notes, et mes parents étaient satisfaits si une seule dans le trimestre était correcte même si c'etait en musique avec trois notes de pipeau. Maitres et maitresses je ne les respectait que parce qu'ils me faisaient peur, tiraient l'oreille, me tapaient sur le bout des doigts et me laissaient à genoux sur une règle carrée... la crainte n'est pas la définition du respect.
Mais oui je finissais mon assiette, ça pas le choix, même quand c'était des endives...

Si je fais le décompte par rapport à la liste, j'ai donc été sauvé par les endives... ça m'a rendu un peu amère, j'ai aussi gardé une grande affection pour le pipeau...

Drel37 a écrit:
..........Il y avait un laitier qui nous livrait sous emballage plastique ses produits. Il les laissait sur le pilier au dessus de la sonnette. Je ne sais pas combien de temps nous avons profité de ses livraisons..........

Phil... a écrit:

Drel37 a écrit:
..........Il y avait un laitier qui nous livrait sous emballage plastique ses produits. Il les laissait sur le pilier au dessus de la sonnette. Je ne sais pas combien de temps nous avons profité de ses livraisons..........

Chez ma grand mère, Côte Pavée,
il y avait un chiffonnier qui passait en gueulant...

peeeeeyarots ! pel de lapin'....


ma grand mère me disait "vite cache toi, si il t'attrape, il va te vendre dans un cirque"...

j'ai jamais eu aussi peur de ma vie !
comment on fait des générations de gosses traumatisés

zouaverifle a écrit:

mic71 a écrit:Ben oui,
J'allais regarder Zorro chez le voisin du dessus. Ses parents avaient une télé.
A la maison on l'a eu en 1968 pour les J.O.

mic71 a écrit:Pour le reste j'ai connu les jeudi et les mercredis et même le cours le samedi matin!  

PizzaRoller a écrit:

Drel37 a écrit:J'habitais à Papus et j'ai vu la cité du Mirail se construire avec la rocade. Il y avait un laitier qui nous livrait sous emballage plastique ses produits. Il les laissait sur le pilier au dessus de la sonnette. Je ne sais pas combien de temps nous avons profité de ses livraisons mais il n'y a eu qu'une fois un couac. Bref, pour dire qu'à l'époque... c'était une autre époque  En vélo, je me promenais sur les chantiers des immeubles du Mirail. Mes parents ne savaient pas ou j'étais ni et heureusement les conneries que je faisais. Pour les endives, rien à faire, je n'ai jamais supporté et même maintenant. Par contre en salade, oui. Quant je suis un peu nostalgique de cette époque, il n'y a qu'à se souvenir les peurs que j'avais chez le dentiste. Ca calme. On n'avait pas l'anesthésie à chaque carie. Bon cela ne m'empêchait pas de me jeter sur les bonbons à 1 centimes qu'on achetait à l'épicerie du coin. Le nec plus, c'est qu'en on en demandait pour 1 francs   La caissière qui était très sympa avec nous, ne pouvait s'empêcher de montrer sa déception de devoir compter 100 bonbons....

Et les parties de billard rue de la Dalbade, tu oublies ? Et les parties de baby-foot à Papus, tu oublies aussi ? Pffffffff...
Me souviens avoir récupéré un marteau qu'un ouvrier avait oublié sur le pont de la rocade en construction à la Cépière. C'était en 1972. J'ai toujours ce marteau pour la petite histoire...
Et les tablettes de chocolat que nous grignotions pendant les cours d'espagnol... Et la pipe que nous fumions toujours en plein cours d'espagnol... Faut le faire quand même On se sentait intouchable ou plutôt insouciant... J'aimerais bien revenir en cours d'espagnol...

Photo d'époque de l'école