How Differential Steering Works (1937)

En français

Ça reste assez rare sur des motos solo ... 

gabounette77 a écrit:

C'est très bien expliqué et toujours très pédago ces vidéos d'époque

Merci Gabounette. J'ai appris quelque chose.  

En même temps, j'ai tellement de choses à apprendre ...

Gabounette, tu n'as plus qu'à trouver une vidéo sur l'intérêt du blocage-différentiel sur les véhicules tout-terrain et c'est parfait  

Zündappmann a écrit:Gabounette, tu n'as plus qu'à trouver une vidéo sur l'intérêt du blocage-différentiel sur les véhicules tout-terrain et c'est parfait  

J'ai appris (avec stupeur...) que les premières voitures avaient une seule roue motrice.
Comme si elles avaient un différenciel.
A 2:43, on voit que la roue ARG patine et que la roue ARD ne bouge pas si le différentiel n'est pas bloqué.

Ce qui m'a étonné aussi, c'est qu'à l'époque, on pouvait baisser l'arbre de transmission pour avoir un plancher plat.
Or les voitures récentes ont une bosse au milieu de la voiture qui gène les passagers.
Le pignon est trop compliqué à fabriquer? Trop fragile? Trop cher?

gabounette77 a écrit:Ce qui m'a étonné aussi, c'est qu'à l'époque, on pouvait baisser l'arbre de transmission pour avoir un plancher plat.
Or les voitures récentes ont une bosse au milieu de la voiture qui gène les passagers.
Le pignon est trop compliqué à fabriquer? Trop fragile? Trop cher?

L'arbre de transmission a été abaissé depuis les années 30 grâce à ça, avec un plancher à 30 cm du sol au lieu de 50 cm sur les ancêtres des années précédentes (où l'on "montait" en voiture).

Pour pouvoir abaisser encore les planchers et le centre de gravité, on a créé les carrosseries monocoques. Sur les tractions (comme la Traction Avant Citroën), pas de problème. Mais les classiques "moteur avant/propulsion arrière" ont dû être munies de cette "bosse" (le tunnel de transmission), et le sont toujours.

gabounette77 a écrit:J'ai appris (avec stupeur...) que les premières voitures avaient une seule roue motrice.
Comme si elles avaient un différenciel.

La puissance des moteurs de l'époque (au tournant du siècle, de gros monocylindres de quelques ch tournant à moins de 1000 tours/mn) ne risquait pas de faire patiner la roue motrice... sur terrain dur, bien entendu.

Certaines voitures de ces années à voie très étroite (les premières Peugeot ou certains "cyclecars") avaient deux roues motrices sans différentiel : une chaîne, un pignon sur un arbre fixe et roule ma poule.