Le pourquoi de cette rubrique

cooooooooooool 


les fréquentations , en effet ont une très mauvaise influence sur louis , c'est le seul à avoir fini sa bière

Je te félicite pas.
Comme photo d'épilogue tu aurais pu trouver mieux que cette bande de vioques ...

Savate a écrit:EPILOGUE

Voilà, ce coup ci, c'est bel et bien le retour à la normale qui se profile...

Félicitations à vous 2, bon courage Savate, j'ai perdu le bel avatar que je t'avais créé, il faut que je t'en refasse un pour l'occasion 

Ah oui,il a oublié de te le dire...
C'est le chef du gang!!

BernardP a écrit:Je te félicite pas.
Comme photo d'épilogue tu aurais pu trouver mieux que cette bande de vioques ...

Toi tu vas prendre!!

Super

Dis a Louis que si des malfaisants cherche à lui nuire au collège,ses potes de l'hospice vont venir l'assister.
On n'est plus fort mais on est sournois et le cas échéant apte à disposer de la puissance de feu d'un porte avions.


                  "Nous faisons le mal,mais nous le faisons bien "
                    -Confucius-

Super, trés heureux pour vous.

C'est qui l'plus fort ... C'est Louis 
Bizzz 

J'avais un collègue en classe de première atteint d'une leucémie 16 ans en 1972 . Séance de rayons (à l'époque) sur le buste (grosse dose d'irradiation rougeur de peau). Je ne le vois plus mais il est cameraman à France2, je peux donc dire qu'au gré des reportages du JT dont le présentateur nomme le journaliste et le cameraman , qu'il est toujours en vie. Il doit avoir mon age donc ! ... on arrive à soigner le cancer dès lors qu'il est pris  tôt.

Un bon livre sur le sujet

Savate a écrit:
Va aussi falloir que je surveille ses fréquentations, parce que là, j'ai l'impression que ça dérape !

Pour un retour à la normale, tu as fait fort en lui présentant cette fine équipe

Savate a écrit:
Je vais chercher Louis cet après-midi. Il sort définitivement du centre de rééducation. 6 mois 1/2 quand même...

Ils acceptent vraiment n'importe qui dans ces centres de rééducation......

Motocine a écrit:J'avais un collègue en classe de première atteint d'une leucémie 16 ans en 1972 . Séance de rayons (à l'époque) sur le buste (grosse dose d'irradiation rougeur de peau). Je ne le vois plus mais il est cameraman à France2, je peux donc dire qu'au gré des reportages du JT dont le présentateur nomme le journaliste et le cameraman , qu'il est toujours en vie. Il doit avoir mon age donc ! ... on arrive à soigner le cancer dès lors qu'il est pris  tôt.

C'est pas aussi simple, pour les Leucémie, certaines sont mortelle, même prit au tout début, un copain a eu une Leucémie (Lymphome B grande cellule), il s'en est sorti, tous n'ont pas cette chance

Et bien comme je le disais au tout début de ce fil, LOUIS A BIEN NIQUE LE CRABE !!!! 

Allez, courage, le plus dur reste à venir....le collège!!

On sort juste du cinéma Louis et moi...



Un film fort qui nous a beaucoup parlé, à l'un comme à l'autre.

Un autre film sur le sujet ... d'une vérité et donc d'une violence... sans limite... que j'ai vu une fois ... et que , tout infirmier que je suis, j'ai les jetons de regarder à nouveau...

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19517292&cfilm=4707.html

Je suis très heureux de savoir que Louis va pouvoir continuer tranquillement à te"pourrir"la vie,mais maintenant ce sera chez vous, comme un gamin normal de son age .
De très bonnes nouvelles qui font plaisir à lire.
A bientot j espère du coté de Toulouse....

Savate a écrit:On sort juste du cinéma Louis et moi...



Un film fort qui nous a beaucoup parlé, à l'un comme à l'autre.

Ca n'a pas l'air mal comme film....









ça me changera du boulot!

breizracer a écrit:


ça me changera du boulot!

Marrant, si on peut dire, je pensais à toi en voyant la bande de présentation . Bonnes critiques d'ailleurs, pour ce film.

Je ne voulais pas y aller et mes femmes n'ont finalement entraîné.

J'ai adoré ce film même si dans les premières minutes je fermais les yeux. Le milieu hospitalier ce n'est pas mon truc. Il faut dire que j'ai une fille infirmière, alors ...

Comme dans tout les bons films, on se laisse emporter pour avoir une vision de l'intérieur de ces services que je qualifierais d’extrêmes. Le film retrace l'histoire de Grand Corps Malade. Le film a été tourné dans des conditions réelles ( ambiances et acteurs)

C'est un film qui fait réfléchir au quotidien des gens très dépendants et finalement cela permet de relativiser nos petits bobos et surtout d’apprécier la vie quand le matin on se lève sans douleur.

A voir je vous le conseille , c'est un film hors standard sur le marché du cinéma.

Motocine a écrit:
Comme dans tout les bons films, on se laisse emporter pour avoir une vision de l'intérieur 

Ça s'appelle une coloscopie. 

Je suis allé le voir, je n'ai pu que le conseiller à mes collègues et amis. L'angle de vision côté patient est une bonne claque pour les soignants.
Déjà, hospitalisé, j'avais pu regarder dans ce sens, et on reconsidère les relations soignant-soigné de retour au boulot.  
Mais dans le film,  le manque d'empathie de certains soignants (surtout le premier, médecin surement) est très violent, mais malheureusement très présent en hosto ou long séjour...

breizracer a écrit:le manque d'empathie de certains soignants 

Mon épouse bosse à domicile, chez les gens, dans un milieu souvent médicalisé, même si elle n'est ni infirmière ni aide-soignante.

Elle me raconte parfois des situations où elle bosse, des fins de vie, des "soins pa" et autres joyeusetés, elle accompagne des mourants, parfois des jeunes femmes de 35 ans, etc...

Au fil des ans, elle a réussi à changer, au début elle revenait à la maison et je pouvais la ramasser à la petite cuillère, elle était effondrée presque à chaque décès.

Maintenant, elle gère, elle est obligée pour survivre émotionnellement, et donc, elle eut paraître "impersonnelle" à certains de ses patients. 

Je comprends très bien le personnel médical dans un hôpital et qui bosse comme un garagiste, à amputer des membres comme on change un amortisseur, à changer un cœur comme on change une pompe à huile. Cela ne me choque pas du tout, il y va de leur survie émotionnelle...

Tout à fait. Je connais aussi par mon épouse à moi. Pareil. C'est la seule façon de pouvoir tenir et faire correctement son boulot.
Et 'UUUUUUUtain, c'est des boulot qui ne sont pas payés à hauteur des responsabilités qu'ils demandent  ! 
Enfin, on s'en fout, Pénélope a eu sa part, c'est l'essentiel. La morale est sauve. *


* Désolé, mais dès fois je m'énerve. Faut dire que je bois au lieu de regarder la télé.

Francesco a écrit:Tout à fait. Je connais aussi par mon épouse à moi. Pareil. C'est la seule façon de pouvoir tenir et faire correctement son boulot.
Et 'UUUUUUUtain, c'est des boulot qui ne sont pas payés à hauteur des responsabilités qu'ils demandent  ! 
Enfin, on s'en fout, Pénélope a eu sa part, c'est l'essentiel. La morale est sauve. *


* Désolé, mais dès fois je m'énerve. Faut dire que je bois au lieu de regarder la télé.

Oui mais tu comprends, Pénélope survole ces problèmes, elle surfe, enchaîne.
En une mot Pénélope Cruz sur les emmerdes.

Le chapelet enroulé autour des doigts, en plus. Au cas où la croix ne suffirait pas.

Proteus a écrit:

breizracer a écrit:le manque d'empathie de certains soignants 

Mon épouse bosse à domicile, chez les gens, dans un milieu souvent médicalisé, même si elle n'est ni infirmière ni aide-soignante.

Elle me raconte parfois des situations où elle bosse, des fins de vie, des "soins pa" et autres joyeusetés, elle accompagne des mourants, parfois des jeunes femmes de 35 ans, etc...

Au fil des ans, elle a réussi à changer, au début elle revenait à la maison et je pouvais la ramasser à la petite cuillère, elle était effondrée presque à chaque décès.

Maintenant, elle gère, elle est obligée pour survivre émotionnellement, et donc, elle eut paraître "impersonnelle" à certains de ses patients. 

Je comprends très bien le personnel médical dans un hôpital et qui bosse comme un garagiste, à amputer des membres comme on change un amortisseur, à changer un cœur comme on change une pompe à huile. Cela ne me choque pas du tout, il y va de leur survie émotionnelle...

Il y a un juste milieu entre le fait de ne pas mettre de barrière entre soignant et patient-justement pour se préserver et garder une distance- et prendre un malade pour un objet déshumanisé. Travaillant en hosto, hosto psy et avec beaucoup de personnes agées, j'ai vu beaucoup de ces personnes mourir, ça ne m'a jamais touché ni attristé, même si je les avais pris en charge avec humanité , en restant à l'écoute de leur bien être et de leur confort.
Je ne suis pas non plus insensible à la mort de ces patients, mais disons que je passe quasi tout de suite à autre chose, sinon en effet, faut changer de boulot. Surtout en soins palliatifs!