La blague du jour

La raison du succès des G/S et GS.

Ça marche aussi avec la plupart des BMW actuelles, et leur selle passagère juchée au 1er étage.

Pfff Phil... a écrit:

Pffff le prix d'achat...que dire?
Faut surtout avoir les moyens de l'entretenir.

J'ai enfin trouvé mes couleurs for life :

En 1976, je travaillais DANS un ordinateur, qui occupait deux étages complets d'un bâtiment.

C'était un Iris 80

Et moi sur le IRIS 135... début des années 80  

Tu travaillais « sur», moi «dans». Une évolution en 4 ans et quelques.

R27 a écrit:En 1976, je travaillais DANS un ordinateur, qui occupait deux étages complets d'un bâtiment.

... et qui avait des performances inférieures à celles d'une console de jeux actuelle, sans parler d'un smartphone.

Philooo a écrit:

R27 a écrit:En 1976, je travaillais DANS un ordinateur, qui occupait deux étages complets d'un bâtiment.

... et qui avait des performances inférieures à celles d'une console de jeux actuelle, sans parler d'un smartphone.

Euh, pas si sur.
Note ta console de jeux ou ton smartphone en "transactions par secondes" et on en rediscute. La puissance CPU pure n'est pas seule à prendre en compte. Il faut aussi regarder le nombre d'utilisateurs simultanés que la machine peut servir sans s'effondrer. Imagine le site Fnac qui ne pourrait servir qu'un client à la fois (c'est ton smartphone) ou deux seulement (ta console de jeux).
Tu peux comparer l'ordinateur de bord des capsules Apollo car il ne faisait qu'une tâche pour un seul utilisateur (même s'ils étaient 3 à bord) avec le smartphone. Pas ces systèmes qui étaient destinés à servir des centaines voire des milliers d'utilisateurs simultanés. Bien sur, les perfs dans ce domaine de l'Iris80 font sourire aujourd’hui, mais pas dans un facteur si monstrueux qu'on le croit.)

C'est plutôt une question de soft, non ?
Quand un smartphone est en mode "partage de connexion", c'est bien lui qui transfère les données aux autres utilisateurs (sans les traiter il est vrai).

quelques années plus tard, j'utilisais un vieil UNIVAC : le temps d'attente était largement supérieur au temps de traitement.

georgesgiralt a écrit:
Il faut aussi regarder le nombre d'utilisateurs simultanés que la machine peut servir sans s'effondrer.

...

ces systèmes qui étaient destinés à servir des centaines voire des milliers d'utilisateurs simultanés.

Ces échanges intéressants peuvent peut-être être séparés de ce sujet, qu'ils polluent un peu ?

DANS mon Iris 80, il y avait une pièce réservée aux entrées/sorties vers l'extérieur.
Elle était équipée de Mitra 15 (ou 125, je ne sais plus).

Cela reliait l'IRIS 80 aux centaines d'utilisateurs répartis dans Paris et sa petite couronne (92, 93, 94).

Pour relancer les Mitra, il fallait faire passer une bande de papier perforé dans un lecteur.
Il y avait bien une bobine débitrice, mais pas de bobine réceptrice. La bande de papier se répandait au sol. Il fallait coincer comme on pouvait un enrouleur dans le carter de l'imprimante à cylindre, puis rembobiner la bande de papier sans la déchirer (je ne sais pas s'il y avait un double ).

Lorsque le Mitra était bien planté, il fallait le rebooter. Appuyer sur un bouton ne suffisait pas. Il fallait entrer les instructions une à une, en binaire, sur 16 interrupteurs en face avant (100011101, etc.), puis la valider, et passer à l'instruction suivante.
Certains connaissaient le jeu d'instructions en binaire par coeur, et manoeuvraient ces interrupteurs à une vitesse incroyable, sans consulter le manuel.

Philooo a écrit:

quelques années plus tard, j'utilisais un vieil UNIVAC : le temps d'attente était largement supérieur au temps de traitement.

Lorsque j'étais à la fac, je déposais mes cartes perforées le soir, et je venais récupérer le résultat du traitement le lendemain.

C’était il y a 11 ans !
Les Guignols prévoyaient déjà la grande escroquerie virus/masque.

Elle avait raison, Roselyne 

Eh oui.

J"aurais appliqué le même pricipe avec DES réservoirs dédiés à différents types de carburants houblonnés..

Excellent !  Au moins on peut boire à moto 

PizzaRoller a écrit:Excellent !  Au moins on peut boire à moto 

Et ça fait des fourches et roues avant sur le marché de l’occasion.

J'en connais qui, après le n-ième verre, sont capable d'essayer de la faire démarrer...

Je note qu'une seule moto permet de venir accompagné.