Re: le village d'à coté

Gastair Sam 14 Sep 2019 - 21:58

zouaverifle a écrit:

Un air de « walking dead »....

Ah oui... en grossissant, on voit un truc derrière la vitre, à gauche de la porte le village d'à coté - Page 18 569134

Regardez bien... yaaa

fondu-21 Dim 15 Sep 2019 - 8:29

Gastair a écrit:
C'était beau avant... mais le présent est le passé futur de nos enfants et ils l'aimeront car nous en serons une de ses traces...

fondu-21 Dim 15 Sep 2019 - 8:50

fondu-21 a écrit:
Gastair a écrit:
C'était beau avant... mais le présent est le passé futur de nos enfants et ils l'aimeront car nous en serons une de ses traces...

je me demandais l'age venant quelle trace nous allons laisser ?
c'est une question de confiance

Richard de l'Aulagnier Dim 15 Sep 2019 - 8:55

Il y a beaucoup de villages ou de bourg où l'on peut voir en les traversant que les maisons sont fermées sans doute depuis longtemps.
Mais qui voudrait acheter ou louer un appart' sur la rue, mal isolé thermiquement et phoniquement, avec un circuit électrique obsolète?
On pourrait y loger des réfugiés, mais des réfugiés, on n'en veut pas.
Il faudra un jour avoir le courage de raser tout ça, il n'y a pas qu'à Marseille que les maisons trop vieilles et pas entretenues s'écroulent.
Chaque société a son style de vie et d'habitat, ce ne serait sans doute pas un signe de bonne santé si ces vieilles maisons "de ville"devaient être occupées de nouveau.

**breizracer** Dim 15 Sep 2019 - 20:21

Une maison, ça se rénove,ça se restaure, ça se met aux normes, pas toujours nécessaire de détruire pour reconstruire...

Richard de l'Aulagnier Dim 15 Sep 2019 - 20:37

Oui, mais avoir un flot de voitures qui passe sous tes fenêtres...en tous cas le fait est là, beaucoup de petites villes voient leur rue principale désertée, quelle qu'en soit la raison.

beaujolais racer Dim 15 Sep 2019 - 20:56

breizracer a écrit:Une maison, ça se rénove,ça se restaure, ça se met aux normes, pas toujours nécessaire de détruire pour reconstruire...

Surtout pour aller bétonner ailleurs de la bonne terre agricole.
Le mitage du territoire en campagne est un non sens écologique, non seulement par la perte de terres arables mais également par le mode de vie dépendant au tout bagnole qu'il implique.

On a vendu du rêve aux "rurbains" à travers l'idéal de la petite maison individuelle à la campagne loin de leur travail

La récente crise des gilets jaunes l'a bien montré.

Avec un carburant de plus en plus cher, il convient plus de réhabiliter une certaine centralisation de l'habitat que son contraire

BernardP Dim 15 Sep 2019 - 21:13

C'était un sujet de conversation hier soir avec des jeunes (1) fraîchement émigrés à la capitale: il apparaît que dans les grandes métropoles on a du boulot, de la culture, du soin etc ...
Dans les campagnes il n'y a rien de tout çà alors si les maisons se vident, ce n'est pas forcément à cause de la mauvaise isolation thermique ou phonique ...
La fracture rural/urbain n'a certainement jamais été aussi importante.

(1) effectivement, il y aurait des endroits où il suffit de traverser la rue pour bosser au point que les ruptures de contrat sont fréquentes car la ré-embauche est facile.

tcherpeti Mar 15 Oct 2019 - 8:12

Flatman Mar 15 Oct 2019 - 8:47

Chris Mar 15 Oct 2019 - 11:01

Richard de l'Aulagnier a écrit:Il y a beaucoup de villages ou de bourg où l'on peut voir en les traversant que les maisons sont fermées sans doute depuis longtemps.
Mais qui voudrait acheter ou louer un appart' sur la rue, mal isolé thermiquement et phoniquement, avec un circuit électrique obsolète?
On pourrait y loger des réfugiés, mais des réfugiés, on n'en veut pas.
Il faudra un jour avoir le courage de raser tout ça, il n'y a pas qu'à Marseille que les maisons trop vieilles et pas entretenues s'écroulent.
Chaque société a son style de vie et d'habitat, ce ne serait sans doute pas un signe de bonne santé si ces vieilles maisons "de ville"devaient être occupées de nouveau.

Le problème se pose dans mon bourg de naissance (et de vie pour mes parents aujourd'hui décédés). Nous avons vendu péniblement la maison, mais à un moment j'étais prêt à la céder 1 € à la mairie et qu'ils en fassent ce qu'ils veulent......
J'avais préparé un sujet là-dessus avec l'exemple d'un bourg italien ou derrière deux façades ils avaient refait une maison. Certaines maisons détruites devenaient des jardins ou parkings. Je trouve cette idée excellente (mais chère sûrement) pour remettre un village sur pieds. Et comme y fait allusion Beaujol cessons de bétonner tout autour sur de bonnes terres agricoles avec ces résidences minables.

Oui je sais ça n'était qu'un rêve siffle

.........

Richard de l'Aulagnier Mar 15 Oct 2019 - 11:10

Bin oui, c'est typique de nos vieilles sociétés riches de toujours se tourner vers le passé la bouche pleine de "C'était mieux avant" car on n'a ni le courage ni l'imagination pour fabriquer un futur qui fasse envie.
Ceux qui quittaient un à un le pays pour s'en aller gagner leur vie loin de la terre où ils sont nés n'y seraient pas retourné, sauf, parfois le WE pour visiter les parents ou encore plus parfois, à la retraite.
J'aime voyager dans les pays dits "Émergents"car il n'y a pas ce culte du passé et la peur de l'avenir.

R27 Mar 15 Oct 2019 - 11:53

Le problème est effectivement lié à l'attrait des grandes villes.
Il faudrait une volonté forte de réhabiliter nos provinces et nos campagnes, plutôt que créer des villes nouvelles proches des grandes agglomérations.
Qui sait, le télétravail est peut-être une piste à creuser ?

gunthar Mar 15 Oct 2019 - 12:59

Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on pourrait proposer à pas mal de descendants d'immigrés qui végètent dans nos banlieues, cités, ZEP, sans perspectives d'avenir car on leur a donné une éducation pourrie (zéro mixité sociale, profs débutants ou dépressifs, zéro alphabétisation des parents) ou qu'on leur a fait trimer pour des diplômes qui ne valent rien car on n'embauche pas d'arabes ou de noirs pour faire autre chose que de l'informatique, du gardiennage ou du ménage (même avec bac +4) d'aller s'installer dans ces petites villes et villages en voie d'abandon.
Leur donner des maisons, des lopins ou plus de terre, des ateliers désaffectés, des commerces. Leur prêter du pognon.

J'ai un copain qui a une métaphore que je trouve saisissante : l'immigration, c'est comme un engrais que tu met dans un verger, ça vitalise, ça enrichit, ça promet de beaux fruits.
Mais, dit-il, à condition de ne pas bêner tout le tas d'engrais au pieds de deux ou trois arbres. Parce que là, ça les fait crever.

C'est un peu ce qui se passe dans ces banlieues qui crèvent, basculent dans le non droit, la came ou la misère. Et qui vont finir par nous péter à la gueule.

Voir tous ces patelins qui s'effacent, ces petites villes qui se meurent et voir de l'autre coté ces cités surpeuplées qui pourrissent, ça devrait donner des idées.

A condition qu'il y ait des pouvoirs publics, des gouvernants, et pas seulement des petits régulateurs de l'économie et des moeurs.

beaujolais racer Mar 15 Oct 2019 - 13:22

gunthar a écrit:Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on pourrait proposer à pas mal de descendants d'immigrés qui végètent dans nos banlieues, cités, ZEP, sans perspectives d'avenir car on leur a donné une éducation pourrie (zéro mixité sociale, profs débutants ou dépressifs, zéro alphabétisation des parents) ou qu'on leur a fait trimer pour des diplômes qui ne valent rien car on n'embauche pas d'arabes ou de noirs pour faire autre chose que de l'informatique, du gardiennage ou du ménage (même avec bac +4) d'aller s'installer dans ces petites villes et villages en voie d'abandon.
Leur donner des maisons, des lopins ou plus de terre, des ateliers désaffectés, des commerces. Leur prêter du pognon.

J'ai un copain qui a une métaphore que je trouve saisissante : l'immigration, c'est comme un engrais que tu met dans un verger, ça vitalise, ça enrichit, ça promet de beaux fruits.
Mais, dit-il, à condition de ne pas bêner tout le tas d'engrais au pieds de deux ou trois arbres. Parce que là, ça les fait crever.

C'est un peu ce qui se passe dans ces banlieues qui crèvent, basculent dans le non droit, la came ou la misère. Et qui vont finir par nous péter à la gueule.

Voir tous ces patelins qui s'effacent, ces petites villes qui se meurent et voir de l'autre coté ces cités surpeuplées qui pourrissent, ça devrait donner des idées.

A condition qu'il y ait des pouvoirs publics, des gouvernants, et pas seulement des petits régulateurs de l'économie et des moeurs.

T'inquiètes on ya déjà pensé, on est même passé à l'action avec quelques arrivées dans mon bled en provenance ce riantes banlieues toulousaines.
Certains ont même eu cette idée tous seuls. On voit des installations en pleine campagne, loin de tout, de foyers souvent monoparentaux avec X enfants, plus motivés à s'éloigner de l'enfer qu'à trouver un emploi parce que d'emploi dans ces coins il y en a autant que de bière belge dans le frigo à Pizza.
Ils vivent donc des minimas sociaux, pas idéal pour créer de la richesse et re-dynamiser une région.
Ca recrée aussi de mini-ghettos au coeur vétuste et abandonné des vieilles bastides, pour la plus grande joie des autochtones ....
On a pas le cul sorti des ronces.

the thing Mar 15 Oct 2019 - 13:25

gunthar a écrit:Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on pourrait proposer à pas mal de descendants d'immigrés qui végètent dans nos banlieues, cités, ZEP, sans perspectives d'avenir car on leur a donné une éducation pourrie (zéro mixité sociale, profs débutants ou dépressifs, zéro alphabétisation des parents) ou qu'on leur a fait trimer pour des diplômes qui ne valent rien car on n'embauche pas d'arabes ou de noirs pour faire autre chose que de l'informatique, du gardiennage ou du ménage (même avec bac +4) d'aller s'installer dans ces petites villes et villages en voie d'abandon.
Leur donner des maisons, des lopins ou plus de terre, des ateliers désaffectés, des commerces. Leur prêter du pognon.

L'idée est séduisante et à creuser bien

Je vis au bord de la 2eme ville de France, avec un trafic routier et "humain" gigantesque entre Marseille, Aubagne ou Aix en Provence. Du béton et de nouvelles constructions de partout, des travaux incessants, des embouteillages énormes, de l’incivisme, de l’agressivité, des prix hallucinants pour se loger et pour y vivre, tout est plus cher chez nous.
Mon entreprise vit de cela et je respecte cette zone de chalandise pour l'effet qu'elle apporte au commerce mais pour ma part, dès que possible, je pense dans 3 ans, je partirai loin de cette jungle.
Ce sera la campagne, la moyenne montagne, une rivière, un fleuve, la Haute Loire, la vallée de l'Allier (une merveille) la vallée du Lot (encore une merveille) ou les Cévennes (la vallée française d'une grande beauté), une maison en pierre que je vais entièrement restaurer, la rendre autonome, passive comme on dit, un poulailler, un jardin en permaculture, une éolienne, des panneaux solaires, un puits et qu'ils aillent tous se faire voir ailleurs.
Je vais recréer mon job, ouvrir une entreprise, j'ai les idées qui germent en ce moment, et passer du bon temps au calme, vivement.... drunken

beaujolais racer Mar 15 Oct 2019 - 13:29

the thing a écrit:
gunthar a écrit:Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on pourrait proposer à pas mal de descendants d'immigrés qui végètent dans nos banlieues, cités, ZEP, sans perspectives d'avenir car on leur a donné une éducation pourrie (zéro mixité sociale, profs débutants ou dépressifs, zéro alphabétisation des parents) ou qu'on leur a fait trimer pour des diplômes qui ne valent rien car on n'embauche pas d'arabes ou de noirs pour faire autre chose que de l'informatique, du gardiennage ou du ménage (même avec bac +4) d'aller s'installer dans ces petites villes et villages en voie d'abandon.
Leur donner des maisons, des lopins ou plus de terre, des ateliers désaffectés, des commerces. Leur prêter du pognon.

L'idée est séduisante et à creuser
Je vis au bord de la 2eme ville de France, avec un trafic routier et "humain" gigantesque entre Marseille, Aubagne ou Aix en Provence. Du béton et de nouvelles constructions de partout, des travaux incessants, des embouteillages énormes, de l’incivisme, de l’agressivité, des prix hallucinants pour se loger et pour y vivre, tout est plus cher chez nous.
Mon entreprise vit de cela et je respecte cette zone de chalandise pour l'effet qu'elle apporte au commerce mais pour ma part, dès que possible, je pense dans 3 ans, je partirai loin de cette jungle.
Ce sera la campagne, la moyenne montagne, une rivière, un fleuve, la Haute Loire, la vallée de l'Allier (une merveille) la vallée du Lot (encore une merveille) ou les Cévennes (la vallée française d'une grande beauté), une maison en pierre que je vais entièrement restaurer, la rendre autonome, passive comme on dit, un poulailler, un jardin en permaculture, une éolienne, des panneaux solaires, un puits et qu'ils aillent tous se faire voir ailleurs.
Je vais recréer mon job, ouvrir une entreprise, j'ai les idées qui germent en ce moment, et passer du bon temps au calme, vivement....

Un petit élevage de motos vertes, certifiées bio ? le village d'à coté - Page 18 145644

the thing Mar 15 Oct 2019 - 13:39

beaujolais racer a écrit:
Un petit élevage de motos vertes, certifiées bio ?

Quelques bleues aussi tu le sais bien... souris

BernardP Mar 15 Oct 2019 - 14:00

gunthar a écrit:Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'on pourrait proposer à pas mal de descendants d'immigrés qui végètent dans nos banlieues, cités, ZEP, sans perspectives d'avenir car on leur a donné une éducation pourrie (zéro mixité sociale, profs débutants ou dépressifs, zéro alphabétisation des parents) ou qu'on leur a fait trimer pour des diplômes qui ne valent rien car on n'embauche pas d'arabes ou de noirs pour faire autre chose que de l'informatique, du gardiennage ou du ménage (même avec bac +4) d'aller s'installer dans ces petites villes et villages en voie d'abandon.

C'est une excellente idée mais tu as juste une génération (ou deux) de retard.
Professionnellement, j'ai vécu çà avec la destruction des barres d'immeubles pourris de la grande ville toute proche et le relogement dans les villages environnants.

Ben, la difficulté à trouver un taf, la difficulté à s'y adapter quand on en trouve un, plein de paramètres qui pourraient créer de la polémique ici, font que les mini ghettos se sont recréés dans les villages satellites ................. sauf que les structures notamment éducatives (je parle de ce que je connais le mieux) qui existaient dans la grande ville sont totalement absents dans ces petits villages et pour les familles, c'est beaucoup plus dur.

On pourrait aussi parler des marchands de sommeil qui du coup trouvent un débouché à la ruine qu'ils possédaient au coeur du vieux village et qui ne servait qu'à entreposer du matériel agricole.

Proteus Mar 15 Oct 2019 - 14:06

La pression immobilière dans certains villes/certains pays rendent l'accès à la propriété impossible aux jeunes (et moins jeunes) ménages.

200 000 habitants dans notre ville, banlieues comprises. Le prix des maisons oscille entre 75 000 osus pour un taudis à refaire entièrement, en passant par 300 000 osus pour la maison de ma femme (achetée l'équivalent de 35 000 € en 1990...) qui est une maison de rangée sans garage, quatre étages, entièrement rénovée, et on dépasse le million d'osus pour une belle villa dans les quartiers chics.

Une construction neuve coûtait en 1990, terrain compris, dans les 100 000 osus (en € actuels), elle coûtera quatre fois plus de nos jours (sans le terrain), je n'ai pas le souvenir que les salaires des candidats acquéreurs aient quadruplé en 30 ans!

En guise de comparaison, en passant en vacances dans le Lot-et-Garonne, près de la ville de Duras, on s'est aperçus qu'une ferme de plain-pied, trois chambres, à cinq kilomètres de cette ville, avec hangar pour y caser mon camion et quelques motos, rien à y faire sauf peut-être rafraîchir les murs, sur 6 000 m2 de terrain avec verger, coûte 145 000 osus!

ça donne à réfléchir, non?

**PizzaRoller** Mar 15 Oct 2019 - 14:21

Proteus a écrit:La pression immobilière dans certains villes/certains pays rendent l'accès à la propriété impossible aux jeunes (et moins jeunes) ménages.

200 000 habitants dans notre ville, banlieues comprises. Le prix des maisons oscille entre 75 000 osus pour un taudis à refaire entièrement, en passant par 300 000 osus pour la maison de ma femme (achetée l'équivalent de 35 000 € en 1990...) qui est une maison de rangée sans garage, quatre étages, entièrement rénovée, et on dépasse le million d'osus pour une belle villa dans les quartiers chics.

Une construction neuve coûtait en 1990, terrain compris, dans les 100 000 osus (en € actuels), elle coûtera quatre fois plus de nos jours (sans le terrain), je n'ai pas le souvenir que les salaires des candidats acquéreurs aient quadruplé en 30 ans!

En guise de comparaison, en passant en vacances dans le Lot-et-Garonne, près de la ville de Duras, on s'est aperçus qu'une ferme de plain-pied, trois chambres, à cinq kilomètres de cette ville, avec hangar pour y caser mon camion et quelques motos, rien à y faire sauf peut-être rafraîchir les murs, sur 6 000 m2 de terrain avec verger, coûte 145 000 osus!

ça donne à réfléchir, non?

Tu déménages ?

Duras, c'est moins loin que la Belgique et y a du bon vin !

BernardP Mar 15 Oct 2019 - 14:26

Proteus a écrit:
En guise de comparaison, en passant en vacances dans le Lot-et-Garonne, près de la ville de Duras, on s'est aperçus qu'une ferme de plain-pied, trois chambres, à cinq kilomètres de cette ville, avec hangar pour y caser mon camion et quelques motos, rien à y faire sauf peut-être rafraîchir les murs, sur 6 000 m2 de terrain avec verger, coûte 145 000 osus!

ça donne à réfléchir, non?

Je te propose la haute vallée de l'Aude: Quillan, Couiza ... C'est encore beaucoup moins cher.

Et comme la fin du monde approche, tu seras tout près de Bugarach ! clin

Proteus Mar 15 Oct 2019 - 14:39

Je ne déménage pas encore, mais ça s'envisage très sérieusement...

et Quillan/Couiza, je connais un peu, je passais par là quand j'allais en vacances dans le 66, dans le village de Fontrabiouse, c'est chouette par là...

Merci pour vos messages

BernardP Mar 15 Oct 2019 - 14:43

Ah, ben, si tu connais Fontrabiouse, Quillan doit te paraître une Mégalopole ...

Mais à Fontrabiouse (et sa grotte !) on s'approche des stations de ski catalanes et les prix montent avec l'altitude !

Proteus Mar 15 Oct 2019 - 15:07

On louait un appartement là en été, chez madame Sanchez (la pauvre, on n'a jamais compris comment elle faisait pour s'asseoir)...

Un chouette coin en juillet-août, pas encore trop couru à l'époque

BernardP Mar 15 Oct 2019 - 15:13

Proteus a écrit:

Un chouette coin en juillet-août, pas encore trop couru à l'époque

Rassure toi, c'est toujours aussi calme ! Il y a juste trois voitures de plus dans le village pour le Jour de l'An et au cours des deux semaines des vacances de Février.

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