Je décolle...
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Mick13
flattwin66
Francesco
Acatène
jbt
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Je décolle...
...dans une demi heure de Challes les Eaux pour faire un petit tour à Chinon, en Jodel, et retour par la route avec une R1150RT que mon pote pilote va acheter la-bas.
Une belle journée, et une belle ballade!
Une belle journée, et une belle ballade!
jbt
Re: Je décolle...
Y'en a qui ont pas des métiers faciles...
Bon vol, bonne route et puis la RT c'est cool avec les valises pour ramener un peu du breuvage local et juste à côté, il y a aussi le Vouvray...
Bon vol, bonne route et puis la RT c'est cool avec les valises pour ramener un peu du breuvage local et juste à côté, il y a aussi le Vouvray...
Re: Je décolle...
régale toi
j'avais fait le tour du lac avec un ami, en ULM, génial.
j'avais fait le tour du lac avec un ami, en ULM, génial.
____________________
“Due to budget constraints, the light at the end of the tunnel has been temporarily shut off. Please find your way in the dark.”
Mick13
Re: Je décolle...
jbt a écrit:...dans une demi heure de Challes les Eaux pour faire un petit tour à Chinon, en Jodel, et retour par la route avec une R1150RT que mon pote pilote va acheter la-bas.
Une belle journée, et une belle ballade!
'Tain, dis lui de rentrer en moto à ton pote !
C'est la sienne après tout !
Re: Je décolle...
Dommage jbt..............si tu avais prévenu plus tôt, on aurait pu casser la croûte ensemble ou boire un coup si tu étais pris par le temps
Dom
Re: Je décolle...
Bin voilà, bien rentré après une petite ballade de 1300 km dans la journée.
J'ai accompagné Jim, un homme de gout puisqu'il possède une R100RT Classic de 1995, entre autres qualités puisque c'est aussi un passionné d'aviation et de photo: un gars vraiment sympa et coooooool, un Jim Morrisson qui aurait été plus passionné par l'ouverture de son diaphragme d'appareil photo que par celle des portes de la perception, et qui est donc beaucoup moins mort que l'autre.
On décolle à 7h, parfait, on a le soleil dans le dos qui se lève au dessus des Alpes, temps super clair et calme, là haut tout n'est qu'ordre et beauté,luxe, calme et volupté... non, luxation, calme et volupté. Luxation des vertèbres, parce que je sais pas si vous êtes déjà monté dans un Jodel, mais me concernant, c'est un peu comme si on essayait de faire rentrer un intégral et un jet dans une valise Krauser.
Avec ses portes papillon façon 300SL, lorsqu'on arrive à en fermer une l'autre se déboite.
Heureusement que le terrain de décollage est bosselé, ça tasse un peu tout ça pour que ça rentre et j'arrive à trouver une position qui rend compatible la fermeture du cockpit, un mouvement libre du manche (qui me compresse un peu le testicule gauche dans les approches main droite (meuh non, c'est une technique d'atterrissage, pas d'attouchement), une irrigation des membres inférieurs et une respiration qui me permettra de vivre jusqu'à ce que je m'écrase, ou que je meure asphyxié par les vapeurs de 100LL qui imprègnent le cockpit, émanant du réservoir placé juste au dessus de nos jambes. Heureusement qu'il y a des trous partout dans la verrière, ça aère.
Sanglé dans le harnais, la tête emprisonné dans le casque, le manchon du micro enfourné dans la bouche, je réalise alors que pour moi c'est une première:
Je n'avais jamais fait de séance SM bondage à si haute altitude.
Mais comment va-t'il pouvoir me fouetter, il n'y a plus la place?
J'ai compris pourquoi les avions volent: c'est tout simplement pour atténuer le sentiment de claustrophobie à l'intérieur en proposant une vue extérieure aérée.
Bref, heureusement qu'en bas, on profite du looooooong ruban d'autres martyrs qui vont au boulot emprisonnés dans leur boitaroues, on relativise, au moins, on a une belle vue et on va pas bosser aujourd'hui. La voix suaaaaave d'une contrôleuse aérienne de Lyon St Exupéry me détend un peu plus, me permettant de m'enfoncer d'une vertèbre supplémentaire sur mon siège (pratique la barre rigide derrière le dos, ça permet de cranter la position et de faire moins d'efforts pour la tenir. En plus, en cas de crash, ça permet de choisir laquelle tu veux te fracturer, et ton degré d'invalidité qui en résultera "ah bin oui, là, vous ne pourrez plus bouger vos jambes, mais c'est 240€ d'indemnité mensuels. La vertébré au dessus, c'est le bingo! Bonus substantiel, et anus artificiel!" Je vais breveter ce cliquet vertébral.
Bon, je m'angoisse pour rien, hein, je n'ai pas du tout peur de mourir d'un crash. Par contre, d'asphyxie ou de gangrène, ça se pourrait.
Passé Lyon et les Monts du Lyonnais, on met le cap sur Vichy où on doit atterrir pour faire le plein. Mais...au fait? Altimètre, vario, ampèremetre,
boussole, pression d'huile, compte tours..."ya pas de jauge dans ton zinc?" "si, 'gad, juste devant, le bouchon du réservoir: ya une tige métallique qui dépasse du bouchon percé, qui est reliée à un flotteur. Mais avec la pression de l'air, en vol, la tige est plaquée contre l'orifice du bouchon et ça la bloque. Alors pour savoir le niveau, faut couper les gaz et tirer le manche pour arrêter l'avion."
Imparable. Un robinet de réserve, c'est pas mal non plus...
On se pose à Vichy 1h et des poussières plus tard, le cockpit fait un bruit d'ouverture de bocal de fruits au sirops une fois déverrouillé, mais ce sont mes disques intervertébraux qui crépitent de soulagement. Un plein à 2€/L, et zou, on repart, et cette fois, c'est moi quiconduit pilote essaye de faire tenir cette saloperie en l'air et sur le bon cap!
J'avais déjà piloté un peu sur Cessna et en planeur (et sur Playstation, beaucoup plus), mais bondiou que c'est tordu ce truc! Même sans vent, il faut toujours compenser, il vole un peu en crabe et le trim de compensation est déjà en butée. Bof, c'est comme le side en fait, ça tire tout le temps d'un côté, la trajectoire subit l'environnement extérieur et on lève les passagers, mais beaucoup plus haut!
Ca va, je me fais au truc, Jim se contente de gérer la radio et je me démerde avec le reste, finalement c'est un peu ennuyeux, ça manque d'épingles, je cherche un Zéro avec qui faire la course mais j'en trouve pas, alors pour compliquer on arrive dans une zone un peu plus nuageuse à une centaine de km du but.
J'ai enfin réalisé un rêve de gamin: passer à travers un nuage!
Bin je suis déçu, ça n'a pas du tout le gout ni la consistance de la barbapapa.
Par contre, ça commence à bouger pas mal. Vent de nord et pas mal de turbulences, on est obligé de descendre de 3500 à 2000 pieds pour passer sous la couche de nuages qui s'épaissit et conserver une bonne visibilité du sol. Là, OK, le GPS est utile. J'ose pas imaginer dans une telle situation, sans visibilité, de devoir faire son cap juste avec les cartes et la boussole...
Du coup, la dernière heure de vol est moins sereine, mais je m'ennuie beaucoup moins à tenter de conserver le cap et l'altitude en étant chahuté comme un prof débutant affecté en ZEP sans formation.
Tant bien que mal, on parvient à Loudun, on a un peu de mal à repérer le terrain (bin oui, une piste en herbe au millieu des champs...) alors on lui tombe dessus presque par hasard. J'aurais bien tenté un atterrissage, mais vu le lacet, j'ai pas voulu tenter le diable et Jim à repris les commandes pour poser le coucou.
Ya pas à tortiller, c'est rapide: 3h30 pour faire un peu plus de 600 km!
Un gars nous récupère au bord de la piste, nous emmène à Chinon, essai de la moto, affaire conclue, je voulais repartir tôt mais la banque merdoie dans le virement et comme le vendeur est restaurateur, on repousse le départ après 14h. Je redépose Jim à son avion et je reprends la même route, mais plus bas, et dans l'autre sens.
Je ne connaissais pas particulièrement les R1150RT: j'avais eu à l'essai une R850RT, et une 1100GS perso. Parait que c'est une très bonne moto GT, on va voir. Je prends pas l'autoroute, j'aime pas, et les routes sont toutes droites par ici, c'est pareil.
Question confort, le train avant est royal, c'est vrai. L'amorto arrière un peu faiblard, mais je ne l'avais pas réglé à mon poids et j'ai des bagages. Le freinage assisté (mais pas intégralement intégral, l'arrière reste indépendant) est vraiment très puissant, c'est impressionnant.
Par contre, j'ai été très déçu du moteur, qui donne l'impression de mouliner sur les 5 premiers rapports avant d'enquiller la 6e surmultipliée. Bonne idée, cette 6e longue, mais par contre l'étagement en dessous est franchement trop rapproché et court.
Il y a quelques trous à l'accélération, le moteur a besoin d'un bon réglage, visiblement.
La protection ne vaut pas celle de ma K: la bulle est toute petite et très, très bruyante, même en position haute. Du coup, c'est même pas la peine d'allumer la radio...surtout qu'il faut utiliser la clé de contact pour l'allumer, pas faisable en route!
Forcément, c'est beaucoup plus long par la route: Chatelleraut, Chateauroux, Moulins, j'arrive vers 20h à Macon ou je casse la croûte avec Denis. Puis je reprends un bout d'autoroute avant de traverser le Bugey en évitant les biches (très bien le freinage, très bien!). L'éclairage est bizarre en code, le faisceau a des spots très lumineux et d'autres presque aveugles, par contre avec les anti-brouillards, alors là, c'est royal, et visiblement pas gênant pour les autres usagers.
Petite cerise sur le gâteau, le tunnel du Chat est fermé la nuit, donc j'emprunte le col avant de retrouver fourbu a minuit mon lit...
J'ai accompagné Jim, un homme de gout puisqu'il possède une R100RT Classic de 1995, entre autres qualités puisque c'est aussi un passionné d'aviation et de photo: un gars vraiment sympa et coooooool, un Jim Morrisson qui aurait été plus passionné par l'ouverture de son diaphragme d'appareil photo que par celle des portes de la perception, et qui est donc beaucoup moins mort que l'autre.
On décolle à 7h, parfait, on a le soleil dans le dos qui se lève au dessus des Alpes, temps super clair et calme, là haut tout n'est qu'ordre et beauté,
Avec ses portes papillon façon 300SL, lorsqu'on arrive à en fermer une l'autre se déboite.
Heureusement que le terrain de décollage est bosselé, ça tasse un peu tout ça pour que ça rentre et j'arrive à trouver une position qui rend compatible la fermeture du cockpit, un mouvement libre du manche (qui me compresse un peu le testicule gauche dans les approches main droite (meuh non, c'est une technique d'atterrissage, pas d'attouchement), une irrigation des membres inférieurs et une respiration qui me permettra de vivre jusqu'à ce que je m'écrase, ou que je meure asphyxié par les vapeurs de 100LL qui imprègnent le cockpit, émanant du réservoir placé juste au dessus de nos jambes. Heureusement qu'il y a des trous partout dans la verrière, ça aère.
Sanglé dans le harnais, la tête emprisonné dans le casque, le manchon du micro enfourné dans la bouche, je réalise alors que pour moi c'est une première:
Je n'avais jamais fait de séance SM bondage à si haute altitude.
Mais comment va-t'il pouvoir me fouetter, il n'y a plus la place?
J'ai compris pourquoi les avions volent: c'est tout simplement pour atténuer le sentiment de claustrophobie à l'intérieur en proposant une vue extérieure aérée.
Bref, heureusement qu'en bas, on profite du looooooong ruban d'autres martyrs qui vont au boulot emprisonnés dans leur boitaroues, on relativise, au moins, on a une belle vue et on va pas bosser aujourd'hui. La voix suaaaaave d'une contrôleuse aérienne de Lyon St Exupéry me détend un peu plus, me permettant de m'enfoncer d'une vertèbre supplémentaire sur mon siège (pratique la barre rigide derrière le dos, ça permet de cranter la position et de faire moins d'efforts pour la tenir. En plus, en cas de crash, ça permet de choisir laquelle tu veux te fracturer, et ton degré d'invalidité qui en résultera "ah bin oui, là, vous ne pourrez plus bouger vos jambes, mais c'est 240€ d'indemnité mensuels. La vertébré au dessus, c'est le bingo! Bonus substantiel, et anus artificiel!" Je vais breveter ce cliquet vertébral.
Bon, je m'angoisse pour rien, hein, je n'ai pas du tout peur de mourir d'un crash. Par contre, d'asphyxie ou de gangrène, ça se pourrait.
Passé Lyon et les Monts du Lyonnais, on met le cap sur Vichy où on doit atterrir pour faire le plein. Mais...au fait? Altimètre, vario, ampèremetre,
boussole, pression d'huile, compte tours..."ya pas de jauge dans ton zinc?" "si, 'gad, juste devant, le bouchon du réservoir: ya une tige métallique qui dépasse du bouchon percé, qui est reliée à un flotteur. Mais avec la pression de l'air, en vol, la tige est plaquée contre l'orifice du bouchon et ça la bloque. Alors pour savoir le niveau, faut couper les gaz et tirer le manche pour arrêter l'avion."
Imparable. Un robinet de réserve, c'est pas mal non plus...
On se pose à Vichy 1h et des poussières plus tard, le cockpit fait un bruit d'ouverture de bocal de fruits au sirops une fois déverrouillé, mais ce sont mes disques intervertébraux qui crépitent de soulagement. Un plein à 2€/L, et zou, on repart, et cette fois, c'est moi qui
J'avais déjà piloté un peu sur Cessna et en planeur (et sur Playstation, beaucoup plus), mais bondiou que c'est tordu ce truc! Même sans vent, il faut toujours compenser, il vole un peu en crabe et le trim de compensation est déjà en butée. Bof, c'est comme le side en fait, ça tire tout le temps d'un côté, la trajectoire subit l'environnement extérieur et on lève les passagers, mais beaucoup plus haut!
Ca va, je me fais au truc, Jim se contente de gérer la radio et je me démerde avec le reste, finalement c'est un peu ennuyeux, ça manque d'épingles, je cherche un Zéro avec qui faire la course mais j'en trouve pas, alors pour compliquer on arrive dans une zone un peu plus nuageuse à une centaine de km du but.
J'ai enfin réalisé un rêve de gamin: passer à travers un nuage!
Bin je suis déçu, ça n'a pas du tout le gout ni la consistance de la barbapapa.
Par contre, ça commence à bouger pas mal. Vent de nord et pas mal de turbulences, on est obligé de descendre de 3500 à 2000 pieds pour passer sous la couche de nuages qui s'épaissit et conserver une bonne visibilité du sol. Là, OK, le GPS est utile. J'ose pas imaginer dans une telle situation, sans visibilité, de devoir faire son cap juste avec les cartes et la boussole...
Du coup, la dernière heure de vol est moins sereine, mais je m'ennuie beaucoup moins à tenter de conserver le cap et l'altitude en étant chahuté comme un prof débutant affecté en ZEP sans formation.
Tant bien que mal, on parvient à Loudun, on a un peu de mal à repérer le terrain (bin oui, une piste en herbe au millieu des champs...) alors on lui tombe dessus presque par hasard. J'aurais bien tenté un atterrissage, mais vu le lacet, j'ai pas voulu tenter le diable et Jim à repris les commandes pour poser le coucou.
Ya pas à tortiller, c'est rapide: 3h30 pour faire un peu plus de 600 km!
Un gars nous récupère au bord de la piste, nous emmène à Chinon, essai de la moto, affaire conclue, je voulais repartir tôt mais la banque merdoie dans le virement et comme le vendeur est restaurateur, on repousse le départ après 14h. Je redépose Jim à son avion et je reprends la même route, mais plus bas, et dans l'autre sens.
Je ne connaissais pas particulièrement les R1150RT: j'avais eu à l'essai une R850RT, et une 1100GS perso. Parait que c'est une très bonne moto GT, on va voir. Je prends pas l'autoroute, j'aime pas, et les routes sont toutes droites par ici, c'est pareil.
Question confort, le train avant est royal, c'est vrai. L'amorto arrière un peu faiblard, mais je ne l'avais pas réglé à mon poids et j'ai des bagages. Le freinage assisté (mais pas intégralement intégral, l'arrière reste indépendant) est vraiment très puissant, c'est impressionnant.
Par contre, j'ai été très déçu du moteur, qui donne l'impression de mouliner sur les 5 premiers rapports avant d'enquiller la 6e surmultipliée. Bonne idée, cette 6e longue, mais par contre l'étagement en dessous est franchement trop rapproché et court.
Il y a quelques trous à l'accélération, le moteur a besoin d'un bon réglage, visiblement.
La protection ne vaut pas celle de ma K: la bulle est toute petite et très, très bruyante, même en position haute. Du coup, c'est même pas la peine d'allumer la radio...surtout qu'il faut utiliser la clé de contact pour l'allumer, pas faisable en route!
Forcément, c'est beaucoup plus long par la route: Chatelleraut, Chateauroux, Moulins, j'arrive vers 20h à Macon ou je casse la croûte avec Denis. Puis je reprends un bout d'autoroute avant de traverser le Bugey en évitant les biches (très bien le freinage, très bien!). L'éclairage est bizarre en code, le faisceau a des spots très lumineux et d'autres presque aveugles, par contre avec les anti-brouillards, alors là, c'est royal, et visiblement pas gênant pour les autres usagers.
Petite cerise sur le gâteau, le tunnel du Chat est fermé la nuit, donc j'emprunte le col avant de retrouver fourbu a minuit mon lit...
jbt
Re: Je décolle...
Excellent !!!
J'aimerai bien monter dans un coucou pareil, une fois...
'Tain, t'étais à 70 bornes de chez moi, tu pouvais appeler, qu'on casse la graine du midi ensemble...
J'aimerai bien monter dans un coucou pareil, une fois...
'Tain, t'étais à 70 bornes de chez moi, tu pouvais appeler, qu'on casse la graine du midi ensemble...
Re: Je décolle...
J'y ai pensé, mais je croyais que tu étais beaucoup plus loin que ça...et j'avais pas prévu de rester pour casser la croute sur place.
Bof, pas grave, toi ça te fait pas peur de faire 1500km dans la journée, du coup on se reverra! Tu vas à Dijon?
Bof, pas grave, toi ça te fait pas peur de faire 1500km dans la journée, du coup on se reverra! Tu vas à Dijon?
jbt
Re: Je décolle...
Avec cette virée en Jodel tu me rappelles des souvenirs de gosse quand mon père nous amenait de temps en temps survoler les côtes Bretonnes dans un tel appareil (dans tous les sens du terme...).
Il nous avait prévenu au préalable que ça faisait du bruit comme dix 2CV et que c'était très sensible aux trous d'air, qu'il ne fallait pas s'affoler quand ça bougeait un peu.
Effectivement, voler sur, sous et dans les nuages c'est quelque chose de fabuleux; et la vue d'en haut c'est bon aussi.
Il nous avait prévenu au préalable que ça faisait du bruit comme dix 2CV et que c'était très sensible aux trous d'air, qu'il ne fallait pas s'affoler quand ça bougeait un peu.
Effectivement, voler sur, sous et dans les nuages c'est quelque chose de fabuleux; et la vue d'en haut c'est bon aussi.
Francesco
Re: Je décolle...
Non, je vais pas à Dijon cette année, je vais faire quelques économies pour faire des travaux dans la maison. Donc les trucs déjà faits et hyper loin, je vais attendre l'année prochaine...
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