Moto Revue Classic #129
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Re: Moto Revue Classic #129
Je viens d'achever la lecture de ces articles ; R90S et centenaire du musée BMW.
C'est affligeant.
Je me demande si les journalistes font lire leurs articles à leurs informateurs ?
J'ai relevé quatre conneries, c'est dans la moyenne du genre pour le format (14 pages).
Des exemples ?
voilà :
page 32, Paul Bracq, n'a pas dessiné uniquement le dosseret de la selle mais la silhouette complète de la moto ; tête de fourche, caches latéraux et dosseret de selle. Mieux encore, alors patron du design auto et moto* Bracq réalisa discrètement, une maquette échelle 1 sur une moto.
(*le département design sera créé peu après, Bracq en accord avec le directoire, confia la direction à Hans Muth qui depuis 50 ans c'est approprié le dessin original).
page 41, la légende portant sur la moto bleue en fond d'image ; Au fond une paisible R50/5 des années 70 qui atteint péniblement 160Km/h L'amateur éclairé aura reconnu les carbus Bing à dépression des 750 alors que les 500 et 600 ce sont des carbus biens différents. le lecteur lambda pourra aussi lire BMW R75/5 en lieu et place de la plaque d'immatriculation.
page 43, image 4, le proto flat-twin 2 temps date de 1947, pas des années 50'. Le moteur conçu par Biefang et Behringer ne sera pas retenu par Kurth Donath le directeur de l'époque.
page 44, image 1, ce n'est pas un moteur de R32 à côté d'un R18 mais un BMW M 2 B 15. Ce moteur, copié sur le Douglas latéral de 350cm3 était vendu à différents constructeurs. Le moteur de la R32 c'est le M 2 B 33 non disponible aux autres constructeurs. Pour les puristes, l'engin photographié serait selon moi une variante livrés à la firme Hélios -la prise d'air du carburateur est orientés côté cylindre arrière, Pour Victoria, il est placé verticalement en périscope dirigé vers l'arrière.
C'est affligeant.
Je me demande si les journalistes font lire leurs articles à leurs informateurs ?
J'ai relevé quatre conneries, c'est dans la moyenne du genre pour le format (14 pages).
Des exemples ?
voilà :
page 32, Paul Bracq, n'a pas dessiné uniquement le dosseret de la selle mais la silhouette complète de la moto ; tête de fourche, caches latéraux et dosseret de selle. Mieux encore, alors patron du design auto et moto* Bracq réalisa discrètement, une maquette échelle 1 sur une moto.
(*le département design sera créé peu après, Bracq en accord avec le directoire, confia la direction à Hans Muth qui depuis 50 ans c'est approprié le dessin original).
page 41, la légende portant sur la moto bleue en fond d'image ; Au fond une paisible R50/5 des années 70 qui atteint péniblement 160Km/h L'amateur éclairé aura reconnu les carbus Bing à dépression des 750 alors que les 500 et 600 ce sont des carbus biens différents. le lecteur lambda pourra aussi lire BMW R75/5 en lieu et place de la plaque d'immatriculation.
page 43, image 4, le proto flat-twin 2 temps date de 1947, pas des années 50'. Le moteur conçu par Biefang et Behringer ne sera pas retenu par Kurth Donath le directeur de l'époque.
page 44, image 1, ce n'est pas un moteur de R32 à côté d'un R18 mais un BMW M 2 B 15. Ce moteur, copié sur le Douglas latéral de 350cm3 était vendu à différents constructeurs. Le moteur de la R32 c'est le M 2 B 33 non disponible aux autres constructeurs. Pour les puristes, l'engin photographié serait selon moi une variante livrés à la firme Hélios -la prise d'air du carburateur est orientés côté cylindre arrière, Pour Victoria, il est placé verticalement en périscope dirigé vers l'arrière.
ffrd
Re: Moto Revue Classic #129
ffrd a écrit:Je viens d'achever la lecture de ces articles ; R90S et centenaire du musée BMW.
C'est affligeant.
Je me demande si les journalistes font lire leurs articles à leurs informateurs ?
J'ai relevé quatre conneries, c'est dans la moyenne du genre pour le format (14 pages).
Des exemples ?
voilà :
page 32, Paul Bracq, n'a pas dessiné uniquement le dosseret de la selle mais la silhouette complète de la moto ; tête de fourche, caches latéraux et dosseret de selle. Mieux encore, alors patron du design auto et moto* Bracq réalisa discrètement, une maquette échelle 1 sur une moto.
(*le département design sera créé peu après, Bracq en accord avec le directoire, confia la direction à Hans Muth qui depuis 50 ans c'est approprié le dessin original).
Quelles sont tes sources STP ?
goeland_
Re: Moto Revue Classic #129
J'aime bien aussi le "Frein de direction......"ffrd a écrit:Je viens d'achever la lecture de ces articles ; R90S et centenaire du musée BMW.
C'est affligeant.
Je me demande si les journalistes font lire leurs articles à leurs informateurs ?
J'ai relevé quatre conneries, c'est dans la moyenne du genre pour le format (14 pages).
Des exemples ?
voilà :
page 32, Paul Bracq, n'a pas dessiné uniquement le dosseret de la selle mais la silhouette complète de la moto ; tête de fourche, caches latéraux et dosseret de selle. Mieux encore, alors patron du design auto et moto* Bracq réalisa discrètement, une maquette échelle 1 sur une moto.
(*le département design sera créé peu après, Bracq en accord avec le directoire, confia la direction à Hans Muth qui depuis 50 ans c'est approprié le dessin original).
page 41, la légende portant sur la moto bleue en fond d'image ; Au fond une paisible R50/5 des années 70 qui atteint péniblement 160Km/h L'amateur éclairé aura reconnu les carbus Bing à dépression des 750 alors que les 500 et 600 ce sont des carbus biens différents. le lecteur lambda pourra aussi lire BMW R75/5 en lieu et place de la plaque d'immatriculation.
page 43, image 4, le proto flat-twin 2 temps date de 1947, pas des années 50'. Le moteur conçu par Biefang et Behringer ne sera pas retenu par Kurth Donath le directeur de l'époque.
page 44, image 1, ce n'est pas un moteur de R32 à côté d'un R18 mais un BMW M 2 B 15. Ce moteur, copié sur le Douglas latéral de 350cm3 était vendu à différents constructeurs. Le moteur de la R32 c'est le M 2 B 33 non disponible aux autres constructeurs. Pour les puristes, l'engin photographié serait selon moi une variante livrés à la firme Hélios -la prise d'air du carburateur est orientés côté cylindre arrière, Pour Victoria, il est placé verticalement en périscope dirigé vers l'arrière.
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Re: Moto Revue Classic #129
Moto Revue N° 2144 26/10/73, rubrique de M; Droulhiole "moto mag" petits secrets de grandes marques ;
H Muth, n'a jamais cité Bracq, normal, après BMW il monte son propre bureau d'étude...
Paul Bracq développe le "Concept Turbo" en 1972, matez le dégradé de peinture
Concept BMW Turbo : retour vers le futur - Guide Auto (guideautoweb.com)
extraits issus du site cité ci dessus :
C’est à l’initiative de Bob Lutz, embauché chez BMW en décembre 1971, et du designer français Paul Bracq que la marque décidera de réaliser le premier véhicule concept de son histoire, afin de célébrer les Jeux de Munich. Bracq a été l’un des designers les plus influents des années 60 et 70. Il a travaillé pour Mercedes-Benz de 1957 à 1967, où il a, entre autres, dessiné les 600, SL à toit pagode, W108, les séries Heckflosse (W108, W109, W110, W111, W112) et Strich-Acht (W114, W115).
En 1967, il part chez le carrossier français Brissonneau et Lotz. Il y réalisera différents modèles de petite série (y compris pour BMW) ainsi que le prototype du train à grande vitesse TGV 001. En 1970, il est engagé par BMW comme directeur du design pour remplacer Wilhelm Hofmeister. Là, il pourra remodeler le style de la marque et la faire rentrer dans une ère moderne en signant les premières Série 5 (E12, 1972), Série 3 (E21, 1975), Série 6 (E24, 1976) et Série 7 (E23, 1977). En 1974, il partira travailler chez Peugeot en tant que responsable des intérieurs. Il concevra aussi plusieurs concepts pour ce fabricant avant de prendre sa retraite en 1996. Bracq est également un sculpteur et dessinateur reconnu.
Les délais sont courts : à peine six mois avant le début des Jeux. Heureusement, Bracq exécute les premiers dessins en une nuit. Ils sont très proches du véhicule final, les différences majeures étant le passage de roue arrière et la couleur. Il imagine un coupé à portes papillon avec des pare-chocs en plastique intégrés à la carrosserie et remplis de mousse pour absorber les impacts. Les fameux haricots, symbole de la marque, y sont incorporés et les phares sont escamotables. Le Français utilise une fine ligne noire qui fait tout le tour de l’auto pour modifier la perception de la ceinture de caisse et ainsi faire paraître la voiture encore plus basse (une technique qui sera utilisée plus tard sur la Ferrari F40).
Pour ce concept, la direction de BMW a une demande : imaginer « la voiture de sport la plus sûre jamais construite ». C’est pourquoi, outre la cage de sécurité intégrée et de la colonne de direction déformable à trois joints, la Turbo embarque de nombreuses technologies innovantes : moniteur de distance de freinage à radar, freins ABS, capteur d’accélération latérale, ceintures de sécurité reliées à l’allumage (l’auto ne peut pas être démarrée si les ceintures ne sont pas mises) et des pare-chocs montés sur vérins hydrauliques.
La plate-forme est un châssis profondément modifié de 2002 (produite de 1966 à 1977) avec le groupe propulseur placé en position centrale arrière. Le moteur est le M10 (lancé en 1962) dans sa version 2 litres auquel les ingénieurs ont greffé un turbo KKK BLD et une injection mécanique Schafer. Selon l’ajustement de la pression du turbo, il développe de 200 à 280 chevaux. Il est couplé à une boîte manuelle à 4 rapports Getrag alors qu’un différentiel à glissement limité ZF est aussi installé. BMW revendique des performances de haut niveau : 0 à 100 km/h en 6,6 s et une vitesse de pointe de 250 km/h, malgré un poids de 1 272 kilos.
L’intérieur est réalisé par Wolfgang Seehaus et Hans A. Muth. Il institue une tradition BMW pour de nombreuses années à venir (et introduite en série sur la E21 de 1975) : la console centrale inclinée vers le conducteur. L’instrumentation est complète et comprend un système d’analyse des fonctions de la voiture, le précurseur du « Centre de Contrôle » qui sera inauguré avec la Série 6.
En septembre 1972, la marque décide de la construction d’un deuxième exemplaire, toujours par Michelotti. Il sera dédié, dans un premier temps, à de nombreux tests en soufflerie et sur route puis, dans un second temps, à faire le tour des salons internationaux. BMW ressort ce concept l’année suivante, au Salon de Francfort 1973, pour soutenir le lancement de la 2002 Turbo. Ce modèle embarque le même moteur M10 turbo mais il développe « seulement » 170 chevaux. Il bénéficie d’un ensemble d’autocollants qui feront scandale en Allemagne.
Le mot « Turbo » est placé à l’envers sur le pare-chocs avant afin de signifier à ceux qui regardent dans leur rétroviseur « Tasse-toi mon onc’! ». Seuls 1 672 exemplaires seront fabriqués. Le concept Turbo est alors dans une finition de rouge dégradé tirant sur le bordeaux (à la demande de Bob Lutz) et reçoit des caches sur les roues arrière. Ensuite, il continuera le tour des salons, notamment en Amérique, durant 1973 et 1974. Entre-temps, il aura reçu le titre de « Concept de l’année 1973 », décerné par la Revue automobile suisse.
Au-delà des différentes innovations qui se retrouveront sur des BMW de série, l’héritage le plus important de la Turbo est bien sûr la M1. Ce coupé, produit à 455 exemplaires de 1978 à 1981, laissera une trace indélébile chez les amateurs de la marque à l’hélice et obtiendra un joli palmarès en compétition. Et dire qu’au départ, la direction n’était pas très chaude à l’idée de réaliser un concept…
H Muth, n'a jamais cité Bracq, normal, après BMW il monte son propre bureau d'étude...
Paul Bracq développe le "Concept Turbo" en 1972, matez le dégradé de peinture
Concept BMW Turbo : retour vers le futur - Guide Auto (guideautoweb.com)
extraits issus du site cité ci dessus :
C’est à l’initiative de Bob Lutz, embauché chez BMW en décembre 1971, et du designer français Paul Bracq que la marque décidera de réaliser le premier véhicule concept de son histoire, afin de célébrer les Jeux de Munich. Bracq a été l’un des designers les plus influents des années 60 et 70. Il a travaillé pour Mercedes-Benz de 1957 à 1967, où il a, entre autres, dessiné les 600, SL à toit pagode, W108, les séries Heckflosse (W108, W109, W110, W111, W112) et Strich-Acht (W114, W115).
En 1967, il part chez le carrossier français Brissonneau et Lotz. Il y réalisera différents modèles de petite série (y compris pour BMW) ainsi que le prototype du train à grande vitesse TGV 001. En 1970, il est engagé par BMW comme directeur du design pour remplacer Wilhelm Hofmeister. Là, il pourra remodeler le style de la marque et la faire rentrer dans une ère moderne en signant les premières Série 5 (E12, 1972), Série 3 (E21, 1975), Série 6 (E24, 1976) et Série 7 (E23, 1977). En 1974, il partira travailler chez Peugeot en tant que responsable des intérieurs. Il concevra aussi plusieurs concepts pour ce fabricant avant de prendre sa retraite en 1996. Bracq est également un sculpteur et dessinateur reconnu.
Les délais sont courts : à peine six mois avant le début des Jeux. Heureusement, Bracq exécute les premiers dessins en une nuit. Ils sont très proches du véhicule final, les différences majeures étant le passage de roue arrière et la couleur. Il imagine un coupé à portes papillon avec des pare-chocs en plastique intégrés à la carrosserie et remplis de mousse pour absorber les impacts. Les fameux haricots, symbole de la marque, y sont incorporés et les phares sont escamotables. Le Français utilise une fine ligne noire qui fait tout le tour de l’auto pour modifier la perception de la ceinture de caisse et ainsi faire paraître la voiture encore plus basse (une technique qui sera utilisée plus tard sur la Ferrari F40).
Pour ce concept, la direction de BMW a une demande : imaginer « la voiture de sport la plus sûre jamais construite ». C’est pourquoi, outre la cage de sécurité intégrée et de la colonne de direction déformable à trois joints, la Turbo embarque de nombreuses technologies innovantes : moniteur de distance de freinage à radar, freins ABS, capteur d’accélération latérale, ceintures de sécurité reliées à l’allumage (l’auto ne peut pas être démarrée si les ceintures ne sont pas mises) et des pare-chocs montés sur vérins hydrauliques.
La plate-forme est un châssis profondément modifié de 2002 (produite de 1966 à 1977) avec le groupe propulseur placé en position centrale arrière. Le moteur est le M10 (lancé en 1962) dans sa version 2 litres auquel les ingénieurs ont greffé un turbo KKK BLD et une injection mécanique Schafer. Selon l’ajustement de la pression du turbo, il développe de 200 à 280 chevaux. Il est couplé à une boîte manuelle à 4 rapports Getrag alors qu’un différentiel à glissement limité ZF est aussi installé. BMW revendique des performances de haut niveau : 0 à 100 km/h en 6,6 s et une vitesse de pointe de 250 km/h, malgré un poids de 1 272 kilos.
L’intérieur est réalisé par Wolfgang Seehaus et Hans A. Muth. Il institue une tradition BMW pour de nombreuses années à venir (et introduite en série sur la E21 de 1975) : la console centrale inclinée vers le conducteur. L’instrumentation est complète et comprend un système d’analyse des fonctions de la voiture, le précurseur du « Centre de Contrôle » qui sera inauguré avec la Série 6.
Un bel héritage
Afin de respecter le calendrier, la construction du prototype est confiée au carrossier turinois Michelotti, qui a déjà travaillé avec BMW sur les Neue Klasse de 1962 et Série 02 de 1966. La voiture, code E25, est dévoilée à la presse le 23 août 1972, soit trois jours avant le début des Jeux. Mais la direction préfère mettre l’accent sur la Série 5. Alors, le public ne pourra la voir qu’à partir du 5 octobre, au Salon de l’auto de Paris. Il est largement séduit par le modèle qui est, à ce moment, dans une livrée rouge uniforme et n’a pas de couvre roues à l’arrière.En septembre 1972, la marque décide de la construction d’un deuxième exemplaire, toujours par Michelotti. Il sera dédié, dans un premier temps, à de nombreux tests en soufflerie et sur route puis, dans un second temps, à faire le tour des salons internationaux. BMW ressort ce concept l’année suivante, au Salon de Francfort 1973, pour soutenir le lancement de la 2002 Turbo. Ce modèle embarque le même moteur M10 turbo mais il développe « seulement » 170 chevaux. Il bénéficie d’un ensemble d’autocollants qui feront scandale en Allemagne.
Le mot « Turbo » est placé à l’envers sur le pare-chocs avant afin de signifier à ceux qui regardent dans leur rétroviseur « Tasse-toi mon onc’! ». Seuls 1 672 exemplaires seront fabriqués. Le concept Turbo est alors dans une finition de rouge dégradé tirant sur le bordeaux (à la demande de Bob Lutz) et reçoit des caches sur les roues arrière. Ensuite, il continuera le tour des salons, notamment en Amérique, durant 1973 et 1974. Entre-temps, il aura reçu le titre de « Concept de l’année 1973 », décerné par la Revue automobile suisse.
Au-delà des différentes innovations qui se retrouveront sur des BMW de série, l’héritage le plus important de la Turbo est bien sûr la M1. Ce coupé, produit à 455 exemplaires de 1978 à 1981, laissera une trace indélébile chez les amateurs de la marque à l’hélice et obtiendra un joli palmarès en compétition. Et dire qu’au départ, la direction n’était pas très chaude à l’idée de réaliser un concept…
Dernière édition par ffrd le Ven 11 Aoû 2023 - 19:03, édité 2 fois
ffrd
Re: Moto Revue Classic #129
Pourquoi s'offusquer de ces erreurs dans une revue destinée aux béotiens?
C'est pas là dedans que les gens sérieux vont chercher des infos pointues
Les images sont aguicheuses et la mise en page attirante. La clientele visée est contente.
Enfin c'était comme ça la dernière fois que j'ai feuilleté cette gentille revue de vulgarisation.
C'est pas là dedans que les gens sérieux vont chercher des infos pointues
Les images sont aguicheuses et la mise en page attirante. La clientele visée est contente.
Enfin c'était comme ça la dernière fois que j'ai feuilleté cette gentille revue de vulgarisation.
Re: Moto Revue Classic #129
Pour 50 francs, je voudrais en avoir pour mon argent.
Je suis amateur de motos en général, j'aime les BMW en particulier et je m'y connais pas plus que ça, mais si ces conneries sont valables pour BMW, qu'en est-il des autres marques ?
50 francs c'est cher payé.
Je suis amateur de motos en général, j'aime les BMW en particulier et je m'y connais pas plus que ça, mais si ces conneries sont valables pour BMW, qu'en est-il des autres marques ?
50 francs c'est cher payé.
ffrd
Re: Moto Revue Classic #129
nortonton a écrit:Pourquoi s'offusquer de ces erreurs dans une revue destinée aux béotiens?
C'est pas là dedans que les gens sérieux vont chercher des infos pointues
Les images sont aguicheuses et la mise en page attirante. La clientele visée est contente.
Enfin c'était comme ça la dernière fois que j'ai feuilleté cette gentille revue de vulgarisation.
Je confirme!!
J'ai "la chance" d'avoir été abonné par quelqu'un qui voulait me faire plaisir, et a hésité avec Moto-Légende... Mauvaise pioche ... et cruelle erreur
Quand on a connu Moto-Revue il y a 50 ans, c'est un peu gonflant de voir ce que c'est devenu. Ils ont dû suivre la mode "vintage bobo".
daniel24
Re: Moto Revue Classic #129
Je suis un peu (beaucoup) de l'avis de François, à plus de sept Euros le magasine, les journalistes moto, devraient, à mon sens, chercher un peu dans l'immense littérature motocycliste ... ils sont là pour donner les bonnes infos, c'est leur métier, non
Seven
Re: Moto Revue Classic #129
Étonnant d' acheter ces livres d'images recyclées et d'articles bâclés baignant dans la pub, tout en sachant qu'on va être déçu .
Re: Moto Revue Classic #129
nortonton a écrit:Étonnant d' acheter ces livres d'images recyclées et d'articles bâclés baignant dans la pub, tout en sachant qu'on va être déçu .
Tellement d’accord !
Les articles de MR qui datent de la sortie de la 90S sont probablement les plus fiables.
Depuis, et grâce entre autres au fameux Alan Cathcart, on lit beaucoup d’âneries, pas seulement sur la 90S (traitée 2 à 3 fois par an).
Mais c’est aussi grâce à ces pisse-copies que la 90S est devenue iconique.
Comme certains ici, j’en déduis que ce que je lis sur les véhicules que je ne connais pas comportent au moins une erreur par page. Donc je n’achète plus depuis le début de ce siècle.
Monsieur
Re: Moto Revue Classic #129
Je te comprends ffrd, la presse écrite est chère notamment en ce qui concerne les revues spécialisée.ffrd a écrit:Pour 50 francs, je voudrais en avoir pour mon argent.
Je suis amateur de motos en général, j'aime les BMW en particulier et je m'y connais pas plus que ça, mais si ces conneries sont valables pour BMW, qu'en est-il des autres marques ?
50 francs c'est cher payé.
Merci pour ton retour dans ton premier message, j'ai reçu le journal hier et je n'ai pas encore eu le temps de le lire. C'est cela un emploi du temps de retraité !
Et encore, ce n'est rien par rapport au livre d'Alan Dowds sur les 100 ans de motos BMW.
https://bienvenueauflatistan.motards.net/t53968-motos-bmw-100-ans-de-alan-dowds#1046195
Là, c'est inadmissible qu'un livre vendu 50 € contienne autant d'énormités.
Concernant les autres marques ou domaines, on y trouve aussi de grosses conneries et pas seulement des erreurs reprises depuis la nuit des temps par les plumitifs.
patn58
Re: Moto Revue Classic #129
ffrd a écrit:Pour 50 francs, je voudrais en avoir pour mon argent.
Je suis amateur de motos en général, j'aime les BMW en particulier et je m'y connais pas plus que ça, mais si ces conneries sont valables pour BMW, qu'en est-il des autres marques ?
50 francs c'est cher payé.
Sinon, économise ce genre de revue et pour un peu plus de 230 francs, tu as l'excellent livre d'Alain Berson sur la R90S.
Lolo49
Re: Moto Revue Classic #129
Seven has written :
"Pour le réservoir, non, le bouchon est proéminent, comme les /6 et doit, si j'dis pas de conneries, s'ouvrir à l'envers, sur une 90 S
"
Vous avez raison.
D'après Wikipédia :
"La BMW R 90 S est une moto de sport de 900 cm3 produite par BMW de 1973 à 1976. BMW commanda au designer Hans Muth de superviser la création de la R 90 S, qui devint le produit phare de la gamme boxer /6. "
Elle fait donc partie des séries 6.
"Pour le réservoir, non, le bouchon est proéminent, comme les /6 et doit, si j'dis pas de conneries, s'ouvrir à l'envers, sur une 90 S
"
Vous avez raison.
D'après Wikipédia :
"La BMW R 90 S est une moto de sport de 900 cm3 produite par BMW de 1973 à 1976. BMW commanda au designer Hans Muth de superviser la création de la R 90 S, qui devint le produit phare de la gamme boxer /6. "
Elle fait donc partie des séries 6.
ldx
Re: Moto Revue Classic #129
Trouvé sur le Net ces petits films fort explicites.
BMW 1970 -1974 : les années Bracq - YouTube
Paul Bracq, le génie français (tf1.fr)
A suivre, j'avance dans mes recherches.
BMW 1970 -1974 : les années Bracq - YouTube
Paul Bracq, le génie français (tf1.fr)
A suivre, j'avance dans mes recherches.
ffrd
Re: Moto Revue Classic #129
Box'RMag N°113, Septembre - Octobre 2023.
14 pages sur la R90S ; Un article bien construit, bien documenté, quelques vérités bien rétablies.
Un regret : le format -proche du timbre poste- des illustrations.
Un beau reportages de la virée Sud-américaine de deux copains sur leurs R100GS sans assistance. Costauds !
R80G/S façon sauterelle mérite le détour.
14 pages sur la R90S ; Un article bien construit, bien documenté, quelques vérités bien rétablies.
Un regret : le format -proche du timbre poste- des illustrations.
Un beau reportages de la virée Sud-américaine de deux copains sur leurs R100GS sans assistance. Costauds !
R80G/S façon sauterelle mérite le détour.
ffrd
Re: Moto Revue Classic #129
Je l'ai acheté ce matin. Pas encore eu le temps de la feuilleter, encore moins de le lire. J'ai passé l'après-midi sur le lave-linge qui a déclaré forfait pendant la lessive.ffrd a écrit:Box'RMag N°113, Septembre - Octobre 2023.
14 pages sur la R90S ; Un article bien construit, bien documenté, quelques vérités bien rétablies.
Un regret : le format -proche du timbre poste- des illustrations.
Un beau reportages de la virée Sud-américaine de deux copains sur leurs R100GS sans assistance. Costauds !
R80G/S façon sauterelle mérite le détour.
Merci pour ton retour François
patn58
Re: Moto Revue Classic #129
Décidément…. ffrd a donné son avis sur un reportage écrit. T’as acheté la revue et toi ça ne te convient pas… celui qui donne son avis n’est pas tenu que ça convienne aux autres. Alors tu vas pas en mourir pour les 7€ et t’assumes ton achat sans le reprocher aux autres.
Sans quoi on ne donne plus son avis sur le Flatistan de peur que cela ne convienne pas à certains
Sans quoi on ne donne plus son avis sur le Flatistan de peur que cela ne convienne pas à certains
Dernière édition par Gastair le Mer 20 Sep 2023 - 17:42, édité 1 fois
Gastair
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